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Louise Michel - Wikipédia

Louise Michel

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Louise Michel
Louise Michel
Louise Michel
Naissance 29 mai 1830
à Vroncourt-la-Côte
Décès 9 janvier 1905 (à 74 ans)
à Marseille
Nationalité France France
Profession Institutrice
Occupation Militante anarchiste
Communarde

Louise Michel, née le 29 mai 1830 à Vroncourt-la-Côte et morte le 9 janvier 1905 à Marseille, alias Enjolras, est une militante anarchiste et l’une des figures majeures de la Commune de Paris. Première à arborer le drapeau noir, elle popularise celui-ci au sein du mouvement anarchiste.

Sommaire

[modifier] Biographie

Louise Michel est née le 29 mai 1830 en Haute-Marne au château de Vroncourt, fille d’un châtelain (plus vraisemblablement de son fils) et de sa servante, Marianne Michel. Elle grandit dans la famille de ceux qu’elle appelle ses grands-parents, où elle semble avoir été heureuse, se montrant, très jeune, altruiste par nature avec son entourage, et où elle reçoit une bonne instruction et une éducation libérale.

Elle poursuit ensuite des études à Chaumont où elle obtient le brevet de capacité permettant d’exercer la profession d’institutrice. Mais elle refuse de prêter serment à l’Empire, et crée une école libre où elle enseigne durant trois années selon des principes républicains qui lui valent quelques réprimandes de la part des autorités.

Elle était membre de la franc-maçonnerie [1].

[modifier] Paris

Elle vient ensuite s’installer à Paris où elle enseigne dans une institution près du Château-d’Eau, dirigée par une certaine madame Voillier avec laquelle elle entretient des rapports quasi filiaux. Commence alors pour elle une période d’activité intense. C’est à ce moment qu’elle rencontre Jules Vallès, Eugène Varlin, Raoul Rigault, Émile Eudes et surtout Théophile Ferré, qu’elle aima passionnément. Elle collabore à des journaux d’opposition, poursuit une activité littéraire. Elle adressera quelques poèmes à Victor Hugo, un des personnages les plus célèbres et les plus respectés de cette époque, qu’elle rencontre à peine arrivée à Paris, vierge sage, jeune institutrice de province, et dont on prétend qu’elle aurait eu une enfant, Victorine, placée en nourrice à sa naissance. Cette dernière affirmation restant très discutée.

Elle aura dès lors une activité politique qu’elle mènera jusqu’à sa mort. Dès 1869, elle est secrétaire de la Société démocratique de moralisation, ayant pour but d’aider les ouvrières. Elle a alors près de quarante ans. Un rapport de police affirme (en 1878) qu’elle adhère à l’Internationale. À cette époque, et jusqu’à l’exil, Louise était Blanquiste, c’est-à-dire adepte du mouvement républicain socialiste fondé par Auguste Blanqui, auteur du fameux slogan « Ni dieu ni maître ! »

En 1870 à la veille de la Commune, elle est élue présidente du Comité de vigilance des citoyennes du XVIIIe arrondissement de Paris. Elle enseigne dans un externat fondé par elle-même en 1865. Dans Paris affamé, elle crée une cantine pour ses élèves. Elle rencontre Georges Clemenceau, maire de Montmartre. On assiste alors à d’étonnantes manifestations : femmes, enfants, gardes fédérés entourent les soldats qui fraternisent avec cette foule joyeuse et pacifique. Louise Michel fait alors partie de l’aile révolutionnaire la plus radicale aux côtés des anarchistes, et pense qu’il faut poursuivre l’offensive sur Versailles pour arrêter le gouvernement d’Adolphe Thiers qui n’a alors que peu de troupes. Cela ne durera pas et l’occasion est manquée. C’est alors que le destin de Louise Michel bascule et se précipite. Elle est même volontaire pour se rendre seule à Versailles et tuer Thiers.

[modifier] La Commune

Louise Michel harangue les communards
Louise Michel harangue les communards

Partie prenante de la Commune de Paris quand intervient l’épisode maintes fois mentionné, où, en habit de garde nationale, elle fait le coup de feu Place de l'Hôtel-de-Ville. Propagandiste, garde au 61e bataillon, ambulancière, elle anime aussi le Club de la Révolution (à l'église Saint-Bernard-de-la-Chapelle, dans le XVIIIe arrondissement) et est toujours intéressée par les problèmes de l’éducation. Il est intéressant de remarquer qu’elle est très en avance sur son temps, préconisant des mesures qui aujourd’hui nous paraissent acquises et normales, mais qui à l’époque sont des nouveautés, comme des écoles professionnelles et des orphelinats laïcs, se prononçant en faveur d’un enseignement vivant et populaire.

