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Sommaire

[modifier] Histoire

[modifier] Fortifications primitives

Les premières fortifications sont la palissade en bois, le talus de terre, ou le mur de pierres sèches empilées, souvent sur le modèle de l'éperon barré[1]. L'apogée semble avoir été atteint par les tribus germaniques qu'affronta César[réf. nécessaire] en son temps, avec des talus composites : pierres, troncs d'arbre placés en longueur et terre, très difficile à détruire, car épais et donc résistant à des coups de béliers et insensibles au feu grâce à la présence de terre humide[réf. nécessaire] .

[modifier] L'apparition de la maçonnerie

La brique séchée au soleil permet de créer des murs beaucoup plus hauts, et donc imprenables par escalade[réf. nécessaire], comme les murailles de la ville de Ninive en Assyrie, avec des murs en briques de près de quarante mètres de haut[réf. nécessaire] . Le bélier et les travaux de sape et de mine contre les murs obligent à leur donner jusqu'à plus de dix mètres d'épaisseur. Parfois, on se contente de deux murs parallèles dont l'intervalle est rempli de terre[réf. nécessaire]. Le parapet se garnit de créneaux, pour que les défenseurs s'abritent entre deux tirs. Les villes fortifiées de cette époque deviennent quasiment imprenables par un assaut direct, il ne reste que la solution de l'investissement et du siège de longue durée, pour la faire tomber par la famine ou la reddition. Les Grecs et par la suite les Romains, développent et systématisent de nouvelles tactiques et techniques de siège ou poliorcétique[réf. nécessaire]. Celles-ci sont liées à l'apparition de nouvelles armes de jet lourdes, les balistes et catapultes, et des tours de siège. Ce type de siège, bien qu'efficace, demande de très longs travaux préparatoires.

L'effort défensif porte principalement sur l'utilisation du terrain : appui sur les cours d'eau ou les dénivellations naturelles. Le fossé, se généralise aussi dans les fortifications permanentes[réf. nécessaire]. Il présente trois avantages, il empêche l'assaillant d'amener une machine de siège au contact du mur, sans l'avoir préalablement comblé, il fournit des matériaux pour la construction du mur ou de la butte constituant l'obstacle, et enfin il augmente par sa profondeur, la hauteur de celui-ci.

D'autres perfectionnements commencent à se répandre, de nombreuses tours sont bâties sur une base circulaire ou ovale, au lieu de carrée ou rectangulaire, ce qui leur permet de mieux résister aux impacts des balistes. Par ailleurs, les matériaux évoluent, la brique céde la place à la pierre, plus courante aux latitudes septentrionales et moins sensible au effet du feu et des chocs[réf. nécessaire].

[modifier] Le château fort

Icône de détail Article détaillé : château fort.
Murs d'enceinte du château médiéval de Château-Thierry, Aisne, France.
Murs d'enceinte du château médiéval de Château-Thierry, Aisne, France.

La physionomie des châteaux forts a changé au cours du Moyen Âge parallèlement à l'évolution des techniques militaires et de siège (poliorcétique). La structure et l'ampleur des châteaux forts dépendent également des régions et du pouvoir de son propriétaire.

L'enceinte castrale est, avec la motte féodale, le premier château-fort de l'histoire. Une tour-porche en protège l'entrée. Surmontée probablement d'une palissade, l'enceinte est en terre, celle retirée du fossé. Ce château-fort primitif couvrit en fait toute l'Europe occidentale[réf. nécessaire]. Ce type de fortification semble aussi avoir cohabité avec le type « motte castrale » et perduré jusqu'au XIIe siècle.

Les premières fortifications en bois : motte fortifiée de Dinan (Bretagne), d'après la tapisserie de Bayeux
Les premières fortifications en bois : motte fortifiée de Dinan (Bretagne), d'après la tapisserie de Bayeux

La motte féodale est une butte artificielle sur laquelle est aménagée une tour entourée d’une palissade et d'un large fossé. Les spécialistes les appellent aussi «château à motte et basse-cour»[2]). Les premières mottes sont aménagées à la fin de l’époque carolingienne entre Rhin, Escaut et Loire. Les mottes apparaissent plus tardivement dans le nord de l’Europe (XIIe siècle au Danemark) et à l’est de l’Elbe (XIIIe siècle) [3]

Maquette d'une reconstitution de motte castrale : à droite, la motte et sa tour de bois, entourée d'une palissade ;à gauche, la basse-cour
Maquette d'une reconstitution de motte castrale : à droite, la motte et sa tour de bois, entourée d'une palissade ;à gauche, la basse-cour

Les dimensions des mottes varient de 50 à 200 mètres de diamètre et d'une hauteur de 10 à 60 mètres[4]. La motte castrale est incluse dans un ensemble fortifié plus vaste qui comprend une basse-cour, séparée par un fossé. Cet espace était suffisamment vaste pour accueillir la population réfugiée. Au pied de la butte s'étendait une basse cour avec des habitations, des écuries, des bâtiments agricoles et parfois le logis seigneurial. La tapisserie de Bayeux est une source iconographique de première importance pour la connaissance des mottes castrales. [Attention, la tapisserie est une œuvre de « fiction » et impose le modèle de la motte à des endroits où l'archéologie n'a rien retrouvé.]

