Université Paris II
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Université Panthéon-Assas (Paris II) | |
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Fondation | 1er janvier 1971 |
Type | Université publique |
Localisation | Paris, France |
Président | Louis Vogel |
Enseignants | 423 titulaires, 305 autres[1] |
Étudiants | 19 248 (dont 80 % en droit)[2] |
Premier cycle | 5 774 |
Deuxième cycle | 6 356 |
Troisième cycle | 3 224 |
Site web | www.u-paris2.fr |
L’université Paris-II[3], ou Université Panthéon-Assas, (fréquemment appelée « Assas ») est l'une des treize universités parisiennes, située dans le quartier latin des Ve et VIe arrondissements de Paris. Elle se veut la principale héritière de la faculté de droit de l'université de Paris.
Reconnue pour son excellence dans l'enseignement du droit[4], l'université propose également des enseignements de gestion des ressources humaines (centre interdisciplinaire de formation à la fonction personnel) et de sciences économiques, elle dispose aussi de cursus d’administration économique et sociale, d'information et communication (l'Institut français de presse) et de science politique.
[modifier] Enseignement et recherche
[modifier] Unités de formation et de recherche
La faculté de droit de Paris II dispense des enseignements en droit, sciences politiques et sociales (média et communication), sciences de gestion et sciences économiques.
[modifier] Droit
Au niveau master, neuf mentions sont accessibles : droit public, droit privé, droit notarial, droit des affaires, droit social, carrières judiciaires et sciences criminelles, droit européen, droit international, droit comparé / droits étrangers[5]. L'accès en dernières années est très sélectif puisqu'en 2005, pour 1 500 étudiants l'université enregistre environ 15 000 candidatures[6].
Après la première année du master mention droit public, 16 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Droit public approfondi
- Droit de l'environnement (avec Paris I)
- Droit de la communication
- Droit et gestion des finances publiques (avec Paris I)
- Administration et politiques publiques
- Histoire du droit
- Philosophie du droit et droit politique
- Sociologie du droit
- Droit public de l'économie
- Juriste territorial
- Droit, administration et gestion financière des collectivités locales (avec Paris I)
- Administration et gestion publiques
- Droit sanitaire et social
- Droit et stratégie de la sécurité
- Droit de l'immobilier et de la construction et Droit fiscal.
- Histoire du droit
Après la première année du master mention droit privé, 12 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Droit privé général
- Histoire du droit
- Philosophie du droit et droit politique
- Sociologie du droit
- Droit de la propriété littéraire, artistique et industrielle
- Droit de la communication
- Assurances
- Gestion du patrimoine privé et professionnel
- Droit immobilier et de la construction
- Propriété industrielle
- Droit du multimédia et de l'informatique
Après la première année du master mention droit des affaires, 8 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Droit des affaires
- Droit des affaires et fiscalité
- Droit bancaire et financier
- Droit des entreprises commerciales
- Juriste d'affaires (Magistère)
- Fiscalité internationale
- Droit fiscal
Après la première année du master mention carrières judiciaires et sciences criminelles, 5 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Justice et droit du procès
- Droit pénal et sciences pénales
- Contentieux, arbitrage et modes alternatifs de règlement des conflits
- Droit et pratique du procès en appel
- Science pénitentiaire
Après la première année du master mention droit européen, 3 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Droit de l'Union européenne
- Contentieux européens
- Droit européen des affaires
Après la première année du master mention droit international, 6 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Droit international privé et du commerce international
- Droit international public
- Droit des relations économiques internationales
- Relations internationales
- Administration internationale
- Droits de l'homme et droit humanitaire
Après la première année du master mention droit comparé / droits étrangers, 5 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Droit comparé
- Droits de Common Law
- Culture juridique française et européenne
- Droits français et suisse
- Droits français et italien
[modifier] Science politique
Le cursus de science politique est accessible après la première année de licence de droit et une deuxième année mixée avec les matières fondamentales de la deuxième année de droit, et débouche sur une formation en master divisée en quatre sections : science politique, administration et gestion territoriale / des entreprises, sciences humaines et sociales, et « médias, information, communication ».
Après la première année du master mention science politique, 8 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Études politiques
- Relations internationales
- Administration et politiques publiques
- Vie parlementaire et relations institutionnelles
- Défense, géostratégie et dynamiques industrielles
- Administration et gestion publique
- Droit sanitaire et social
- Droit et stratégie de la sécurité
Après la première année master mention administration et gestion, 4 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Administration et politiques publiques
- Administration et gestion publique
- Droit sanitaire et social
- Droit et stratégies de la sécurité
Après la première année du master mention sciences humaines et sociales, 4 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Histoire du droit
- Philosophie du droit et droit politique
- Sociologie du droit
- Science pénitentiaire
Après la première année du master mention médias, information, communication, 5 spécialisations sont proposées, après examen du dossier.
- Médias, audiences et publics
- Médias, sociétés et mondialisation
- Médias, langages et communications
- Journalisme
- Communication et multimédia
[modifier] Sciences économiques
A la suite d'un deug ou d'une licence d'économie, l'étudiant peut intégrer sur concours:
- Le Magistère Banque Finance (MBF)
Il s'agit d'une formation sélective, l'admission se fait sur dossiers et concours (écrit et oral). Cette formation est l'une des vitrines de PARIS 2. L'objectif et de donner à ces étudiants les connaissances et la culture financière nécessaires afin de pouvoir faire face aux exigences des banques et société financières en Finance de marché et en Finance d'entreprise.
À la suite d'une licence en sciences économiques, l'étudiant a accès à quatre masters mentions « Économie managériale et industrielle », « Géostratégie économique internationale », « Monnaie-finance », ou « Économétrie ». L'admission à préparer la 2e année de master est autorisée après une procédure de sélection propre à chaque spécialité.
Après un master mention Économie managériale et industrielle (M1), 4 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.
- Économie des litiges numériques
- Organisation de l'entreprise et stratégies industrielles
- Organisation industrielle agro-alimentaire
- Économie des télécommunications de l'Internet et des nouveaux médias
Après un master mention Géostratégie économique internationale (M1), 3 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.
