Orthez
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Orthez | ||
Pays | France | |
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Région | Aquitaine | |
Département | Pyrénées-Atlantiques | |
Arrondissement | Arrondissement de Pau | |
Canton | Canton d'Orthez (chef-lieu) |
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Code Insee | 64430 | |
Code postal | 64300 | |
Maire Mandat en cours |
Bernard Molères 2008-2014 |
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Intercommunalité | Communauté de communes du canton d'Orthez | |
Latitude Longitude |
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Altitude | 38 m (mini) – 185 m (maxi) | |
Superficie | 45,86 km² | |
Population sans doubles comptes |
10 121 hab. (1999) |
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Densité | 220,69 hab./km² | |
Localisation sur la carte départementale
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Orthez (en occitan gascon Ortès) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques et la région Aquitaine.
Les habitants sont appelés Orthéziens et Suzannais (du nom de l'ancienne commune rattachée à Orthez en 1973).
Sommaire |
[modifier] Géographie
[modifier] Hydrographie
La commune est traversée[1] par le gave de Pau et ses affluents, les ruisseaux le Laâ (et ses tributaires, les ruisseaux l'Ozenx et des Moulins), de Rontun et de Caséloupoup.
Des affluents du Luy de Béarn, les ruisseaux de l'Oursau (11,5 km) et du Pas de Salles, sont également présents sur la commune.
[modifier] Lieux-dits et hameaux
- Sainte-Suzanne, ancienne commune administrativement fusionnée avec Orthez, mais gardant la valeur de village avec son bourg.
- Départ, rive gauche du gave, quartier sud de la cité, autrefois fief de l'abbaye de Sauvelade.
- Castétarbe, village étendu à l'ouest de la commune.
- Les Soarns, quartier est de la commune.
- Aragnon, ancien village du Moyen Âge, entre Orthez et Sainte-Suzanne.
[modifier] Communes limitrophes
- Saint-Girons-en-Béarn et Bonnut au nord
- Baigts-de-Béarn, Salles-Mongiscard et Lanneplaà à l'ouest
- Ozenx-Montestrucq, Laà-Mondrans et Biron au sud
- Sallespisse, Balansun et Castétis à l'est.
[modifier] Toponymie
Le toponyme Orthez apparaît[2] sous les formes Ortez et Ortesium (respectivement 1193 et 1194, cartulaire de Sauvelade[3]), Orthesium (1220, cartulaire d'Orthez[4]), Ortes (1375, contrats de Luntz[5]), Ortais (XIVe siècle, Jean Froissart), Sent-Per d'Ortes (1391, notaires de Navarrenx[6]) et Hortes (1578, titres de la chambre des comptes de Pau[7]).
[modifier] Histoire
Il ne faut pas confondre la ville d’Orthez avec la vicomté d’Orthe qui recouvrait sous l’ancien régime le territoire de l’actuel canton de Peyrehorade.
Les plus anciens vestiges de la ville d’Orthez ne remontent pas au-delà du XIe siècle. Ce sont deux églises romanes qui se trouvent ; l’une dans le Bourg Vieux (nommé aussi autrefois Bourg du pont) ; l’autre encastrée dans l’église Saint-Pierre.
Autour de chacune de ces églises un groupe de maisons en faisaient deux petits bourgs. Le premier, fortifié, commandait le passage du gave de Pau qui s'est fait, selon les époques, par un gué, en bac ou par un pont. Le second, aux mains d'une famille de marchands, avait une vocation commerciale à l'abri de son église.
La ville est le résultat de la réunion, aux environs de 1260, de ces deux bourgs avec la création d’un conseil municipal. Cette association est symbolisée sur le blason de la ville par la présence d’un pont et des clés de Saint-Pierre.
