Jean-Marie Bigard
Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Cet article n’est pas rédigé ou présenté conformément aux recommandations.
|
Jean-Marie Bigard (né le 17 mai 1954 à Troyes)[1] est un humoriste, acteur et réalisateur français.
Sommaire |
[modifier] Enfance et adolescence
Quatrième enfant d'une famille d'origine modeste (père charcutier ayant dû renoncer à son activité de commerçant-artisan indépendant pour raisons de santé, et mère ouvrière chez un sous-traitant de l'industrie automobile), il passe dans « un bonheur sans tache » ses vacances d'été dans une ferme de l'Aube qu'exploitent ses grands-parents maternels, et vit avec « tristesse » la rentrée scolaire de mi-septembre[2].
Dès le début allergique aux « contraintes » et à l'« enfermement » inhérents à l'école, attaché à sa mère et « trop rétif au travail », il sait pourtant parfois se motiver et se montre très sensible aux encouragements. Pouvant réussir et conscient de n'être « pas plus con que les autres », la puberté et la découverte des filles « donnant à la vie quelque chose d'énivrant » le détournent pourtant de sa scolarité au point qu'après avoir doublé sa classe de quatrième, il est mis en pension dans le collège privé de Mesnil-Saint-Loup[3].Ses parents font ce sacrifice financier pour lui permettre de réussir mais comme son frère aîné, il n'évitera pas son orientation, à 16 ans, pour un BEP de mécanique générale, à préparer en 3 ans en lycée technique.
Par contre, son assiduité et sa réussite dans la pratique du handball lui vaudront, seules, les éloges de son frère aîné et la fierté de son père, lorsque, « sélectionné dans l'équipe juniors de la région Nord-Est de la France »[4] qui gagnera le tournoi, il revient avec une médaille.
[modifier] Âge adulte
Sa formation en lycée technique terminée, et ne voulant surtout pas devenir ouvrier comme sa mère et ses deux sœurs, « à tenir la cadence » en usine, « à travailler, travailler, en se privant de tout » pour arriver à la cinquantaine usé et brisé, il préfère « ne rien branler »[5], et vit d'expédients et autres petits boulots. D'abord pompiste quelques mois, il met à profit ses connaissances en mécanique pour organiser un commerce de vieilles tractions Citroën avec trois copains ayant échappé eux aussi au service militaire. Ils parcourent la campagne pour racheter les véhicules abandonnés au fond des granges, les retapent et les revendent à Paris pour environ trente fois le prix d'achat, n'acceptant qu'en cas d'absolue nécessité une embauche de trois mois dans une usine locale, pour « profiter des indemnités de chômage pendant les neuf suivants »[6].
Le poste de barman dans un café du centre-ville de Troyes (accepté pour soulager sa mère, gravement malade et hospitalisée, de la honte d'avoir un fils sans métier) lui confirme ce qu'il avait apprécié une fois déjà à l'école, au CM2 : entendre des compliments à propos de son travail. Son don de potache pour créer autour de lui des « attroupements dans la cour de récréation ou dans la classe quand le prof n'est plus là, en grimpant sur son bureau, »[7], prend corps davantage derrière le bar, « à rigoler, à déconner, à veiller à ce que chacun soit content », à faire tout seul « tourner la baraque »[8].
Alors âgé de vingt ans, le décès de sa mère l'affecte beaucoup. Cette « catastrophe monumentale » ne l'empêche pas de réussir à continuer à faire rire les clients du bar, qui « depuis son arrivée ne désemplit plus » mais le plonge dans un état dépressif au bout de six mois et devance un second drame : l'assassinat de son père, un an après la mort de sa mère, dans sa maison, à coups de couteau, par un bûcheron des Ardennes, ex-compagnon de la femme qui partageait sa vie depuis quelque temps[9]. Après ce drame de jalousie relaté largement dans les pages faits divers des journaux, il ne survit que grâce aux antidépresseurs, « au handball le week-end » et à son rôle de clown derrière son bar puisque « le pastis, il est le même partout, la seule chose qui change, c'est la gueule du mec qui te le sert. ».[10] Cette faculté de faire rire, tout seul, pour ne pas pleurer et pour qu'on l'aime, ce « bonheur éphémère d'être le boute-en-train » lui apprennent son futur métier de comédien. S'il prendra conscience plus tard que c'est la promesse faite à sa mère malade de se mettre à travailler vraiment et la mort de celle-ci qui donneront naissance à sa vie professionnelle. Après deux ans et demi, à 24 ans, et malgré les propositions de promotion de brasseurs convaincus de son savoir-faire, ce sont les échos réguliers de sa réputation de handballeur dans la presse locale qui le motivent pour entamer une formation d'entraîneur.