- Commerce et management international
- Défense, géostratégie et dynamiques industrielles
- Géostratégie de la mondialisation et du développement
Après un master mention Monnaie-finance (M1), 3 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.
- Finance
- Finance et économétrie
- Monnaie-finance-banque
Après un master mention Econométrie (M1), 2 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.
- Ingénierie économique (avec Paris-Dauphine)
- Techniques financières et bancaires
[modifier] Sciences de gestion
À la suite d'une licence en sciences de gestion, l'étudiant a accès à deux masters (M1) mentions « administration et gestion des entreprises » ou « management et nouvelles technologies ». L'admission à préparer la 2e année de master (M2) est autorisée après une procédure de sélection propre à chaque spécialité.
Après un master mention Administration et gestion des entreprises (M1), 6 spécialisations (M2) sont proposées, après examen du dossier.
- Gestion des organisations
- Marketing et communication des entreprises
- Gestion des ressources humaines et relations du travail
- Management de projets logistiques
- Commerce et management international
- Management public
Après un master mention management et nouvelles technologies (M1), une spécialisation (M2) est proposée, après examen du dossier.
[modifier] Bibliothèques
La bibliothèque de l'université une bibliothèque spécialisée en droit et en économie qui a pour vocation de desservir principalement les étudiants de licence et master.
La bibliothèque s'étend sur trois sites : Assas (actuellement en travaux), Melun (ouvert en 1986) et Vaugirard (ouvert en 1996). D'autre part le centre Cujas est ouvert aux étudiants à partir de la 2e année de licence.
[modifier] Écoles doctorales
En Mars 2008, le Professeur Truchet succède au Professeur Gaudemet à la tête de l'Ecole Doctorale Georges Vedel (droit public interne, science administrative, science politique et information-communication).
Le président honoraire Bernard Teyssié, professeur de droit social, responsable du fameux D.E.S.S. en droit et pratique des relations de travail, succède en 2004 à Yves Lequette (droits des obligations et des successions) à la tête de l'école doctorale de droit privé.
Yves Gaudemet[7] succède en 2006 à Jean-Jacques Bienvenu[8], à la tête de l'école doctorale de droit public interne, science administrative, science politique et, information-communication.
Stéphane Rials succède en 2004 à André Castaldo[9] à la tête de l'école doctorale de procès, histoire, philosophie et sociologie du droit.
Charles Leben co-dirige l'école doctorale de droits comparé, international, et européen.
Alain Redslob co-dirige l'école doctorale de sciences économiques.
[modifier] Instituts et centres de recherche
[modifier] Institut d'études judiciaires
L'institut d'études judiciaires de Paris II, situé place du Panthéon, permet aux candidats de préparer au concours d'entrée à l'École nationale de la magistrature, à l'École nationale supérieure de la police (concours de commissaire de police), à École des officiers de la gendarmerie nationale et à l'examen du CRFPA.
L'institut est actuellement dirigé par Philippe Théry[10] ; il succède à Serge Guinchard[11]. L ’institut d'études judiciaires n'accueille que les étudiants de l’université Paris II qui y ont fait ou qui y poursuivent leurs études principales
[modifier] Institut de préparation à l'administration générale
L'institut de préparation à l'administration générale (IPAG), situé au 122 rue de Vaugirard, prépare aux concours administratifs de catégorie A (internes et externes), à celui de conseiller des tribunaux administratifs et des cours administratives d'appel, de la police nationale (commissaire et lieutenant) et de directeur de la protection judiciaire de la jeunesse
La formation diplômante peut délivrer une licence d'administration publique, et un master d'administration et gestion publique. Il est en relation avec le Centre d'études et de recherches en science administrative, unité mixte de recherche en co-tutelle du CNRS et de l'université, que dirige Jacques Chevallier. La formation peut, d'autre part, délivrer des certificats d'« administrateur d’élections », « de pratique des nouvelles technologies de l’information et de la communication dans l’administration », « pratique de la gestion déléguée des services publics », « pratique de gestion publique des ressources humaines », « pratique des marchés publics », « pratique des procédures budgétaires dans les collectivités locales », « déontologie de la fonction publique », « pratique de la défense de l'administration devant les juridictions administratives » et de « risque judiciaire pour les élus locaux ».
Son président est Serge Salon, son directeur Jean-Michel Lemoyne de Forges[12]
[modifier] Institut de droit comparé de Paris
L'institut de droit comparé de Paris (IDC) délivre des formations en master de recherche de droit comparé, de droit comparé, option « juriste franco-allemand », au master professionnel de droit européen des affaires, option « carrières européennes franco-allemandes », au LL.M. de droit français, européen et international des affaires, à un diplôme de civilisation, langue et droit allemands et du diplôme de civilisation et droits de common law.
[modifier] Vie associatives et mouvements étudiants
[modifier] Associations
Il existe plusieurs autres associations culturelles, confessionnelles ou politiques en dehors du monde syndical étudiant.
[modifier] Culturelles et sportives
- La Gazette Universitaire[13] est la dernière née à Assas. Cette association a but non lucratif est apolitique. Elle a vocation à éditer des supports d'informations gratuits et ludiques à destination universitaire. Ses journaux, pour l'instant sous la forme de la feuille volante "La Gazette d'Assas" abordent de manière récurrente les thèmes du droit et du sport exercé à la fac. Ses actions ont été biens accueillies à Paris 2, aussi, tout en continuant à développer ses atouts, elle compte s'implanter dans d'autres universités.