Sur la barricade de Clignancourt, en mai 1871, elle participe au combat de rue dans lequel elle tirera ses derniers coups de feu. Elle se rend pour faire libérer sa mère, arrêtée à sa place. Elle assiste alors aux exécutions et voit mourir tous ses amis, parmi lesquels son ami Théophile Ferré (exécuté avec l’ancien ministre de la Guerre de la Commune, Louis Rossel), auquel elle fait parvenir un poème d’adieu émouvant, les œillets rouges. Elle réclame la mort au tribunal, et c’est sans doute en l’apprenant que Victor Hugo lui dédie son poème, Viro Major. Elle passe alors vingt mois en détention et se voit condamnée à la déportation. C’est le temps où la presse versaillaise la nomme la Louve rouge, la Bonne Louise.

[modifier] La déportation

Embarquée sur le Virginie pour être déportée en Nouvelle-Calédonie, elle chante avec d’autres communards « Le temps des cerises » en regardant s’éloigner la côte, elle arrivera sur l’île après quatre mois de traversée. À bord, elle fait la connaissance de Henri Rochefort, célèbre polémiste, et de Nathalie Lemel, elle aussi grande animatrice de la Commune. Et c’est sans doute au contact de cette dernière que Louise est devenue anarchiste. Elle restera sept années en Nouvelle-Calédonie, refusant de bénéficier d’un autre régime que celui des hommes. Elle cherche à instruire les autochtones kanaks et, contrairement à certains Communards qui s’associent à leur répression, elle prend leur défense lors de leur révolte, en 1878. Elle aurait même fait parvenir au chef de la rébellion Ataï un morceau de son écharpe. Elle obtient l’année suivante l’autorisation de s’installer à Nouméa et de reprendre son métier d’enseignante, d’abord auprès des enfants de déportés, puis dans les écoles de filles.

[modifier] Une militante anarchiste inlassable

De retour en France en novembre 1880, elle est chaleureusement accueillie par la foule à Paris. Elle y reprendra son activité d’infatigable militante, donnant de nombreuses conférences, intervenant dans les meetings, se prononcera contre la peine de mort, ne prendra que médiocrement part à l’agitation provoquée par l’affaire Dreyfus (s’agissant pour elle de protéger le "frère" Henri Rochefort, ici attaqué), mais se réclamera jusqu’à sa mort du mouvement anarchiste. « Je suis devenue anarchiste quand nous avons été envoyés en Nouvelle-Calédonie », dira-t-elle. C’est le 18 mars 1882, lors d’un meeting salle Favié à Paris, que Louise Michel, désirant se dissocier des socialistes autoritaires et parlementaires, se prononce sans ambiguïté pour l’adoption du drapeau noir par les anarchistes (socialistes libertaires), « Plus de drapeau rouge mouillé du sang de nos soldats. J’arborerai le drapeau noir, portant le deuil de nos morts et de nos illusions ».

Ce nouvel engagement est bientôt concrétisé par l’action : le 9 mars 1883, elle mène, avec Émile Pouget, une manifestation au nom des "sans-travail" qui dégénère rapidement en pillages de boulangeries (comme celle du n° 3 de la rue des Canettes) et en affrontement avec les forces de l’ordre. Louise est par conséquent condamnée à six ans de prison pour "excitation au pillage" [2].

De 1890 à 1895, elle vit à Londres où elle gère une école libertaire. De retour en France, elle alterne ses tournées de conférences avec des séjours à Londres avec des amis. Elle est plusieurs fois arrêtée lors de manifestations, de nouveau incarcérée pour six ans et libérée au bout de trois sur intervention de Clémenceau, pour revoir sa mère sur le point de mourir. Encore quelques incarcérations, moins longues ; elle est, pourrait-on dire, suivie heure par heure par les services de police.