Sa candidature est acceptée par le CREPS, et après six mois de formation, il devient maître auxiliaire remplaçant. « Le cancre tombé dans la mécanique par désœuvrement, devenu barman par accident, reconverti dans le professorat »[11] découvre qu'il est un « meneur d'hommes », réussissant à mettre les élèves et leurs meneurs dans sa poche. S'investissant beaucoup et constamment enthousiaste, il entrevoit pourtant au bout de presque trois ans que « les gosses finissent par le laminer, et qu'ils font la moue en le voyant venir »[12].
Quittant l'Éducation nationale, il est engagé à nouveau pour officier derrière un bar, mais cette fois à la périphérie de la ville, dans une discothèque, dont le propriétaire au courant qu'il est « le barman le plus côté de Troyes » lui promet une participation de 30 % lors de la revente dans quelques années. Cette activité est plus fatigante que celle qu'il avait connue dans le café, car plus nocturne, mais lui donne l'occasion de rencontrer les animateurs d'un petit théâtre du centre-ville, dont Jean-Christophe Le Texier, avec lesquels il goûte au plaisir de monter sur les planches et d'écrire de petits sketches. Lassé au bout de deux ans et demi par le rythme du travail de nuit, il est soulagé à l'annonce par le propriétaire de son projet de vendre la discothèque. Les choses se précipitent à l'occasion de l'incendie de son appartement, vraisemblablement dû à sa négligence causée par la nouvelle du décès d'un de ses copains de l'époque du commerce de Tractions, qui précédera la cession de la discothèque avec disparition du vendeur omettant de lui reverser les 30 % promis. Hébergé pendant six mois environ par un ami dans un bourg près de Troyes, à Buchères, où la vie qu'ils mènent « a des allures de carnaval et de feu d'artifice »[13], il monte plusieurs fois à Paris pour y tenter sa chance, non sans quelques appréhensions.
Son objectif est de se faire repérer par Philippe Bouvard, grâce à sa connaissance du répertoire de Robert Lamoureux et à ses sketches écrits et joués à Troyes, afin de passer dans l'émission télévisée "Le petit théâtre".
[modifier] Débuts parisiens difficiles
C'est avec son copain troyen Tex, espérant lui aussi entrer chez Bouvard, qu'il peaufine un nouveau sketch qu'ils présentent ensemble au célèbre animateur de télévision. Sa bonne connaissance du principe et du rythme de l'émission de la deuxième chaîne, acquise pour n'en avoir jamais raté une diffusion, sa confiance après avoir « bien observé les mecs qui s'y présentent », sa conviction de « pouvoir faire aussi bien, et même plutôt mieux », la certitude de devenir « un autre homme une fois sur scène » parce que détenteur d'une « espèce de pouvoir un peu mystérieux »[14] sur les autres, et les vifs encouragements des collaboratrices de Bouvard lors de l'audition de présélection se soldent par une déconvenue : Philippe Bouvard lui-même, venant à passer le lendemain lors des dernières répétitions avant enregistrement, improvise et impose une modification au sketch, ne mettant dès lors en valeur que Tex, interprétant l'automobiliste, en plongeant Bigard dans l'anonymat, relégué à son rôle de moteur caché aux spectateurs par une couverture. « La France découvre Tex. »[15] et son comparse « à la gueule toute grêlée »[16] ne se décourage pas dans son ambition d'obtenir une nouvelle chance de Bouvard et se jette dans l'écriture fébrile d'une cinquantaine de sketches en trois ou quatre mois, lors desquels il est logé à Paris chez une amie rencontrée jadis lors de ses activités de barman.
Dissuadé sèchement de monter sur scène par Bouvard qui refuse tous ses sketches mais voit en lui un « bon auteur » auquel il conseille « d'écrire pour les autres », il entreprend avec un ami l'écriture d'un spectacle, Pièces détachées, constitué de sketches faisant intervenir trois comédiens. Brigitte Chardin et Frédéric Darie lui donnent la réplique lors des premières répétitions et l'aide du père de ce dernier, Jean Darie, s'avère nécessaire pour la mise en scène.
Durant ses premières années à Paris, Bigard se présente, comme on le lui conseille, à environ 200 castings, mais ne décroche, par pur hasard et juste pour sa « gueule », qu'un petit rôle de figurant, déguisé en Indien dans « une publicité pour le fromage Boursault »[17].