- La Corpo d'Assas[14], est la plus ancienne association d'Assas, elle existe depuis 1934 et fait partie des associations héritières de la faluche étudiante. Cette association a pour but de rendre le quotidien des étudiants beaucoup plus agréable, et ce par tout les moyens. Le slogan sur l'agenda qu'elle distribue gratuitement à tous est : "Pour que la fac soit un plaisir".La Corpo est aconfessionnelle, apolitique et asyndicale et a pour vocation de défendre tous les étudiants. Elle siège dans les conseils centraux et d'UFR de la fac. Elle édite un journal bimensuel, Le Canard d'Assas, traitant des sujets les plus divers, un agenda gratuit très pratique et comportant toutes les dates de vacances universitaire d'Assas, ainsi que les informations pratiques sur l'université. De plus, elle édite des guides du métiers du droit et de l'économie qu'elle offre gracieusement aux étudiants, ainsi que les guides Lamy. Elle organise le week-end d'intégration en début d'année, le voyage au ski, le prestigieux Gala d'Assas, l'élection de « miss et mister Assas » depuis 1995 et contribue largement à animer la vie estudiantine d'Assas.
- L'association Assas.Net[15], connaît, depuis sa création en 2003, de plus en plus de succès, tant du fait de son implantation de plus importante aux différents conseils de l'Université que de l'élargissement de ses activités et de leur envergure. Association apolitique, Assas.Net cherche à développer à Paris II une communauté étudiante basée sur l'entraide et la convivialité. Son forum très actif comporte plus de 4500 membres. Assas.Net organise des soirées en partenariat avec l'association Lysias Paris 2, les Move Your Assas, la cérémonie des "Code d'Or" qui récompense les professeurs de l'université, des "soirées forum" dans des bars, des sorties culturelles et des rencontres sportives.
- la section Assas.net de l'Institut de Droit et d'économie de Melun[16]
- Le BDM Assas (Bureau de la musique)[17], est l'association musicale d'assas. Elle organise concerts et soirées. Son but est de promouvoir les jeunes artistes à travers le site de l'association et les concerts qu'elle organise.
- L'Union des étudiants juifs de France est présente notamment sur le terrain de l'antiracisme.
- L'UGES[18], le Bureau des Étudiants s'occupe de l'accueil des étudiants en leur proposant des sorties culturelles, des voyages dont le fameux voyage au ski, où règnent bonne humeur et convivialité, des apéritifs chaque semaine ; cette association fait aussi la promotion du commerce équitable et de l'agriculture biologique grâce aux petits déjeuners bio et propose des œuvres humanitaires.
- L'association « Lysias » organise chaque année depuis les années 1990 un concours d'éloquence invitant les étudiants à simuler un procès civil autour de cas fictifs.
- L'association « Défi Assas[19] » est le « club de voile » de l'université et participe depuis 4 ans à diverses régates dont la Course Croisière EDHEC, la Spi Dauphine, le droit au lof, la Juriscup.
- L'association « CINE FAC[20] » organise depuis 1994 des avant-premières de longs-métrages parfois en présences des réalisateurs (Laetitia Masson, Abel Ferrara) ou autres personnalités du cinéma (Pierre Tchernia, Christophe Gans), des festivals de courts métrages pellicules (35 mm) ou numérique[21] au sein de l'université comme en dehors.
- L'association Jeunes Européens Sorbonne-Assas[22] regroupe des étudiants des universités Paris I, II, III et IV désireux de s'impliquer dans les questions européennes. Ils militent pour la construction d'une Europe politique et organisent de nombreux cafés-débats, conférences ainsi que des interventions pédagogiques dans les écoles.
- L'association « Éole » (Étudiants ouverts aux liens avec l'étranger) s'occupe depuis 1989 de l'accueil et l'orientation des étudiants en programme d'échange au sein de l'université.
- L' association "assos d'Assas" regroupe des étudiants de PARIS 2 allant de la première année au master 2 dans le but d'organiser des évènements à but humanitaires comme la construction d'écoles ou d'hôpitaux dans des pays étrangers allant de l'Asie à l'Amérique latine . Elle est ouverte a tous et est promit à un bel avenir
- Enfin, deux aumôneries chrétiennes closent le domaine de la représentation religieuse.
[modifier] De diplômes / filières
- Le SNESUP Paris, Versailles et Créteil / section Paris II: Syndicat national de l'enseignement supérieur, affilié à la FSU
- Le SNEPFSU surtout présent au niveau de l'INSEP (Sport)
[modifier] Mouvements étudiants
[modifier] Assas, « université nationaliste » ?
Plusieurs événements, d'ordre politique, marquèrent l'université et la présentèrent comme un bastion d'extrême droite. Ces soupçons, s'ils demeurent aujourd'hui, paraissent infondés. Le syndicat étudiant majoritaire étudiant est aujourd'hui l'UNEF, assimilée à une force de « gauche ». Néanmoins, si l'université se défend de couver des organisations syndicales étudiantes de la droite radicale, elle ne peut nier qu'elle fut le théâtre de manifestations politiques remarquables.
Le mouvement Occident, violemment anticommuniste, est interdit par décret le 31 octobre 1968 (dissolution par le conseil des ministres), suite à de quotidiennes bagarres de rue avec ses opposants de gauche. Il fut remplacé par le Groupe union défense (GUD), organisation étudiante active à la faculté (correspondant français de la Nationalistische Studentenvereinigung).
Bien qu'étant peu nombreux, les membres de ces groupes continuèrent à affronter les forces représentantes du bord politique opposé tout au long des années 1970 et 1980 jusqu'à baisser d'activité à la fin des années 1990. La montée de puissance des forces d'opposition, avec la section de PSA (Pour un syndicalisme autogestionnaire) — émanation étudiante de la CFDT des années 1970 — et la position majoritaire de l'UNEF aux élections étudiantes ces dernières années marquent un tournant dans l'histoire politique d'Assas, bien que l'Union des étudiants juifs de France (UEJF) ait pu dénoncer dans un communiqué envoyé à l'Agence France-Presse en février 2005 un regain d'activité de l'« extrême droite » après la création du Rassemblement étudiant de droite.
[modifier] Élections universitaires
Notons cependant que la participation à ces élections est très faible : elle dépasse rarement 10 % des étudiants, comme la plupart des élections universitaires.