Elle meurt à Marseille d’une pneumonie lors d’une tournée de conférences ; ses funérailles drainèrent à Paris une foule immense qui ne manqua pas d’impressionner les contemporains. De nombreux orateurs prirent la parole et, parmi eux, le Vénérable de la Loge de la Fraternité Universelle. Insignes et emblèmes maçonniques fleurirent sur sa tombe, de sorte que l’anarchiste Sébastien Faure fit observer qu’elle n’avait jamais appartenu à aucune association, pas même anarchiste, puisque ce mouvement n’était pas encore structuré en fédération (y eût-elle adhéré s’il l’avait été ? On peut se demander si cette nature indépendante aurait accepté). Un témoin oculaire, Lorulot, affirme cependant qu’elle avait donné son adhésion à l’Ordre Maçonnique Mixte International le Droit Humain fondé en 1893. Si elle appartint à une Loge, ce dut être à celle-là, d’abord parce que la grande majorité des obédiences, sexistes et conservatrices, aujourd’hui encore, n’acceptent pas les femmes, ce qui n’aurait certainement pas été de son goût, ensuite parce que la loge mixte fondée par une femme, Maria Desraimes, était la seule qui pouvait éventuellement lui convenir. Sur la proposition de Madeleine Lepelletier, elle y fut invitée, un an avant sa mort, y prononça un discours de réception, n’y fut pas « initiée » mais en quelque sorte cooptée, les membres de ladite loge s’estimant honorés par son acquiescement à leur requête et retenant que son action la dispensait du rite d’initiation. Quand on lui demanda pourquoi elle ne s’y était jamais présentée, elle répondit qu’elle croyait « qu’on n’y acceptait pas les femmes ».

Jusqu’en 1916, une manifestation eut lieu chaque année sur sa tombe, située à Levallois-Perret, fleurie jusqu’à nos jours à chaque anniversaire. En 2005, fut célébré le centième anniversaire de sa mort. À cette occasion deux colloques rendirent hommage à la « bonne Louise », notamment l’important colloque de mars organisé par la Mairie de Paris et l’association culturelle Actazé « Louise Michel, figure de la transversalité » (sous la direction de Valérie Morignat). Cet événement rassembla 22 spécialistes de Louise Michel qui soulignèrent une personnalité inclassable, brillante et toujours contemporaine. Louise Michel est apparue dans toute son actualité à travers les conférences, que ce soit par l’extraordinaire influence qu’elle exerce encore sur les départements d’Études féminines américaines, où encore par la clairvoyance de son roman « La misère » (1000 pages inédites) qui annonce la crise sociale des banlieues. Les informations complètes sur ce colloque intitulé « Louise Michel, Figure de la transversalité » sont sur les pages d’Actazé qui publiera début 2007 l’intégralité des conférences [3].

[modifier] Héritage social de Louise Michel

Figure légendaire du mouvement anarchiste et du mouvement ouvrier en général, Louise fait incontestablement se déplacer les foules. C’est souvent un vocabulaire relevant de celui réservé aux saintes et aux hérétiques qui lui est appliqué : quand elle n’est pas la « Bonne Louise », elle est la « Vierge rouge ». Dans le bien comme dans le mal, pour le meilleur et pour le pire, elle semble avoir exercé une réelle fascination sur ses contemporains. Il est curieux de remarquer que cette femme, instruite et cultivée, intelligente mais qui n’avait cependant rien ni de la fadeur ni de l’onction, ni la beauté de certaines des "demi-mondaines" et autres "cocottes" qui pullulent à la veille de la Belle Époque, est entourée de nombreuses figures masculines connues, voire célèbres, dont elle a l’indéfectible amitié, jusqu’à la fin de sa vie, ou plus souvent de la leur. Normal, dira-t-on, à une époque où les femmes n’ont encore aucun droit, et où, à bien des égards, elle fait figure d’exception.

Si les photos qu’on a d’elle nous montrent une femme au visage viril et sans apprêts, comme taillé à coups de serpe avec l’âge, c’est sans doute en regardant la Liberté guidant le peuple, tableau célèbre d’Eugène Delacroix, qu’on se représente le mieux cette spartiate au corps athlétique. Et, quand elle montait à la tribune, c’est sans doute à la Pasionaria qu’elle devait ressembler. C’est, avec George Sand, une des très rares femmes du XIXe siècle à avoir adopté le costume masculin à un moment de sa vie, fait révélateur d’une revendication féministe.