Le spectacle Pièces détachées, enfin prêt, est présenté sans annonce et sans soutien au Théâtre du Point Virgule, minuscule salle dirigée par Christian Varini, qui assure lui-même la régie. Le public quotidien d'une moyenne de 10 à 15 personnes comble de bonheur Jean-Marie Bigard, fier dêtre devenu enfin comédien, pouvant grimper chaque soir sur les planches, même s'il ne gagne pas un sou. Le spectacle ne décollant pas vraiment, pendant une année entière, les jours sont parfois difficiles, mais il est alors gracieusement aidé au moment du casse-croûte par la patronne du bistro d'en face.
Varini envisage sérieusement de renoncer à maintenir plus longtemps le spectacle, mais il se laisse convaincre par lui de prolonger d'un mois la représentation après remaniement de la mise en scène, qu'il juge, expérience venant, « trop classique pour le café-théâtre »[18]. Un ami de Brigitte Chardin accepte de remonter Pièces détachées, fait s'enchaîner les sketches plus vite, adopte un rythme suffisamment soutenu pour ne pas laisser « une seconde au public pour reprendre son souffle ». Frédéric Darie quitte le trio, un autre comédien le remplace pour le mois de la dernière chance. Dès les premières repésentations, le public rie différemment, plus spontanément. Le bouche à oreille commence à fonctionner au point que l'on compte bientôt une bonne cinquantaine de spectateurs par soirée et que des annonces dans Pariscope et L'Officiel peuvent être payées. Chacun des trois comédiens peut alors gagner 1 000 francs mais Bigard ne regrette pas le sextuple gagné comme barman dans sa discothèque troyenne.
Le succès venant, le spectacle au Théâtre du Point Virgule est prolongé, alors que les comédiens comparses sont une bonne vingtaine à se relayer au cours des deux ans qui suivent. Entre-temps, Le Petit Théâtre de Bouvard s'essouffle et Bigard, convaincu de pouvoir faire mieux que dans son petit théâtre d'« à peine cent mères carrés »[19], suit avec attention la gestation d'une nouvelle émission annoncée pour janvier 1987, qui serait confiée à Fabrice, sur la troisième chaîne.
Il fait alors la connaissance de Laurent Baffie lors des réunions préparatoires de cette nouvelle émission qui sera baptisée La Classe et qui sera lancée sans sa participation, alors qu'il n'a pas raté une audition. Il accepte particulièrement mal cette sorte d'éviction, lui rappelant qu'il avait avait été laissé sur la touche par Bouvard. Le succès de l'émission est remarquable, et Bigard ronge son frein, mais ce n'est qu'en juin 1987, que l'assistante de Guy Lux, le producteur de La Classe se décide à le contacter.
[modifier] Carrière
Jean-Marie Bigard est finalement révélé au grand public dans La Classe, sur FR3. Il écrit plus de 100 sketches[20] avec Laurent Baffie, et bien d'autres avec Franck Godard.
Son premier spectacle à succès (Vous avez dit Bigard ?, 1988, mis en scène par Franck Godard) au Point Virgule lui permet de s'installer dans un style « stand-up », dont la caractéristique est de ne pas jouer de sketches mais de s'adresser directement au public durant toute la représentation. Se réclamant le fils spirituel de Robert Lamoureux, il touche également au cinéma comme acteur et comme réalisateur, mais également à la chanson, en interprétant des textes grivois et/ou parodiques, à l'image de "Massey Ferguson", parodie de "Harley-Davidson" de Brigitte Bardot. On lui doit également le titre "Un poil de cul sur ma savonnette", où il évoque de manière humoristique la rupture amoureuse.
Durant les années suivantes entre 1990 et 1993, il présentera trois spectacles distincts, plus ou moins longs, mais manquant de nouveautés, car les sketches inédits seront noyés au milieu de ceux déjà connus, bien que certains fussent retravaillés et approfondis pour l'occasion.
En 1995, il revient avec un spectacle inédit comme l'indique le titre, 100 % Tout Neuf . Vu par près de 300 000 personnes[21], il s'y attelle à décortiquer "la culture"[22], selon ses termes. Ainsi, il se jouera entre autres des philosophes antiques, du roman Les Misérables, et du droit et des lois français. Bien qu'ayant déjà acquis une certaine notoriété, sans doute a-t-il été influencé par ses pairs[23] lui affirmant qu'il ne serait jamais célèbre en étant si vulgaire et en parlant principalement de sexualité. Ainsi, bien que ce nouveau spectacle ne soit pas plus poli, il marquera un décalage certain avec ses précédents. De fait, beaucoup de fans le considéreront comme le plus abouti, et lui-même le désignera comme son plus structuré.