[modifier] Syndicats et associations représentés dans les conseils centraux
[modifier] Élections de 2008 aux conseils centraux de l'université
Le Conseil d'administration (CA), le Conseil des études et de la vie universitaire (CEVU) et le Conseil scientifique (CS) ont été renouvelés le 8 avril 2008, soit un an seulement après les élections précédentes. En effet l'adoption le 10 août 2007 de la loi relative aux libertés et responsabilités des universités[23] a entraîné de profondes modifications dans la composition de ces conseils (le nombre d'étudiants au sein du conseil d'administration en particulier, passe de 15 à 5), rendant nécessaire une nouvelle élection.
Suite à ce scrutin, la liste des associations et syndicats étudiants représentés dans les différents conseils est la suivante [24] :
- Assas.net : 9 élus au total (2 élus au CA, 4 élus au CEVU, 3 élus au CS). Pour la première fois depuis de nombreuses années une association apolitique devient la première force étudiante au sein de l'Université Paris II.
- UNEF : 3 élus au total (1 élu au CA, 2 élus au CEVU).
- Corpo Assas : 3 élus au total (1 élu au CA, 2 élus au CEVU).
- UNI : 3 élus au total (1 élu au CA, 2 élus au CEVU).
- UGES : 2 élus au total (1 élu au CEVU, 1 élu au CS).
- Cé : 1 élu au CEVU.
[modifier] Élections de 2007 aux conseils centraux
Liste des associations et syndicats étudiants représentés au conseil d'administration (CA), au conseil des études et de la vie universitaire (CEVU) et au conseil scientifique (CS) après les élections du 14 mars 2007 [25],[26] [27] :
- UNEF : 8 élus au total (4 élus au conseil d'administration, 3 élus au CEVU et 1 élu au CS). 1ère force en nombre de voix, et largement majoritaire (29 élus) dans les Conseils d'UFR.
- Assas.net : 8 élus au total (4 élus au conseil d'administration, 3 élus au CEVU et 1 au CS)
- UNI : 5 élus au total (2 élus au conseil d'administration, 1 au CEVU et 2 au CS)
- Corpo Assas : 4 élus au total (2 élus au conseil d'administration et 2 au CEVU)
- RED : 2 élus au total (1 élu au conseil d'administration et 1 au CEVU)
- UGES-BDE Assas : 2 élus au total (1 élu au conseil d'administration et 1 au CEVU)
- Cé : 2 élus au total (1 élu au conseil d'administration et 1 au CEVU)
[modifier] Organisations politiques disparues
- Le GUD, acronyme de Groupe union défense ou de Groupe union droit, selon les périodes. Le GUD est une organisation étudiante d'extrême droite, avec pour emblème un rat noir. Le GUD a été initialement crée en décembre 1968 par Alain Robert, François Duprat, Patrick Devedjian, Alain Madelin, François-Bernard Huyghe et Gérard Longuet sous le label Union Droit, suite à la dissolution d'Occident. Le GUD a obtenu ses premiers élus en février 1969. Ses membres, surnommés « Gudards », s'illustrent dans des incidents violents tout au long de leur histoire (particulier le 21 juin 1973 contre Alain Krivine à Assas ou le 15 décembre 1980 à l'Université Paris X), jusqu'à leur disparition à Assas au début des années 2000. Il se serait reconstitué dans le RED.
- Le Cercle, association d'extrême droite, qui crée en 1969 le Salon du livre français. Ce salon, qui se tenait dans le hall de l'université, réunissait de nombreux auteurs d'extrême droite. Suite à la lutte du PSA, d'Astérix et d'Assas autrement et une évolution dans la politique de la présidence de l'université, ce salon a cessé de se tenir à partir de 2003.
- PSA, Pour un syndicalisme autogestionnaire, créé en 1985 et disparu en 2003. PSA a été créé, à l'origine, à l'instigation de la CFDT et du Parti socialiste unifié. Le PSA a ensuite rejoint l'UNEF-ID, tout en gardant une tradition d'indépendance par rapport au syndicat national, ainsi que le nom PSA. Cette tradition est liée à la situation politique particulière que connaît Paris II jusqu'au début des années 2000 : PSA est la seule force syndicale de gauche à Paris II, et regroupe donc des étudiants de toutes les obédiences : des écologistes, des socialistes, des communistes, des trotskistes ou des libertaires. En 2003, lorsque la majorité de l'association passe à la Gauche socialiste, le sigle PSA est abandonné, et l'association devient un groupe local de l'UNEF.
- Astérix (Association symbolisant tout étudiant rejetant l'intolérance et la xénophobie). Créée à l'origine par des militants de l'UEJF, cette association plutôt centriste et numériquement très modeste, a cependant joué un rôle significatif dans la lutte contre l'extrême droite à Assas.
- Assas autrement, association résultant d'une scission du PSA en 1998. Elle a publié un journal éponyme, très bien informé et à l'humour caustique, sorte de Canard enchaîné local. Elle n'a pas survécu une fois ses fondateurs diplômés, vers 2003. Elle a toutefois joué un rôle important dans la lutte contre l'extrême droite à Assas, révélant notamment les liens qu'entretenait l'IUP de gestion avec ICTUS.
[modifier] L'université et les rapports extérieurs
[modifier] Ensemble universitaire
[modifier] Les sites parisiens
Dès la fin des années 1950, pour faire face à l'afflux des enfants du baby boom et désengorger les bâtiments historiques de l'université de Paris, une entreprise de création de centres nouveaux pour chacune des facultés est lancée. L'annexe de la Faculté de droit et des sciences économiques, prévue pour 1961, est finalement terminée en 1964 rue d'Assas.
L'Université Paris II dispose de multiples sites répartis dans les Ve, VIe mais aussi XVe arrondissements de Paris.
Dans le Ve arrondissement de Paris :
- 12, place du Panthéon, face au Panthéon : 2e année de master, Institut d'études judiciaires, institut de criminologie, institut des hautes études internationales (IHEI) et institut de droit romain. C'est le siège social de l'Université Paris II, ainsi que celui de l'Université Panthéon-Sorbonne Paris I.