La fortification en pierre, souvent un donjon entouré de remparts, ne correspond pas à une étape de l'histoire des châteaux-forts. Autrement dit, les châteaux en pierre n'ont pas succédé aux châteaux en terre et bois. Le choix du matériau dépendait surtout des moyens du commanditaire. Les donjons sont adoptés en Normandie puis en Angleterre et en Allemagne au cours du XIe siècle[5].

Porte Notre-Dame - Château de Fougères, Bretagne
Porte Notre-Dame - Château de Fougères, Bretagne

L'apogée du château fort proprement dit est le XIIe siècle. On le désigne parfois sous l'expression « château roman ». À partir de 1150, les techniques castrales s’adaptent aux progrès de la poliorcétique :

  • Les murailles deviennent plus hautes et plus épaisses, jusqu’à 7 mètres d’épaisseur pour le donjon[6] pour résister aux tirs des catapultes. Les châteaux adoptent un plan plus « ramassé », plus « tassé » afin de réduire la surface à défendre.
  • La courtine se dote de tours de flanquement à partir de 1160[réf. nécessaire] ; elles sont d'abord rectangulaires, semi-circulaires et enfin circulaires. Elles sont de plus en plus nombreuses et rapprochées. Les tours circulaires résistent mieux aux mangonneaux et ne laissent aucun angle de tir mort. Elles nécessitent moins de pierre pour leur construction. Elles étaient souvent surmontées d'échauguettes ou coiffées de toits coniques.
  • Le donjon circulaire (comme au Louvre construit sous Philippe Auguste), devient la règle générale [attention aux exceptions] après 1150[réf. nécessaire].
  • Les meurtrières apparaissent à la fin du XIIe siècle pour faciliter le tir à l'arbalète[réf. nécessaire].
  • Grâce à la fortune des princes, les constructeurs utilisent de plus en plus la pierre. Cependant, le bois est toujours utilisé pour les défenses annexes : barbacanes, lices, bretèches, hourds

Enfin, le château fort se dote d'une double enceinte au XIIIe siècle[réf. nécessaire] : les deux remparts dégagent donc un espace intermédiaire appelé « lices ». Des tourelles sont construites pour ne pas laisser d'angles morts. Un chemin de ronde ainsi qu'un fossé plus large et plus profond sont aménagés. Pour se défendre contre les projectiles incendiaires, les toits sont couverts de plomb[réf. nécessaire], les planchers sont remplacés par des voûtes de pierre. Le plan du château plus resserré et géométrique (carré pour le Louvre). Les princes et les rois font entourer leurs villes d'enceintes : Rouen, Paris, Laon, Aigues-Mortes, Provins, Angers

[modifier] La fin des châteaux forts

Certains spécialistes en castellologie comme Gérard Denizeau avance que le XVe siècle signifie la fin des châteaux-forts. En effet, les progrès de l'artillerie rendent désormais les murailles très vulnérables. À partir de 1418, se généralise l'utilisation de boulets en fer, beaucoup plus destructeur que les boulets de pierre[réf. nécessaire]. Les canons de la fin de la guerre de Cent Ans permettent d'accélérer les sièges en ouvrant des brèches dans la muraille, plus efficacement que la sape ou le bélier. Cependant la mort du château fort ne fut pas si brusque. Il a continué aux XVe et XVIe siècles à s'adapter à l'évolution de l'armement. À Salses, à la frontière franco-espagnole, l'ingénieur aragonais Ramirez a « enterré » le château pour mieux résister aux tirs rasants. Le rempart atteint 12 m d'épaisseur[réf. nécessaire]. Aux angles, quatre tours circulaires sont percées de canonnières. Car la meilleure façon de résister au canon, c'est d'en avoir soi-même. C'est ce qu'on appelle la défense active.