L’agglomération initiale a été agrandie du Bourg neuf et du Faubourg Saint-Gilles dans les années suivantes. Cette rapide expansion de la ville s’explique par le choix du Vicomte Gaston VII de Béarn, dans les années 1250, d’y construire un nouveau château où il établit sa résidence principale. C’est au même moment qu’il fit remplacer la palissade en bois qui défendait le bourg vieux par un véritable rempart et que le Pont-Vieux, véritable porte fortifiée par dessus la rivière, fut construit.
En 1385, on comptait à Orthez 436 feux[2].
Du XIIIe au XVe siècle, Orthez fut la résidence des vicomtes de Béarn.
Bien qu’en 1460 cette résidence ait été transférée à Pau, plus centrale, Orthez reste durant tout l’ancien régime la ville la plus grande et la plus dynamique du Béarn. Elle reste le lieu du marché où se rendent tous les produits de la région destinés à être exportés vers le port de Bayonne. La ville subira peu de destructions en dehors de deux batailles en 1569 lors des guerres de religion.
Aux XVIIe et XVIIIe siècles, l’économie prospère grâce à la relance du commerce Atlantique. Les commerçants font fortune et de nombreuses maisons auparavant en bois et torchis sont reconstruites en pierre. Les toits sont refaits avec des tuiles en terre cuite. Ce sont ces bâtiments que l’on voit encore aujourd’hui dans la partie ancienne de la ville.
La ville s’est peu étendue sous l’ancien régime. Le Bourg Moncade, relevant du château, est resté longtemps institutionnellement à l’écart de la ville en raison de ses fonctions militaires. Le Bourg de Départ, situé au-delà de la rivière, n’a été officiellement réuni à la ville que sous la révolution.
Le 27 février 1814 vit la bataille d'Orthez avec la victoire des troupes anglo-portugaises du duc de Wellington sur l'armée napoléonienne de Maréchal Soult. Mais cet évènement n'eut que peu d'influence sur la ville.
Ce n’est qu’à partir de 1957 et la découverte du gisement du gaz de Lacq que le nombre d'Ortheziens a explosé. Il est passé en quinze ans de 7.200 à 11.000 habitants entraînant la construction de plusieurs banlieues pavillonnaires et d’équipements publics.
[modifier] Héraldique
Armes de la ville d'Orthez :
« De gueules, au pont de quatre arches inégales surmonté en son milieu d'une tour crènelée et couverte, le tout d'argent maçonné de sable, la tour accostée de deux clefs d'or, le panneton en chef vers le flanc. »
[modifier] Devise
C'est Gaston VII de Moncade, retranché derrière les murailles de son château, qui lance au roi d’Angleterre ces fières paroles devenues la devise d’Orthez : « Tòca-i si gausas ! » soit « Touches-y si tu l'oses ». pron. [tòkœ-i si gawzœs].
[modifier] Administration
Liste des maires successifs | ||||
Période | Identité | Parti | Qualité | |
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1872 | 1881 | Hyppolite Blanc | ||
1881 | 1882 | Henri Vidal | ||
1882 | 1896 | Adrien Planté | ||
1896 | 1900 | Emmanuel Estaniol | ||
1900 | 1910 | Adrien Planté | ||
1910 | 1912 | Edouard Chassignet | ||
1912 | 1919 | Prosper Lacrouts | ||
1919 | 1923 | Joseph Casteignau | ||
1923 | 1925 | Jean Maillebiau | ||
1925 | 1941 | Georges Moutet | parti radical-socialiste | |
1941 | 1945 | André Daverat | ||
1945 | 1947 | Adolphe Detchebarne | ||
1947 | 1965 | Henri Cazenave | ||
1965 | 1977 | Jacques Moutet | ||
1977 | 1989 | Jacques Destandau | ||
1989 | 1995 | René Ricarrère | PS | |
1995 | 2001 | René Ricarrère | PS | |
2001 | 2008 | Thierry Issartel | divers droite | |
2008 | 2014 | Bernard Molères | PS | |
Toutes les données ne sont pas encore connues. |
[modifier] Intercommunalité
La commune fait partie de six structures intercommunales :
- communauté de communes du canton d'Orthez
- agence publique de gestion locale
- syndicat intercommunal de défense contre les inondations du gave de Pau
- syndicat de Gréchez
- syndicat mixte d'eau potable de la Région d'Orthez
- syndicat départemental d'électrification.
