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Université de la Nouvelle-Calédonie - Wikipédia

Université de la Nouvelle-Calédonie

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC)

Fondation 1987 (UFP) - 1999 (UNC)
Type Université publique
Localisation Nouméa, France, Nouvelle-Calédonie
Campus Nouméa - Nouville et Magenta
Président Jean-Marc Boyer
Enseignants 72
Étudiants 2 800 [1]
Site web univ-nc.nc

L’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC) est née en 1987 sous le nom d'Université française du Pacifique répartie entre deux centres universitaires : celui de Nouvelle-Calédonie et celui de Polynésie française, le siège administratif de l'université étant à Tahiti. En 1999, les deux centres sont devenus deux universités autonomes et l'antenne calédonienne est devenue l'Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC).

Sommaire

[modifier] Statut

L’Université de la Nouvelle-Calédonie (UNC) a été créée par le décret n° 99-445 du 31 mai 1999. Autrefois, simple composante de l’Université française du Pacifique, elle est maintenant un établissement public à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPCSCP), régi par la loi du 26 janvier 1984, dite loi Savary, à l’instar de l’ensemble des universités françaises, et plus particulièrement par les articles 71, 72 et 73 créés par l'article 14 de la loi n° 96-609 du 5 juillet 1996 portant dispositions diverses relatives à l'outre-mer[2]. Des aménagements ont été apportés par l’ordonnance n°98-582 du 8 juillet 1998 ratifiée par la loi du 28 décembre 1999, notamment l'article 1er de l'ordonnance repris par l'article 3 de la loi de 1999 qui modifie l'article 72 de la loi Savary au sujet de la représentation des collectivités au sein du conseil d'administration[3] et y insère l'article 74 qui prévoit l'organisation d'une conférence trimestrielle de la recherche entre les deux territoires de Nouvelle-Calédonie et de Polynésie française. L’université est placée sous la tutelle du ministère chargé de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, tout du moins jusqu'à l'application de la loi Pécresse.

[modifier] Organisation

[modifier] Administration

L'Université de la Nouvelle-Calédonie est présidée depuis le 27 juillet 2007 par Jean-Marc Boyer, maître de conférences de physique et ancien 1er vice-président de l'Université de 2005 à 2007. Il est secondé par trois vice-présidents : les deux premiers sont des enseignants dont l'un en charge des études et l'autre en charge du tutorat, et enfin un vice-président étudiant.

Le conseil d'administration est composé de 36 membres, dont 7 personnalités extérieures (3 représentants du Congrès de la Nouvelle-Calédonie, 1 de l'Assemblée territoriale de Wallis-et-Futuna, 1 de l'Université d'Auckland, le directeur général de la Société Le Nickel, le chargé de mission pour la recherche et la technologie au Haut-commissariat), 6 représentants des professeurs des universités, 5 des maîtres de conférences, 1 des chargés d'enseignement, 6 des étudiants, 3 des IATOS et 8 membres de droit (le directeur du centre IRD de la Nouvelle-Calédonie, celui de l'IUFM du Pacifique, les directeurs des trois départements de l'université, celui du Centre des ressources informatiques CRI, celui du Service commun de la documentation SCD ainsi que la secrétaire générale et l'agent comptable de l'université). Le Haut-commissaire de la République en Nouvelle-Calédonie ainsi que le vice-recteur de la Nouvelle-Calédonie assistent aussi aux réunions du Conseil d'administration sans en être membres.

Le conseil scientifique est composé de 29 membres, dont 6 personnalités extérieures (1 représentant du Congrès de la Nouvelle-Calédonie, 1 du gouvernement de Nouvelle-Calédonie, le directeur de l'Agence de développement économique de Nouvelle-Calédonie ADECAL, le directeur de l'Ifremer en Nouvelle-Calédonie, 1 représentant de l'Institut agronomique de Nouvelle-Calédonie IAC et 1 de l'Université James Cook de Townsville dans le Queensland en Australie), 8 représentants des professeurs des universités et assimilés, 4 représentants des personnels habilités à diriger des recherches, 4 des personnels pourvus d'un doctorat, 1 des autres personnels enseignants et chercheurs, 2 représentants des ingénieurs et techniciens, 1 des autres personnels et 3 des étudiants du 3e cycle universitaire. En sont également membres de droit le directeur du SCD, la secrétaire générale et l'agent comptable de l'université. Enfin, le chargé de mission pour la recherche et la technologie au Haut-commissariat en est un invité permanent.