- 158, rue Saint-Jacques : Institut Cujas, centre de finances publiques et de fiscalité, centre de recherche en droit administratif, centre d'études constitutionnelles et politiques (CECP), centre de recherche sur les droits de l'homme et le droit humanitaire (CRDH) et laboratoire de sociologie juridique.
- 295, rue Saint-Jacques : Association française de science économique (AFSE)
- 10, rue Thénard : Centre d'études et de recherches en science administrative (CERSA)
- 1, rue d'Ulm : Centre de droit américain, Institut Michel Villey pour la culture juridique et la philosophie du droit.
Dans le VIe arrondissement de Paris :
- 92, rue d'Assas : 2e et 3e années de licence, 1re année de master, voire certaines deuxièmes années de master.
- 5-7, avenue Vavin : Master de finance.
- 122, rue de Vaugirard : Institut de préparation à l'administration générale (IPAG), Institut de droit des affaires (IDA), Magistère Banque-Finance (MBF) et le centre de formation permanente (CFP).
- 4, rue Blaise Desgoffe : Institut français de presse (IFP).
Dans le VIIe arrondissement de Paris :
- 28, rue Saint-Guillaume : Institut de droit comparé (IDC)
Dans le XIIIe arrondissement de Paris :
- 36 rue Charcot : licence 3 et masters en science de gestion (management & nouvelles technologies).
Dans le XVe arrondissement de Paris :
- 391, rue de Vaugirard : 1re année de licence de droit, voire 2e année de licence de sciences économiques et administration économique et sociale).
Des travaux de mise en conformité et d'amélioration des conditions d'études et de travail vont être entrepris au centre Assas. Ces travaux commencent en mai 2007 et s'achèveront en 2011 et ne concernent que le centre Assas et l'annexe de la rue Notre-Dame-Des-Champs. Les quatre bâtiments A (les 8 étages, le restaurant universitaire compris), B, C et D seront soit démolis, curés ou réaménagés.[28]
[modifier] L'Institut de Droit et d'économie de Melun (77)
Le centre universitaire délocalisé de Paris 2 en Seine et Marne se nomme : "Institut de Droit et d'économie de Melun").
Il propose le cursus droit jusqu'en 3e année de licence et les cursus AES et sciences économiques jusqu'en 2e année.
Il s'est illustré, ces dernières années, sous l'impulsion de Marc Gjidara, alors directeur du centre universitaire, par la création de formations atypiques qui constituent une première avec l'instauration de deux diplômes d'Université et d'un diplôme d'État destinés aux enquêteurs de droit privé : détectives et enquêteurs privés :
- le Diplôme professionnel d'enquêteur privé (07/1998)
- le Diplôme professionnel de directeur d'enquêtes privées (07/2000)
- la Licence professionnelle "Sécurité des biens et des personnes : enquêtes privées" (06/2006)
Le Centre Universitaire de Melun bénéficie de la proche présence des écoles de la Police Nationale, et de la Gendarmerie Nationale, ce qui lui a permis de développer des formations spécifiques aux professions de sécurité, publiques et privées[29].
Depuis septembre 2007, l'Institut de droit et d'économie de Melun est dirigé par M.Frédéric Debove, Maître de Conférences (Droit privé) (responsable administratif : Monsieur Stefan Lambert).
Une antenne du Centre de Formation Permanente y est également installée (responsable sur Melun : Madame Alix TILLOY) pour prendre en charge certaines formations : capacité en droit 1er et 2eme année, Master 2 professionnel : Droit et Stratégie de la Sécurité, Licence Sécurité des biens et des personnes etc....
Le Centre Universitaire de Melun a fêté, le 29 septembre 2007, ses 20 ans d'existence et l'accueil de 10.000 étudiants depuis sa création, en présence de diverses personnalités dont le Président de l'Université, le Préfet, le recteur de l'académie de Créteil, le Général commandant l'école des Officiers de la Gendarmerie Nationale, des parlementaires, le Directeur du Centre Universitaire, le président de la Communauté d'agglomération Melun Val de seine, le Maire de Melun, des enseignants et de nombreux invités.
A cette occasion furent également inaugurés des locaux flambant neufs créés dans l'enceinte (construite en briques en 1929, façade classée) de l'ancienne Poste de Melun qui composent le nouveau "site Emmanuel Fréteau de Saint Just".
Le Centre Universitaire délocalisé possède, lui même, plusieurs annexes sur Melun, depuis le site de la Pointe de l'île Saint Étienne (qui était, à l'origine, en 1987, relié par télévision hertzienne à celui de La Courtille), au site Emmanuel Fréteau de Saint Just (2007 : cf. supra), en passant par le site de La Reine Blanche qui dispose d'un amphithéâtre de 750 places dont la sonorité acoustique est telle qu'il y est donné des concerts et des spectacles, sans oublier l'amphi Saint Sauveur (ancien prieuré classé et aujourd'hui restitué à la Ville) celui de l'hôtel du Château, le site des Nonettes, et le site de La Courtille, l'ensemble étant implanté au calme de l'île Saint Étienne entre deux bras de la Seine.
Les sites utilisés par le centre universitaire ont d'ailleurs pu évoluer au fur et à mesure des aménagements réalisés par la Communauté d'agglomération Melun Val de Seine.
Malgré son succès, et son excentration, les différents responsables locaux et régionaux, semblent profondément ancrés au sein de l'Université Panthéon Assas Paris 2 et ne souhaitent aucunement que ce Centre Universitaire acquiert son indépendance (dans le cadre d'une université autonome) : pour preuve les travaux gigantesques et les investissements financiers engagés par la Communauté d'agglomération de Melun Val de Seine CAMVS et les efforts de la Ville de Melun pour améliorer, agrandir l'ensemble Universitaire [30] comme pour renforcer l'aura de l'Université Panthéon Assas Paris 2 en Seine et Marne.
L'Institut de Droit et d'économie de Melun fait partie intégrante de l'Université Paris 2, comme l'Université Paris 2 fait, désormais, partie intégrante du paysage Melunais[31].