Orthez constitue un espace urbain, ou espace urbain multipolaire, qui est, en France et selon la définition de l'INSEE, un ensemble continu d'aires urbaines et de communes dites multipolarisées, c'est-à-dire dont au moins 40% de la population résidente active travaille dans l'une ou l'autre de ces aires urbaines.
[modifier] Démographie
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2005 : population provisoire de l'Insee (Source : Insee).
[modifier] Économie
Bien que l'activité soit fortement tournée vers l'agriculture (élevage, viticulture), des ateliers de tissage et de fabrication de meubles participent à l'économie de la commune.
[modifier] Culture et patrimoine
Orthez a été une ville-pont qui était à la charnière du monde des Tarbelles et celui des Béarnais, de ce fait, s'y est installé un pôle de culture qui a rayonné bien au-delà des frontières l'hexagone actuel.
[modifier] Culture
Orthez est de langue occitane. Le premier témoignage de l'existence d'une culture forte est la publication en 1270 de la Charte des Boucheries d'Orthez, non en latin, mais dans un gascon dont les caractéristiques ont peu varié par rapport à aujourd'hui.
La cour d'Orthez, sous Gaston Fébus était réputée en Europe. Le chroniqueur Jean Froissart vint y séjourner. On considère Gaston Fébus comme un des derniers troubadours occitans.
Jeanne d'Albret fonda à Orthez une université qui se voulait l'égale de celle de Genève. Elle fit venir un des premiers imprimeurs à Orthez pour éditer ses livres, en particulier Les Psaumes traduits « en langue béarnaise » par Arnaut de Salette.
Par la suite, Orthez compta de nombreux penseurs, écrivains, poètes et artistes importants, dont la lignée des Reclus. L'inventeur de l'accumulateur au plomb est l'Orthézien Gaston Planté. On citera aussi le poète Francis Jammes et le pianiste Francis Planté.
[modifier] Patrimoine civil
- La maison Batcave présente un bel exemple d’architecture médiévale privée.
- L’hôtel de la Lune[8], halte pour les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, remonte au XVe siècle.
- La maison de Jeanne d'Albret[9], aujourd'hui siège de l'office du tourisme et musée du protestantisme béarnais, est en fait à l'origine une riche demeure bourgeoise du XVIe siècle, objet d'un don d’Adrien-Arnaud de Gachassin (ou Gachissan), capitaine des milices d'Albret époux de Jeanne d'Asprémont, au roi Antoine de Bourbon et Jeanne d'Albret en vue d'obtenir des lettres d'anoblissement.
- Hôtel de la Belle Hôtesse[10]
- Château de Baure [11]
- Le château de Préville, réalisé par Jean-Baptiste Ernest Lacombe.
- Pigeonnier du Cassou[12]
- Un tableau du XIXe siècle conservé à la mairie représente Gaston de Béarn, fils de Gaston Fébus qui va être assassiné par son père[13].
[modifier] Patrimoine religieux
- L'église Saint-Pierre[14] date du XIIIe siècle avec l'édification du chœur. Les travaux ne s'achèveront qu'un siècle plus tard avec, entre temps, un changement de style. Parmi ses particularités, on peut citer l'absence de collatéraux et la voûte la plus haute du Béarn. Au XVIe siècle, les protestants la confisquent. En 1865, l'église est restaurée puis agrandie, et un clocher est construit au-dessus du portail d'entrée. Elle abrite une esquisse de Léon Bonnat pour son panneau du Panthéon de Rome - le Martyre de saint Denis - esquisse qui fut offerte par les Beaux-arts en 1924. Deux statues en bois - l'une représentant sainte Anne, mère de Marie et l'autre saint Jacques - décorent également l'église.