Plus généralement, les anciens châteaux sont améliorés pour faire face à l'artillerie. Le sommet des tours accueille par exemple des plates-formes sur lesquelles on installe les canons (Fougères). On construit des barbacanes en U ou en proue de navire devant les entrées (Bonaguil, Lassay). On élargit les fossés que l'on défend par un moineau (Loches). Ou encore, on multiplie les tours le long de la courtine. Mieux, on installe de fausses braies (Gisors, Domfront). Le château-fort n'est donc pas fini mais son apogée est bien terminé. Si, en France, il est encore utilisé pendant les guerres de Religion dans la seconde moitié du XVIe siècle, on n'en construit pas de nouveaux. Henri IV confirme leur déclin en ordonnant la destruction ou le démantèlement de nombreuses forteresses pour éviter qu'elles servent de repère aux ennemis de l'autorité royale. [Ref pour l'ensemble du §]

Il semble qu'au XVIIe siècle, la défense du territoire par un réseau castral soit révolue. Les villes, notamment les villes-citadelles comme Lille, Besançon ou Neuf-Brisach, sont préférées pour arrêter l'adversaire. Surtout, les souverains comptent davantage sur leur « muraille humaine », c'est-à-dire leur armée en bataille. Les châteaux-forts deviennent obsolètes. Les propriétaires essaient alors d'améliorer leur fonction résidentielle. Les ponts-levis sont remplacés par des ponts en pierre. Les bâtiments à l'intérieur de la cour sont percés de fenêtres à meneaux. Parfois, comme à Lillebonne en 1709, on construit un nouveau bâtiment au goût du jour et confortable. [Ref pour l'ensemble du §]

[modifier] Les forts classiques

[modifier] L'apparition de l'artillerie et le début du bastion

Système de fortification bastionnée
Système de fortification bastionnée

L'apparition des canons rend la construction de murs maçonnés capables de leur résister de plus en plus ardue. De plus, les canons tirent de plus en plus vite et précisément, il devient possible de concentrer plusieurs tirs successifs sur une zone précise, pour créer une brèche, dans n'importe quel mur, ce qui était impossible avec l'artillerie nevrobalistique. La fortification doit évoluer devant cette nouvelle menace. Suite à la démonstration faite par l'armée de François Ier lors des guerres d'Italie, la fragilité des forteresses traditionnelles est une cause entendue.[Ref pour l'ensemble du §]

Le siège est désormais considéré comme un duel d'artillerie entre les canons qui attaquent la place forte et ceux qui la défendent. L'art de fortifier va donc consister à donner à ces derniers le maximum d'avantages dans la lutte. Dès le XIVe siècle apparaissent les tours à canons, basses et massives, qui renforcent les forts existants. La phase suivante va être de diminuer la hauteur des courtines et des tours. L'ouvrage émerge alors à peine de son fossé, qui a repris la fonction d'obstacle, le mur haut devenant trop vulnérable. Les courtines perdent leur créneaux, au profit d'embrasures pour les canons, et des ouvrages détachés commencent à apparaître autour du corps principal de la forteresse. La fonction de ces derniers est de retarder au maximum l'attaque contre la forteresse elle-même, sans présenter un quelconque abri pour l'assaillant, une fois qu'ils sont pris. Des caponnières permettent aussi une défense plus aisée du fossé. [Ref pour l'ensemble du §]

Icône de détail Article détaillé : trace italienne.

Lors de la guerre d'indépendance hollandaise, une nouvelle école germanique de fortification émerge et pose les bases des nouvelles manières de défendre les places fortes. Elle introduit le glacis, une zone en pente douce, privée de tout couvert, qui entoure la forteresse. Autre nouveauté, le chemin couvert, qui sépare le fossé du glacis : il permet de déployer des mousquetaires, pour fusiller tout assaillant qui s'aventurerait sur le glacis. Il est légèrement en contrebas des courtines principales qui sont armées par les canons de la place, ce qui permet l'étagement des feux ; il n'est pas protégé côté forteresse, et n'offre donc aucun avantage après sa prise. L'usage de la terre extraite du fossé dans la construction redevient prépondérant, la maçonnerie est employée principalement pour bâtir deux murs encadrant le fossé, l'escarpe côté courtine et la contrescarpe côté glacis. La tour disparaît au profit du bastion, entre lesquels s'intercalent des demi-lunes, qui remplacent les premiers ouvrages détachés. Ces deux types d'ouvrage portent l'artillerie de la place.[Ref pour l'ensemble du §]

Toutes ces nouvelles techniques sont formalisées, en France, dans un premier traité de fortification écrit en 1600 par Jean Errard. Il y détermine les distances entre les ouvrages en fonction de la portée de l'arquebuse et préconise l'étagement des feux. Antoine Deville et Blaise de Pagan poursuivent son œuvre, en particulier en introduisant l'usage de réduits, au sein des ouvrages, pour retarder leur chute en fournissant aux défenseurs une position de repli où ils peuvent se réfugier et bénéficier d'un avantage, au sein même de l'ouvrage. Le principe de l'échelonnement dans la profondeur est né, il est ensuite perfectionné par leurs successeurs, dont Vauban.[Ref pour l'ensemble du §]