Voir aussi :
- association Assas.net Melun
- historique du centre universitaire de Melun
[modifier] Assas et l'entreprise (stages)
[modifier] Étudier à l'étranger
Licences et doubles maitrises (M1) préparées en partenariat avec des universités étrangères :
- Droits français et anglais, avec l'université de Cambridge (Double-maîtrise : M1 français et Bachelor of Arts).
- Droits français et suisse, avec l'université de Fribourg (diplôme intermédiaire après deux ans : DEUG droit si L1 et L2 à Paris II)
- Droits français et de Common Law, avec University College Dublin (diplôme intermédiaire après deux ans : DEUG droit)
- Droits français et allemand, avec la Humboldt Universität[2] de Berlin et la Ludwig-Maximilians-Universität[3] de Munich (LL.M (« Magister Legum ») de l'université d'accueil / Master 1 et 2 de Paris II (Master 2 de droit comparé pour Berlin/de droit européen des affaires pour Munich); les étudiants français et allemands sont réunis sous l'égide de l'Association Bermupa [4])
- Droit français et droit italien avec l'università La Sapienza de Rome(master 2)
[modifier] Administration
Louis Vogel est l'actuel président de l'université.
Il succède à Jacqueline Dutheil de la Rochère, spécialiste de droit communautaire (2002-2006). Elle a elle-même remplacé Bernard Teyssié [32], Philippe Ardant[33], Georges Durry[34], Jacques Robert[35]).
[modifier] Anciens étudiants
Hommes et femmes politiques
- Manuel Aeschlimann député UMP des Hauts-de-Seine
- Éric Azière membre du bureau exécutif du Mouvement démocrate
- François Baroin ancien ministre, député UMP de l'Aube
- Martine Billard député Vert de Paris
- Bernard Carayon député UMP du Tarn
- Claude Chirac ancienne conseillère de Jacques Chirac
- Milica Čubrilo femme politique serbe membre du Parti démocratique
- Rachida Dati ministre de la justice, membre de l'UMP
- Patrick Devedjian député UMP des Hauts-de-Seine
- Nadim Gemayel fils de l'ancien président de la république libanaise Béchir Gemayel
- Claude Goasguen député UMP de Paris
- Philippe Houillon député UMP du Val-d'Oise
- Yves Jego secrétaire d'État chargé de l'Outre-mer, membre de l'UMP
- Emmanuel Lamy maire UMP de Saint-Germain-en-Laye
- Jean-Marie Le Pen président du Front national
- Jean-François Legaret maire UMP du 1er arrondissement de Paris
- Gérard Longuet ancien ministre, sénateur UMP de la Meuse
- Alain Madelin ancien ministre, membre de l'UMP
- Hervé Morin ministre de la défense, membre du Nouveau Centre
- Jean-Pierre Raffarin ancien Premier ministre, sénateur UMP de la Vienne
- Jean-Luc Romero ancien secrétaire national de l'UMP
- Cécilia Sarkozy seconde épouse de Nicolas Sarkozy
- Jean Tiberi député UMP de Paris
- Simone Veil ancien ministre
- Dominique de Villepin ancien Premier ministre, membre de l'UMP
- Gaël Yanno député UMP de Nouvelle-Calédonie
Journalistes
- Christophe Agnus directeur délégué du groupe Mondadori France
- Laurent Artur du Plessis journaliste et écrivain
- Claire Chazal journaliste de TF1, romancière
- Jean-Marie Colombani directeur du journal Le Monde de 1994 à 2007
- Cyrille Emery journaliste rédacteur en chef adjoint du MTPB, juriste
- Marc-Olivier Fogiel animateur et producteur d'émissions de télévision et de radio
- Bruno Godard journaliste sportif
- Pierre Jeantet président du directoire du groupe Le Monde en 2007
- Jean Quatremer journaliste français, spécialisé dans les questions européennes
- Philippe Manière journaliste français, est directeur général de l'Institut Montaigne
Personnalités du monde des affaires
- Florian Bourges homme d'affaires et ancien juriste
- Denis Hennequin président de McDonald's Europe
- Arno Klarsfeld avocat français
- Patrick Klugman avocat d'affaires, ancien président de l'UEJF.
- Thierry Lefébure lobbyiste français
- Anne Méaux lobbyiste et conseillère en communication (Pinault, Mittal...) et ancienne membre du GUD
- Ludwik Sobolewski [5], président du Warsaw Stock Exchange
Juristes
- Yves Bot avocat général français de la Cour de Justice des Communautés européennes
- Frédéric Debove maître de conférence en droit privé à Paris II
- Christian Charrière-Bournazel bâtonnier de l'Ordre des avocats à la cour d'appel de Paris
- Benoit Fleury professeur d'histoire du droit, ancien secrétaire général du groupe Union-Droit
- Éric Halphen juge anti-corruption français
- Vincent Lamanda premier président de la Cour de cassation française
- Philippe Lauvaux professeur de droit constitutionnel à Paris II
- Pascal Mbongo juriste et politiste français, professeur à Sciences Po
- Sylvie Noachovitch avocate et chroniqueuse
- Francis Szpiner avocat français
- Bruno Thouzellier syndicaliste et magistrat français
Écrivains
- Claire Béchet romancière et dramaturge française
- Antoine Buéno romancier français
- Renaud Camus écrivain français
- Louis Lanher écrivain français
- Layid Moha écrivain marocain
- Alexandre Najjar écrivain libanais
- Daniel Picouly écrivain et scénariste de bande dessinée français
- Lolita Pille écrivaine française
- Jean-Marc Rouvière écrivain français auteur d'essais de philosophie religieuse
Autres
- Antoine Billot universitaire, économiste et écrivain français
- Christophe Clement entraîneur français de chevaux de course
- Corinne Coman Miss France 2003
- Ludovic François professeur affilié au groupe HEC
- Michel Husson statisticien et économiste français
- Pascal Mailhos haut fonctionnaire français
- François de Mazières haut fonctionnaire français
- Kamel Mennour galeriste français, d'origine algérienne
- Alain Orsoni ancien dirigeant du Mouvement pour l'autodétermination
[modifier] Professeurs célèbres
Georges Vedel, de l'Académie française, ancien membre du Conseil constitutionnel, en a été un célèbre doyen.