- Église paroissiale Saint-Barthélémy[15]
- Église paroissiale Saint-Martin[16]
- Église paroissiale Sainte-Suzanne[17]
- Le temple protestant[18]
- Monastère d'Orthez, Colettines, monastère de moniales franciscaines. Il s'agit d'un monastère de religieuses contemplatives de spiritualité franciscaine.
[modifier] Patrimoine militaire défensif
- Le château Moncade[19] et sa tour donjon est édifié vers 1250 par Gaston VII Moncade à un endroit stratégique qui était à l'évidence fortifié depuis des temps très anciens. Gaston Fébus en complète les fortifications et lui donne sa forme définitive. Il est alors le siège d'une cour fastueuse. La tour est sauvée de la destruction totale vers 1840 par décision de la municipalité car elle sert tout simplement de carrière pour la construction des maisons alentours.
- Le Pont Vieux[20], datant des XIIIe et XIVe siècles, enjambe le Gave. Il est commencé par Gaston VII Moncade au moment où celui-ci fait d'Orthez la capitale du Béarn et y transporte sa cour. À l'origine il possède deux tours ; il est aujourd'hui remarquable par ses arches inégales et sa tour centrale fortifiée. Il a résisté aux deux assauts importants qu'a subis Orthez, en 1569 par les troupes protestantes de Montgomery et en 1814 par celles du Duc de Wellington lancées derrière les troupes napoléoniennes.
[modifier] Patrimoine environnemental
- lac d'Orthez (30 ha)
- Orthez a été récompensée d'une fleur au concours des villes et villages fleuris 2006.
[modifier] Sport
[modifier] Événements sportifs
Orthez a été le point de départ le 25 juillet de la 16e étape du Tour de France 2007. Le parcours de 218 kilomètres a relié Orthez à Gourette - Col d'Aubisque.
[modifier] Clubs et équipements sportifs
- l'Élan Béarnais Pau-Orthez est un club professionnel français de basket-ball appartenant à l'élite du championnat de France et basé à Pau. Il a été fondé en 1931 et évoluait dans la ville d'Orthez. Le club de basket-ball n'était alors qu'une section du club omnisports créé 23 ans auparavant. En fait il ne s'agissait pas d'un club au sens où on l'entend aujourd'hui, mais d'un patronage, créé par des ecclésiastiques pour permettre aux jeunes de la ville d'Orthez de faire du sport. Les « laïcs » de leur côté allant à l'U.S. Orthez.
- l'Union sportive Orthez est un club de rugby à XV français évoluant en 2006-2007 en Fédérale 1.
- Orthez nautique Canoë Kayak, club de canoë-kayak dont certains membres évoluent en 2006-2007 en Nationale I.
[modifier] Équipements
La commune dispose de trois écoles élémentaires, trois écoles maternelles, de trois écoles primaires et de deux collèges (Daniel Argote et Gaston Fébus).
La commune possède une école calandreta (calandreta d'Ortès).
[modifier] Personnages liés à la commune
- Gaston III Febus (30 avril 1331 - 1391), comte de Foix-Béarn.
- Adrien-Arnaud de Gachassin, né en 1497 et décédé en 1569, premier seigneur de l'Abbaye noble d'Orthez de cette famille, avec le titre de vicomte, par lettres patentes de Jeanne d'Albret.
- Pierre Viret (Orbe, 1511-Orthez, 1571) est un réformateur vaudois et une figure importante de la Réforme.
- Jacques Faget de Baure (1755-1817), homme politique et historien.
- Bernard Dessein, né le 19 mars 1762 à Orthez, est un militaire français.
- Pierre-Chaumont Liadières (1792-1858), homme politique.
- Pierre-Charles Chesnelong (14 avril 1820 Orthez - 22 juillet 1899 Orthez) maire d’Orthez en 1855, député de 1865 à1870, sénateur à vie en 1876
- Francis Jammes, (2 décembre 1868 - 1er novembre 1938), est un poète français.