[modifier] Départements

L'université de la Nouvelle-Calédonie n'est pas subdivisée en UFR mais directement en trois départements :

[modifier] Droit, économie et gestion

Dirigé par Catherine Ris, maître de conférences en économie, il a son secrétariat pédagogique sur le site de Nouville - Atelier.

Ce département propose trois licences :

À cela s'ajoute en formation continue les enseignements de la capacité en droit.

Jusqu'à la fin de l'année 2005, le département proposait également une maîtrise en droit public. Depuis la réforme LMD, cette maîtrise n'existe plus mais l'université est candidate auprès du ministère de l'Education nationale pour pouvoir ouvrir un master en droit en partenariat avec les universités Montesquieu Bordeaux IV et Paul Cézanne Aix-Marseille III.

Enfin, est rattaché auprès du département le Laboratoire de recherches juridiques et économiques (LARJE) qui a le statut d'équipe d'accueil n°3329 (EA 3329).

[modifier] Lettres, langues et sciences humaines

Il est dirigé par Michel Wauthion, maître de conférences en sciences du langage, et il a son secrétariat pédagogique ainsi que l'essentiel de ses enseignements et bureaux sur le site de Magenta.

Ce département propose 5 licences :

  • en histoire : Des cours de géographie sont également dispensés durant les deux premières années. Au cours de la 3e année, les enseignements se scindent en trois parcours possibles en fonction de la continuation souhaitée ensuite par l'étudiant : le cursus type histoire pour ceux qui souhaitent ensuite poursuivre éventuellement vers un master, le cursus type CAPES pour ceux qui suivent ce concours et qui comporte donc des cours de géographie et un cursus type professorat des écoles qui y intègre en plus des enseignements en langues et en lettres.
  • en géographie : les enseignements se scindent en deux parcours possibles en fonction des débouchés dès la 2e année : un parcours « enseignement » ouvrant vers le CAPES et qui comporte donc également des cours d'histoire, et un parcours « développement » pour ceux qui souhaitent poursuivre sur un master et notamment celui professionnel proposé par l'université.
  • en lettres modernes : elle aussi se scinde en trois parcours en 3e année : CAPES, professorat des écoles et un cursus « Français langue étrangère » pour une ouverture vers la un master et avec une forte interdisciplinarité avec la licence d'anglais du même type.
  • en anglais : dès la deuxième année, la licence se scinde en deux : une type CAPES et une type « Professorat des écoles - Français langue étrangère ». En 3e année, cette dernière formation se scinde à son tour en deux.
  • en langues et cultures océaniennes : elle se scinde en 3e année en deux formations : une type « Enseignement » et une type « Science du langage ». Voulues par les Accords de Nouméa, cette licence vise à former des spécialistes et enseignants des langues kanak.

À cela s'ajoute un master professionnalisant en géographie, appelé Développement territorial et aménagement du territoire (DEVTAT), ouvert en 2005. L'Université a également sollicité auprès du ministère de l'Education nationale l'habilitation d'un master en lettres, langues et sciences humaines.

En formation continue, ce département est également responsable des formations au Diplôme d'accès aux études universitaires, que ce soit le A (littéraire) ou le B (scientifique), ainsi qu'un Deug « Enseignement 1er degré » offert aux élèves instituteurs de deuxième année de l'Institut de formation des maîtres et l'école normale de l'enseignement privé.

Enfin, le département comporte deux laboratoires au statut d'équipes d'accueil : l'Institut des Mondes océanien et australasien (IMOA, EA 3328) et le laboratoire Transcultures (EA 3327).

[modifier] Sciences et Techniques

Il est dirigé par Gilles Taladoire, maître de conférences en informatique, et a son secrétariat pédagogique ainsi que l'essentiel de ses enseignements et bureaux sur le site de Nouville - Banian.

Ce département propose 4 licences :

Aux licences s'ajoutent l'ouverture depuis 2003 de la première année du premier cycle d'études médicales (PCEM 1), pour continuer ensuite soit des études médecine à la faculté de médecine de l'Université Pierre-et-Marie-Curie soit le CHU de la Pitié-Salpêtrière avec lequel l'université de la Nouvelle-Calédonie collabore pour les enseignement du PCEM 1, soit des études dentaires à l'UFR de chirurgie dentaire de l'Université Paris Descartes à Montrouge, soit enfin à l'école de sages-femmes de l'hôpital Saint-Antoine à Paris.