François Terré[36], Prosper Weil [37], Albert Rigaudière[38], et Roland Drago sont membres de l'Académie des Sciences morales et politiques. Joe Verhoeven est secrétaire général de l'Institut de droit international.
Certains enseignants sont d'anciens doyens d'autres universités, comme Claude Blumann[39], André Castaldo, doyen honoraire de la Faculté de droit et de science politique de l'Université de Paris XIII, et Serge Guinchard[40].
- Ronny Abraham professeur de droit public depuis 2004, actuellement juge à la Cour internationale de justice
- Edmond Alphandéry professeur d'économie
- Olivier Beaud professeur de droit public (Théorie générale de l'État)
- Jean-Paul Betbèze professeur d'économie
- Mario Bettati professeur de droit international de 1988 à 2006
- Jean-Pierre Boisivon professeur émérite
- Jean Carbonnier professeur de droit privé de 1955 à 1976 (décédé en 2003)
- Nicole Catala professeur de droit privé (droit social) depuis 1969
- Dominique Chagnollaud professeur de droit public
- René Chapus professeur de droit public, il crée le Centre de droit et contentieux administratifs [41]
- Jacques Chevallier, professeur de droit public (science administrative)
- Gérard Cornu professeur de droit privé, doyen de la faculté de droit de Poitiers (décédé en 2007)
- Jacqueline Costa-Lascoux y dirigea le laboratoire de sociologie juridique [42]
- Emmanuel Decaux professeur de droit public (droit public international)
- Pierre Delvolvé professeur de droit public (droit administratif)
- Guillaume Drago professeur de droit public (contentieux constitutionnel)
- Jacqueline Dutheil de la Rochère professeur de droit public (droit communautaire), présidente de l'université de 2002 à 2006
- Bénédicte Fauvarque-Cosson professeur de droit privé
- Philippe Fouchard professeur de droit privé (droit commercial international), responsable de l'école doctorale de droit international (décédé en 2004)
- Jean Foyer professeur émérite, de droit privé de 1973 à 1989
- Yves Gaudemet professeur de droit public (droit administratif)
- Gilles J. Guglielmi professeur de droit public (droit du service public)
- Serge Guinchard professeur de droit privé (droit du procès), dirige l'IEJ de l'université de 1990 à 2000
- Jerôme Huet professeur de droit privé (droit de la communication)
- Christian Larroumet professeur de droit privé
- Hervé Lecuyer
- Bertrand Lemennicier professeur d'économie
- Yves Lequette professeur de droit privé
- Martine Lombard professeur de droit public (droit public de l'économie)
- Jean-Claude Martinez professeur de droit public (droit fiscal)
- Yves Mayaud professeur de droit pénal, annotateur du Code pénal aux éditions Dalloz (droit pénal)
- Nicolas Molfessis professeur de droit privé
- Philippe Moreau Defarges professeur de science politique (géopolitique)
- Hugues Portelli professeur de droit public (droit constitutionnel)
- Philippe Raynaud professeur de science politique (philosophie politique)
- Stéphane Rials professeur de droit public (philosophie du droit)
- Serge Sur professeur en droit public (droit international public)
- Roger-Gérard Schwartzenberg professeur de science politique
- Bernard Teyssié professeur de droit privé (droit du travail)
- Daniel Vitry professeur d'économie, membre du Cercle des économistes
- Louis Vogel professeur de droit privé (droit de la concurrence), président de l'université depuis 2006
[modifier] Notes et références
- ↑ Données de 2004, à consulter sur le site du [www.cne-evaluation.fr/WCNE_pdf/Paris2_2006.pdf Comité national d'évaluation]
- ↑ Données de 2005, à consulter sur le site du figaro étudiant Le Figaro étudiant
- ↑ Selon le décret du 17 décembre 1970 portant érection d'universités et instituts nationaux polytechniques en établissements publics à caractère scientifique et culturel
- ↑ Notamment numéro spécial université (31/05/2007) "Plus de 800 questionnaires détaillés nous ont été retournés : suivi des diplômés, durée moyenne de recherche d'emploi, salaire de sortie, type d'emploi occupé, secteurs d'embauche, associations d'anciens, partenariats entreprises, autant de données que ne valorisent d'habitude que les grandes écoles. Elles nous ont servi à sélectionner et à mettre en ligne plus de 450 programmes remarquables. L'exercice a permis de dessiner une petite géographie subjective des universités les plus réactives. Sur le podium des meilleures pourvoyeuses de pépites, on trouve Paris I, Lyon I, Paris V, Paris IX, Paris II et Paris X, suivies de près par Marne-la-Vallée, Tours et Grenoble-I." (Présentation en ligne : http://enseignement.nouvelobs.com/article.html?id=345864&mag=obs) et voir aussi Le Nouvel Obs Etudiants n° 6 - Spécial « Pépites de la fac »
- ↑ Voir le détail des plaquettes sur le site de l'université Paris II LMD détail
- ↑ Jacqueline Dutheil de la Rochère, ancienne présidente de l'université, dans le figaro étudiant en 2005
- ↑ droit administratif, directeur du Master recherche droit public approfondi, (Association des Anciens : http://amdpa.blogspot.com/),
- ↑ droit fiscal et droit administratif des biens
- ↑ histoire du droit et des régimes politiques
- ↑ droit processuel, procédures civiles d'exécution, droit des sûretés, directeur du master Culture juridique, destiné aux étudiants étrangers francophones
- ↑ doyen honoraire de Lyon III, droit processuel, procédures civile et pénale
- ↑ Responsable du master administration et gestion publique, ancien directeur des études de l'École nationale d'administration
- ↑ [1]
- ↑ la corpo d'Assas
- ↑ Assas.net
- ↑ Assas.Net Site web
- ↑ Le BDM Assas (bureau de la musique)
- ↑ UGES
- ↑ Défi Assas
- ↑ CINE FAC
- ↑ Nouveaux Cinémas, Festival de courts-métrages numériques
- ↑ Les Jeunes Européens Sorbonne-Assas
- ↑ Loi relative aux libertés et responsabilités des universités sur Legifrance
- ↑ Résultats des élections aux conseils centraux de Paris II eu 8 avril 2008
- ↑ Liste des représentants et des élus au conseil d'administration d'Assas en 2007
- ↑ Liste des élus au CEVU
- ↑ Liste des élus au conseil scientifique
- ↑ Consulter le site officiel de l'université Paris II Assas dédié aux travaux Travaux d'Assas
- ↑ Les enquêteurs privés, comme les sociétés de gardiennage, ont, en effet, été rattachés aux professions de sécurité par la loi d'orientation et de programmation relative à la sécurité, n° 95-73 du 21 janvier 1995 (cf.annexe 1) qui affirme qu'ils "exercent des activités de sécurité privée" et "concourent ainsi à la sécurité générale."