Généreuse, dévouée à la cause des plus démunis, c’est sans nul doute son courage qui caractérise le mieux sa personnalité. Quand elle se retrouve au tribunal sur le banc des accusés, elle s’en sert comme d’une tribune politique et en impose même à ses juges, qui en plusieurs occasions commuent ses condamnations en les atténuant.

Si son œuvre littéraire comporte peu d’écrits théoriques mais de nombreux poèmes, légendes et contes, y compris pour les enfants auxquels elle ne cessa jamais de s’intéresser, et si elle est davantage passée à la postérité pour son activisme d’inlassable militante de la « révolution Sociale », comme elle-même le disait, son nom est, paradoxalement, un des plus utilisés aux frontispices des écoles maternelles et primaires, des lycées et collèges des communes de France. Preuve s’il en est qu’elle représente bien, dans le souvenir et l’inconscient populaire, l’image de l’institutrice, de la missionnaire laïque et populaire qu’elle fut.

En France, le Prix Louise Michel est décerné à une personnalité censée défendre les valeurs républicaines. Son attribution récente à des dirigeants tels que Ben Ali ou Hosni Moubarak fait néanmoins planer quelques doutes sur l’objectivité des critères utilisés.

Le groupe de rock français Louise Attaque tire son nom du personnage.

Le groupe de punk rock expérimental français Les Louise Mitchels tire également son nom du personnage[4].

[modifier] Œuvres

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Wikisource propose un ou plusieurs textes écrits par Louise Michel.

C’est, sans doute, pour rendre justice à cette femme que Victor Hugo, qui la connaissait peut-être mieux que personne, nous l’a dépeinte telle « Judith la sombre Juive » et « Aria la romaine », femme au destin certes exceptionnel, mais terrible, cruel et tragique, et ainsi lui rendre toute sa place, trop souvent occultée au bénéfice de la militante pour des raisons dont on se doute, qui est la sienne dans la littérature française. C’est probablement ce qu’elle aurait désiré en venant à Paris que de vivre de sa plume, si les temps en lesquels elle vivait l’avaient plus facilement permis à une femme, si la Commune, résultante de la politique et de la chute du Second Empire, de celui que le même Hugo appelait « Napoléon le petit », n’avait précipité les évènements de manière irréversible.

  • À travers la vie, poésies, Paris, 1894.
  • Le Bâtard impérial, par L. Michel et J. Winter, Paris, 1883.
  • Le claque-dents, Paris.
  • La Commune, Histoire et souvenirs, Paris, 1898.
  • Contes et légendes, Paris, 1884.
  • Les Crimes de l’époque, nouvelles inédites, Paris, 1888.
  • Défense de Louise Michel, Bordeaux, 1883.
  • L’Ère nouvelle, pensée dernière, souvenirs de Calédonie (chant des captifs), Paris, 1887
  • La Fille du peuple par L. Michel et A. Grippa, Paris (1883) Fleurs et ronces, poésies, Paris,
  • Le Gars Yvon, légende bretonne, Paris, 1882.
  • Lectures encyclopédiques par cycles attractifs, Paris, 1888.
  • Ligue internationale des femmes révolutionnaires, Appel à une réunion. Signé : Louise Michel, Paris, 1882.
  • Le livre du jour de l’an : historiettes, contes et légendes pour les enfants, Paris, 1872.
  • Lueurs dans l’ombre. Plus d’idiots, plus de fous. L’âme intelligente. L’idée libre. L’esprit lucide de la terre à Dieu... Paris, 1861.
  • Manifeste et proclamation de Louise Michel aux citoyennes de Paris, Signé Louise Maboul, Paris, 1883.
  • Mémoires, Paris, 1886, t. 1.
  • Les Méprises, grand roman de mœurs parisiennes, par Louise Michel et Jean Guêtré, Paris, 1882.
  • Les Microbes humains, Paris, 1886.
  • La Misère par Louise Michel, 2e partie, et Jean Guêtré 1re partie, Paris, 1882.
  • Le Monde nouveau, Paris, 1888
  • Légendes et chants de gestes canaques : avec dessins et vocabulaires / par Louise Michel. Le rat et le poulpe / par Charles Malato, serveur Gallica

Œuvres posthumes :

  • Vol. I. Avant la Commune. Préface de Laurent Tailhade, Alfortville, 1905.
  • Les Paysans par Louise Michel et Émile Gautier, Paris, Incomplet.
  • Prise de possession, Saint-Denis, 1890.
  • Le Rêve (dans un ouvrage de Constant Martin), Paris, 1898.
  • Légendes et chants de gestes canaques. Présentation. Gérard Oberlé. Edition 1900. 1988.
  • Je vous écris de ma nuit, correspondance générale, 1850-1904, édition établie par Xavière Gauthier, Édition de Paris-Max Chaleil, 1999.