- Pierre Seillant, est un dirigeant sportif français de basket-ball (Président et dirigeant de l'Élan Béarnais Pau-Orthez)
- Gaston Planté, physicien français, (Orthez 1834 - Bellevue 1889) est l'inventeur de l'accumulateur électrique en 1859.
- Élie Reclus, journaliste, ethnologue et militant anarchiste, (Orthez 1827 - Bruxelles 1904).
- Élisée Reclus, géographe et militant anarchiste, (Orthez 1830 - Thourout 1905).
- Onésime Reclus, géographe, (Orthez 1837 - 1916), inventeur du mot francophonie.
- Jean-Louis Curtis (22 mai 1917 à Orthez - 11 novembre 1995, Albert Laffitte à l'état civil) est un romancier et essayiste français, lauréat du prix Goncourt en 1947 pour son roman Les Forêts de la nuit et élu à l'Académie française en 1986.
- François Saint Macary, né le 7 janvier 1936 à Orthez, fut l'archevêque de Rennes de septembre 1998 à mars 2007, Dol-de-Bretagne et Saint-Malo, et archevêque métropolitain de la Province ecclésiastique de Rennes.
- René Bénésis est un joueur de rugby à XV, né le 29 août 1944 à Orthez.
- Alain Larrouquis, né le 15 juin 1950 à Orthez, est un joueur de basket-ball.
- Corinne Touzet est une actrice, réalisatrice et productrice née le 21 décembre 1959 à Orthez.
- Jean-Marc Lalanne (né en 1967 à Orthez) est un écrivain et critique de cinéma.
- Le poète espagnol Nicasio Álvarez Cienfuegos (Madrid, 1764-Orthez, 1809), auteur néoclassique et préromantique, mourut exilé a Orthez, où il a sa tombe.
[modifier] Notes
- ↑ Fiche du Sandre sur Orthez
- ↑ a b Paul Raymond, Dictionnaire topographique Béarn-Pays basque
- ↑ Cartulaire de l'abbaye Notre-Dame de Sauvelade, publié par extraits dans les preuves de l'Histoire de Béarn de Pierre de Marca
- ↑ Cartulaire d'Orthez, dit Martinet, manuscrit du XIVe au XVIIe siècle - Archives de la mairie d'Orthez
- ↑ Contrats retenus par Luntz, notaire de Béarn - Manuscrit du XIVe siècle - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Notaires de Navarrenx - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ titres de la chambre des comptes de Pau - Archives départementales des Pyrénées-Atlantiques
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'hôtel de la Lune
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur la maison de Jeanne d'Albret
- ↑ Ministère de la culture, base mérimée - Notice sur l'hôtel de la Belle Hôtesse
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le château de Baure
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le pigeonnier du Cassou
- ↑ Base Mérimée - Notice sur le tableau représentant Gaston de Béarn
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Pierre
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Saint-Barthélémy
- ↑ Ministère de la culture, base-Mérimée - Notice sur l'église Saint-Martin
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur l'église Sainte-Suzanne
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le temple
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur les vestiges du château Moncade
- ↑ Ministère de la culture, base Mérimée - Notice sur le Vieux Pont
Perec Georges y avait des amis tels que Henri Lefebvre et Lionel Benichou
[modifier] Pour approfondir
[modifier] Articles connexes
- Communes des Pyrénées-Atlantiques
- Vicomté d'Oloron
- Route nationale 117
- Route nationale 647
- Autoroute française A64
- Ligne Toulouse-Bayonne
[modifier] Liens externes
- Site officiel de la ville d'Orthez
- Histoire d'Orthez
- Portail du Béarn des Gaves : cantons de Navarrenx, Orthez, Salies-de-Béarn et Sauveterre-de-Béarn
- Bataille d'Orthez - 27 février 1814
- Photo du Pont vieux.
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