Le département regroupe également tous les Diplôme d'études universitaires scientifiques et techniques (DEUST) proposés par l'université : en géosciences, en métallurgie, en informatique et en revégétalisation et gestion de l'environnement minier, et l'ouverture d'un DEUST STAPS est prévue pour 2009.

En formation continue, le département propose un diplôme universitaire (D.U.) « Développeur Objet/Java » et un autre en génie industriel. Il propose également de passer le Certificat informatique et internet (C2i).

Enfin, le département accueille 4 laboratoires dont 2 ont le statut d'équipes d'accueil : l'Équipe de recherche en informatique et mathématiques (ERIM, EA 3791) et le Laboratoire de Géosciences et Physique de la Matière condensée (LGPMC, EA 3325), à quoi s'ajoutent le laboratoire Mécanismes adaptatifs et biomolécules des plantes endémiques de Mélanésie (MABioM) et le Laboratoire d'études des ressources vivantes et de l'environnement marin (LERVEM).

[modifier] École doctorale

L'université comporte une unique école doctorale, créée conjointement avec l'Université de la Polynésie française et en partenariat avec celles de la Réunion et Antilles-Guyane. Elle est orientée sur le thème des Milieux insulaires ultra-marins. Elle est dirigée par Henri Bonnel, professeur des universités de mathématiques.

[modifier] Effectifs et personnel

Il s'agit de la plus petite université de France, avec 2 800 étudiants en 2008.

Y sont employés 72 enseignants-chercheurs et enseignants, dont :

2 au sein du département droit, économie et gestion : 1 en droit public et 1 en gestion,
3 au sein du département lettres, langues et sciences humaines : 1 en anthropologie et ethnologie, 1 en géographie et 1 en langue et littératures françaises,
7 au sein du département sciences et techniques : 2 en mathématiques, 1 en informatique, 1 en chimie, 1 en microbiologie, 1 en physiologie végétale et 1 en biologie animale.
7 au sein du département droit, économie et gestion : 4 en droit privé et 3 en sciences économiques,
10 au sein du département lettres, langues et sciences humaines : 2 en géographie, 1 en histoire ancienne (également titulaire pour les enseignements d'histoire du Moyen Âge), 2 en langue et littérature anglaises et anglo-saxonnes, 1 en langue et littératures françaises, 2 en sciences du langage, 1 en littérature comparée et 1 en langues et cultures océaniennes,
20 au sein du département sciences et techniques : 4 en informatique, 3 en mathématiques, 1 en mécanique, 1 en physique, 1 en électronique, 2 en chimie, 1 en biochimie, 2 en géologie, 2 en biologie animale, 1 en physiologie animale, 1 en biologie cellulaire et moléculaire et 1 en biologie végétale.
2 au sein du département lettres, langues et sciences humaines : 1 en langue et littérature françaises et francophones et 1 en langues et littératures océaniennes,
3 au sein du département sciences et techniques : 2 en géologie et 1 en chimie.
3 au sein du département droit, économie et gestion : 2 en économie et gestion et 1 en anglais,
5 au sein du département lettres, langues et sciences humaines : 2 en anglais, 1 en langue et littérature anglaises et anglo-saxonnes, 1 en langue et littérature française et 1 en histoire,
1 au sein du département sciences et techniques : 1 en mathématiques,
1 en éducation physique et sportive.
1 en lettres, langues et sciences humaines : 1 en langues et cultures océaniennes,
1 en sciences et techniques : 1 en géologie,
1 en éducation physique et sportive.
  • 5 « maîtres de langues »:
  • 4 maîtres de langue en anglais ou viêt-namien dispensant les cours optionnels en langue vivante proposés par l'université dans les différents départements.
  • 1 conteur en langues kanak.

À cela il faut ajouter un certain nombres de personnalités extérieures venant enseigner en tant que vacataires, ainsi que les missions organisées d'enseignants-chercheurs d'autres universités françaises, de Métropole ou des autres collectivités d'Outre-mer.

Enfin, l'Université de Nouvelle-Calédonie compte 54 agents administratifs et de bibliothèque IATOS.

[modifier] Sites

Elle est répartie sur trois sites, tous situés à Nouméa : deux à Nouville à l'ouest (Nouville-Banian : département des Sciences et Techniques, Nouville-Ateliers : département de Droit, Gestion et Économie, qui tire son nom du fait que ce site est installée dans les anciens ateliers du bagne) et un à Magenta à l'est (département des Lettres, Langues et Sciences humaines).