[modifier] Le système Vauban

Une coupe des fortifications Vauban, suivant la ligne capitale passant par une demi-lune
Une coupe des fortifications Vauban, suivant la ligne capitale passant par une demi-lune
Citadelle de Lille
Citadelle de Lille
Tour Vauban à Camaret en Bretagne
Tour Vauban à Camaret en Bretagne
Étoile de Vauban de la citadelle de Lille
Étoile de Vauban de la citadelle de Lille

Fort de son expérience de la poliorcétique, il conçoit ou améliore les fortifications de nombreuses villes et ports français. Cela commence en 1666 avec la prise en main des travaux du fort de Brisach. Ce premier chantier lui attirera l'inimité de Colbert de Saint-Marc qui n'hésitera pas pas à falsifier des pièces comptables pour le discréditer[7] et se poursuit jusq'à la mort de l'ingénieur en 1707. Ces travaux gigantesques sont permis par la richesse du pays[8]. Il révolutionne aussi bien la défense des places fortes que leur capture. Il dote la France d'un glacis de places fortes pouvant se soutenir entre elles : pour lui, aucune place n'est imprenable mais si on lui donne les moyens de résister suffisamment longtemps des secours pourront prendre l'ennemi à revers et lever le siège). Vauban va ainsi pousser le roi à révolutionner la doctrine militaire défensive de la France en concentrant les place fortes sur les frontières du Royaume c’est la « ceinture de fer » qui protège le pays : le pré carré du roi[9]. À l’intérieur du pays, où le danger d’invasion est moindre, les forteresses sont démantelées. Paris perd par exemple ses fortifications, d’une part, pour libérer des troupes devenues inutiles et qui sont transférées aux frontières et d’autre part, pour éviter aux révoltes de trouver asile dans l’une d’elles comme cela avait été le cas lors de la Fronde[10].

Au total, Vauban a créé ou élargi plus de 180 forteresses et donné son nom à un type d'architecture militaire : le système Vauban qui a largement été repris, même hors de France, comme par exemple pour les fortifications de la ville de Cadix.

Vauban aurait entre 1666 et 1707, été le responsable de l'amélioration des fortifications d'environ 300 villes et dirigé la création de 37 nouvelles forteresses et ports fortifiés[réf. nécessaire].

[modifier] Le pré carré

Le pré carré est une double ligne de villes fortifiées qui protège les nouvelles frontières du Royaume de France contre les Pays-Bas espagnols. Le pré carré a été conçu par Vauban au XVIIe siècle siècle après la conquête du Nord de l’actuelle France.

A l'origine de cette expression, cette lettre adressée par Vauban à Louvois en janvier 1673 : "Sérieusement, Monseigneur, le roi devrait un peu songer à faire son pré carré. Cette confusion de places amies et ennemies ne me plaît point. Vous êtes obligé d'en entretenir trois pour une. Vos peuples en sont tourmentés, vos dépenses de beaucoup augmentées et vos forces de beaucoup diminuées, et j'ajoute qu'il est presque impossible que vous les puissiez toutes mettre en état et les munir. Je dis de plus que si, dans les démêlés que nous avons si souvent avec nos voisins, nous venions à jouer un peu de malheur, ou (ce que Dieu ne veuille) à tomber dans une minorié, la plupart s'en irait comme elles sont venues. C'est pourquoi, soit par traité ou par une bonne guerre, Monseigneur, prêchez toujors la quadrature, non pas du cercle, mais du pré. C'est une belle et bonne chose que de pouvoir tenir son fait des deux mains."

[modifier] Conception et construction d'une fortification

[modifier] Choix de l'emplacement

[modifier] Etablissement des plans

[modifier] Construction

[modifier] La fortification de la façade maritime

[modifier] La fortification en zone montagneuse

[modifier] Héritage

[modifier] Notes et références de l'article

  1. « L’éperon barré de Saint-Avit », daté du Néolithique
  2. Gauvard (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, page 275
  3. Jean-Pierre Babelon (dir.), Le Château en France, page 21
  4. Gauvard (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, page 275
  5. Jean-Pierre Babelon (dir.), Le Château en France, page 33
  6. Gauvard (dir.), Dictionnaire du Moyen Âge, page 275
  7. Bernard Pujo - Vauban - page 39
  8. Barros, Salat, Sarmant, op. cit.
  9. Claude Dufresnes ,Le bonheur est dans le pré carré, Historia thématique n°106, Mars-avril 2007, page 40
  10. Frédéric Négroni, La Révolution militaire aux XVIe et XVIIe siècles [1]


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