Le problème s’est posé, à la suite d’une affirmation d’Ernest Girault dans La Bonne Louise paru en 1906, de savoir si Louise Michel était en tout ou en partie l’auteur du roman de Jules Verne, Vingt mille lieues sous les mers. Après étude attentive du cas par Hem Day (Cahiers Pensée et Action, n° 9, janvier-mars 1959) et Lorulot (L'Idée Libre, avril 1959), il semble qu’il faille conclure par la négative.

[modifier] Voir aussi

commons:Accueil

Wikimedia Commons propose des documents multimédia libres sur Louise Michel.

[modifier] Notes / Références

  1. Le drapeau noir, l’équerre et le compas - Les anarchistes dans la Franc-Maçonnerie
  2. Dominique Leborgne, Saint-Germain des Prés et son faubourg, Paris, Parigramme, 2005, p. 200.
  3. Louise Michel, Figure de la Tranversalité
  4. Les Louise Mitchels

[modifier] Bibliographie

  • Irma Boyer, La Vierge rouge. Louise Michel, d’après des documents inédits, avec quatre portraits, André Delpeuch éd., 1927.
  • Pierre Durand, Louise Michel ou la révolution romantique, Éditeurs Français Réunis, 1971.
  • Pierre Durand, Louise Michel, la passion. Pantin : le Temps des cerises, 2005. 180 p., 20 cm. ISBN 2-84109-552-5. Contient un choix de poèmes de Louise Michel.
  • Françoise d’Eaubonne, Louise Michel la Canaque : 1873-1880, Éditions Encre, 1985.
  • Xavière Gauthier, La Vierge rouge, Édition de Paris-Max Chaleil, 1999. Première édition sous le titre : L’insoumise, biographie romancée de Louise Michel.
  • Ernest Girault, La Bonne Louise, Bibliothèque des auteurs modernes, 1906.
  • Xavier de La Fournière, Louise Michel, matricule 2182, Perrin, 1986.
  • Paule Lejeune, Louise Michel l’indomptable, éditions Des Femmes, 1978.
  • Jean Maitron, article Louise Michel du Dictionnaire biographique du mouvement ouvrier français (dont s'inspire, partiellement cette article).
  • Jean Maitron, Histoire du Mouvement anarchiste.
  • Yves Murie, Victorine, le grand secret de Louise Michel, chez l’auteur, 2000.
  • Fernand Planche, La Vie ardente et intrépide de Louise Michel, chez l’auteur, 1946.
  • Michel Ragon, Georges et Louise, Albin Michel, 2000.
  • Anne Sizaire, Louise Michel : l’absolu de la générosité, Desclée de Brouwer, 1995.
  • Édith Thomas, Louise Michel ou la Velléda de l’anarchie, Gallimard, 1971.
  • Xavière Gauthier (Texte établi et présenté par), "Histoire de ma vie", (ISBN 2-7297-0648-8), 180 pages, Presses Universitaires de Lyon, 2000.
  • Véronique Fau-Vincenti (Textes établis et présentés par), "Le livre du bagne. précédé de Lueurs dans l’ombre, plus d’idiots, plus de fous et du livre d’Hermann", (ISBN 2-7297-0662-3), 200 pages, Presses Universitaires de Lyon, 2001.
  • François Bogliolo (Textes établis et présentés par), "Légendes et chansons de gestes canaques (1875). Suivi de Légendes et chants de gestes canaques (1885) et de Civilisation", (ISBN 2-7297-0746-8), 238 pages, Presses Universitaires de Lyon, 2006.
  • Xavière Gauthier et Daniel Armogathe (Texte présenté par), "La Misère roman" de Louise Michel et Marguerite Tinayre, (ISBN 2-7297-0777-8), 1203 pages, Presses Universitaires de Lyon, 2006.
  • Clément Riot a rendu hommage à Louise Michel dans son épopée acousmatique Daoumi - In memoriam Louise Michel
Bon article La version du 9 mars 2007 de cet article a été reconnue comme « bon article » (comparer avec la version actuelle).
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