Il est prévu de réunir bientôt les départements en un seul grand campus universitaire à Nouville, les travaux ont commencé en 2005 et la première phase s'est terminée au début de l'année 2007 avec l'ouverture d'une bibliothèque universitaire commune pour les trois départements (2 400 m², environ 45 000 volumes, 206 titres de périodiques et 78 postes informatiques dont 61 publics), d'un restaurant universitaire (de 120 places pouvant servir 200 repas par jour), d'un nouvel amphithéâtre de 400 places (qui vient s'ajouter à celui de 200 places déjà existant sur le site de Nouville - Banian, ce nouvel « amphi » est équipé d'un système audiovisuel moderne permettant notamment de réaliser une visioconférence de jusqu'à 5 personnes en simultanée, à quoi s'ajoute un vidéoprojecteur plafond) et d'un parking de 130 places. Le tout agrémenté d'une agora, ou esplanade ouverte, de 2 200 m² dominant la mer.

La deuxième tranche de travaux devrait s'échelonner de 2008 à 2011, avec la construction de nouveaux bâtiments pour accueillir l'ensemble des enseignements et services jusqu'à présent encore localisés à Magenta, mais aussi d'une halle des sports (dont l'ouverture est prévue courant 2008) et d'une plus grande résidence universitaire. Pour cette dernière, l'université devrait récupéré en 2011 les locaux qui seront construits d'ici là pour servir de « village olympique » des jeux du Pacifique sud de 2011 qui se dérouleront à Nouméa, soit en tout 500 places qui s'ajouteront donc aux 100 premières chambres universitaires qui seront livrées en 2009. Sinon, deux studios pour les doctorants de passage devraient être fournis en 2008 à Nouville - Atelier. Pour l'instant, l'université ne peut offrir que 66 places, dont 44 à Nouville et 22 à Magenta.

[modifier] Relations internationales

L'Université de la Nouvelle-Calédonie a signé des conventions de mobilité et procède donc à des échanges d'étudiants avec 7 universités de 5 pays différents de la région Asie - Pacifique : l'University of Canberra, l'University of Technology de Sydney et l'University of Adelaide en Australie, l'University of Auckland en Nouvelle-Zélande, l'University of South Pacific (USP) essentiellement basée aux Fidji, la Ryūkyū Daigaku ou Université des Ryukyus à Okinawa au Japon et la Đại học Dân lập Văn Lang ou Université Van Lang d'Hanoï au Viêt Nam.

Pour les universités européennes, hors France métropolitaine, l'université de la Nouvelle-Calédonie fait partie du programme Erasmus.

Elle est sinon membre de l'Agence universitaire de la francophonie et participe donc à des missions de développement et d'enseignement dans le Pacifique francophone. Elle est le pôle universitaire francophone unique pour tout le Pacifique sud occidental, et accueille ainsi des étudiants de Wallis-et-Futuna mais aussi des ni-vanuatais francophones.

Sinon, chaque laboratoire possède son propre réseau avec des universités métropolitaines, européennes ou de la région Asie-Pacifique avec lesquelles elle organise régulièrement des colloques, séminaires ou conférences internationales. Le laboratoire ERIM (équipe de recherche en informatique et mathématiques) a ainsi organisé en 2005 la première Conférence de Mathématiques du Pacifique sud en partenariat avec l'Université de la Polynésie française, l'University of South Pacific de Fidji et l'IRD, avec pour thème central l'optimisation et le contrôle. Elle a réuni alors 38 participants venus de 18 universités ou instituts de recherche de 8 pays différents (France, Australie, Nouvelle-Zélande, Japon, Fidji, Brésil, Hong Kong et Finlande).

[modifier] Notes et références

  1. Université de la Nouvelle-Calédonie - Présentation
  2. Loi du 5 juillet 1996 portant dispositions diverses relatives à l'outre-mer parue au journal officiel du 9 juillet 1996
  3. Texte de la loi n°99-1121 du 28 décembre 1999 portant ratification des ordonnances no 98-580 du 8 juillet 1998, no 98-582 du 8 juillet 1998, no 98-728 du 20 août 1998, no 98-729 du 20 août 1998, no 98-730 du 20 août 1998, no 98-732 du 20 août 1998, no 98-774 du 2 septembre 1998 prises en application de la loi no 98-145 du 6 mars 1998 portant habilitation du Gouvernement à prendre, par ordonnances, les mesures législatives nécessaires à l’actualisation et à l’adaptation du droit applicable outre-mer, paru au Journal officiel du 29 décembre 1999

[modifier] Lien externe

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