- ↑ Exemples d'investissements de la Ville ou du DAM : En 1990, aménagement de l'amphithéâtre Saint Sauveur - En 1992 : acquisition et transformation d'une ancienne école privée en site des Nonettes - De 1994 à 1997 : acquisition, construction et inauguration du site de la Reine Blanche (27/9/1997) - De 2005 à 2007 : acquisition, construction et inauguration du site Emmanuel Fréteau de Saint Just (29/9/2007).
- ↑ dans sa séance du 25 octobre 2006, siégeant en formation plénière, le Conseil d'Administration de Paris 2 a, lui même, renouvelé son attachement à ce Centre en renouvelant la convention avec la communauté d'agglomération Melun Val de Seine. Extrait de la délibération : "12. Approbation d’une convention entre l’Université et la communauté d’agglomération Melun Val de Seine (CAMVS) M. le Président ayant donné la parole à M. KESLER, ce dernier expose qu’il s’agit de reconduire la convention liant Paris 2 à la communauté d’agglomération Melun Val de Seine. Cette convention a pour objet de fixer les modalités de répartition du financement en ce qui concerne le centre de Melun. La communauté d’agglomération Melun Val de Seine met à la disposition de l’Université des moyens en locaux, en personnel et prend en charge la majorité des dépenses de fonctionnement. La convention prévoit que la participation de l’Université aux charges de fonctionnement sera indexée sur la hausse des prix qui est plafonnée à 1% par an. La durée de la convention est portée à sept ans pour s’articuler sur le programme d’investissement de la communauté d’agglomération Melun Val de Seine. M. KESLER attire l’attention sur le préambule qui retrace les évolutions du centre de Melun, sa croissance régulière. L’article 2 de la convention dresse la liste des bâtiments mis à la disposition du centre de Melun, principalement le bâtiment de la Reine blanche, le bâtiment de la pointe de l’île Saint-Etienne comprenant la bibliothèque et le bâtiment historique dit de la Courtille. En outre, la communauté d’agglomération Melun Val de Seine a acquis en 2005 les locaux de l’ancienne poste afin de les transformer en locaux universitaires pour la rentrée 2007. (...) M. LEVENEUR s’interroge sur une éventuelle transformation du centre de Melun en une université autonome dans un avenir proche ou à moyen terme. M. CHEVALLIER estime peu vraisemblable que le centre de Melun devienne une université autonome. Si le centre de Melun se séparait de Paris 2, ce serait pour rejoindre une université comme Marne-la-Vallée. M. CHEVALLIER pense que l’Université a plutôt intérêt à conserver un lien avec le centre de Melun. La communauté d’agglomération Melun Val de Seine fournit un effort considérable et impressionnant concernant l’aménagement des locaux. M. le Président indique que le vœu de la communauté d’agglomération Melun Val de Seine est que le centre de Melun reste rattaché à l’Université Paris 2'. L’Université a également intérêt à maintenir ce lien (...). M. GOHIN plaide pour le rattachement du centre de Melun à Paris 2 en évoquant une remise de diplôme à l’EOGN qui témoigne de l’apport fructueux du centre de Melun à Paris 2. Le conseil approuve, à l’unanimité, la convention entre l’Université et la communauté d’agglomération Melun Val de Seine (CAMVS)'".
- ↑ Bernard Teyssié a été président de 1997 à 2002, spécialisé droit social, actuellement directeur de l'école doctorale de droit privé
- ↑ Philippe Ardant a été président de 1993 à 1997, il est professeur émérite de l'Université et de l'institut d’études politiques de Paris, ancien ambassadeur, ancien président de l'Institut du Monde Arabe, ancien président de la Cour Constitutionel de la Principauté d'Andorre, spécialisé en droit constitutionnel. Décédé le 6 juin 2007 à l'âge de 77 ans.
- ↑ Georges Durry a été président de 1989 à 1993, il est professeur émérite, ancien responsable du DESS assurances, spécialiste du droit civil des personnes, des biens et des obligations, institutions judiciaires
- ↑ Jacques Robert est professeur émérite, ancien membre du Conseil constitutionnel de 1989 à 1998, droit constitutionnel et libertés fondamentales
- ↑ professeur émérite, droit civil des personnes, des obligations et des biens, ex-Responsable du DEA Philosophie du droit
- ↑ professeur émérite, droit public, membre de l'institut
- ↑ responsable du DEA Histoire du droit
- ↑ co-responsable du master Droit de l'Union européenne, doyen honoraire de l'Université de Tours
- ↑ droit processuel, Doyen honoraire de l'Université Lyon III Jean Moulin, ex-directeur de l'Institut d'études judiciaires Pierre Raynaud de Paris II
- ↑ Site du Centre]
- ↑ Voir le site Portail Minkowska
[modifier] Liens externes
- Site officiel de l'Université
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