En 2000, il revient avec Bigard met le paquet. Il y parlera à nouveau de sexualité de manière plus crue que jamais. L'affiche, représentant simplement un slip très moulant, fera polémique mais le spectacle se démarquera par un sketch sur la langue française, un hommage à Robert Lamoureux[24], et surtout le sketch intitulé « Le parano » très différent du reste. Le 28 décembre 2001, il jouera la dernière de ce spectacle à Bercy, devant 13 000 spectateurs. Depuis cette même année 2001, il est parrain de l'association Bouchons d'amour[25].
Son spectacle suivant Des animaux et des hommes sortira à l'automne 2002, avec les thèmes de la comparaison des modes de vie entre différentes espèces d'animaux et les hommes, la communication, et la sexualité bien sûr. Ce spectacle battra des records d'affluence, et la dernière au stade de France en juin 2004 réunira plus de 50 000 personnes, record unique pour un comique.
Il est à l'origine de la création d'un DVD en faveur des sinistrés du tsunami de décembre 2004 et au profit de la Croix-Rouge, dans lequel il a réuni 30 artistes : Sourires d'Asie. Il possède un restaurant à Mougins dans les Alpes-Maritimes. Il a déclaré être diabétique (type 1) depuis quelques années, en 2006 lors d'une émission télévisée.
Début 2006, il interprète la pièce de Molière, Le bourgeois gentilhomme, de façon personnelle, donc non classique, sans toutefois en changer le texte.
En octobre 2006, il revient avec un nouveau spectacle Mon psy va mieux dont l'affiche à forte connotation sexuelle est dans la lignée des précédentes. Après le succès de 2004 au stade de France, il rassemble alors moins de spectateurs et les invités sont nombreux.
En avril 2007, il soutient activement le candidat UMP Nicolas Sarkozy aux élections présidentielles, avant d'accompagner celui-ci à Rome pour rencontrer le Pape Benoît XVI.
Le 17 septembre 2007, paraît son autobiographie ayant pour titre "Rire pour ne pas mourir". Jean-Marie Bigard y raconte sa jeunesse, le début de sa carrière, et ce qui a fait de lui le comique qu'il est aujourd'hui.
Un nouveau spectacle, sur le thème de la méditation et de la spiritualité, est en cours d'écriture actuellement et devrait être présenté au public très certainement courant 2009. Les titres de ses différents sketchs devraient tous se terminer par "-or", l'un d'eux s'intitulerait "pénétrator" (voir libération du 24 octobre 2007). Il se pourrait que Jean Marie Bigard signe là, son dernier spectacle seul en scène. (toutes autres infos complémentaires seraient les bien venues)
[modifier] Humoriste contesté pour sa grossièreté
Jean-Marie Bigard refuse, à sa manière, la bienséance, et est souvent perçu comme vulgaire et grossier. Des controverses surgissent de temps en temps à propos de sa complaisance à se spécialiser dans les grossièretés sexuelles et scatologiques. Il provoque et assume : « Les murs de Paris sont couverts de mes affiches "Bigard bourre Bercy", avec le fameux slip kangourou du "Paquet" qui conforte ma réputation de comique le plus vulgaire de France. Quand on me demande pourquoi j'éprouve le besoin d'afficher mes couilles (cette fois, d'ailleurs, ce ne sont pas les miennes, mais des balles de tennis), je réponds que je n'ai pas trouvé plus fort pour anéantir d'un coup tous les tabous. »[26]
Certains lui reprochent même d'avoir fait son véritable fonds de commerce de cet humour primaire et de ces grivoiseries de caserne. « ... au Palais des Glaces. C'est à ce spectacle que je revendique pour la première fois d'incarner le "vulgaire" [...] Moi, il me semble qu'au contraire le vulgaire va me permettre de dire des vérités indicibles, de dédramatiser nos petites misères, de désacraliser les hiérarchies sociales, les positions des uns et des autres, et, au passage, d'apprendre au malheureux à rire de son malheur. Je veux dire qu'une fois à poil nous sommes tous semblables, traversés par les mêmes angoisses, rongés par les mêmes soucis minuscules [...] Et pour exprimer notre âme secrète, en bon explorateur que je suis, je vais aller regarder dans le slip. »[27]
D'autres voient en lui un simple successeur de Coluche dans un domaine que les autres humoristes se gardent bien de si intensément arpenter.
Une de ses interventions télévisées concernant les "enculés de gauche" et les "enculés de droite" (provoquée par le vote de la loi d'amnistie des délits politico-financiers) donnera d'ailleurs lieu à une intervention à l'Assemblée nationale de la part du ministre de la communication de l'époque (1991), Georges Kiejman qui édulcora le propos en parlant des "sodomisés de gauche" et des "sodomisés de droite"[28]. Bigard tournera en dérision ces propos, plus tard dans un de ses spectacles.
[modifier] Principaux spectacles
- Vous avez dit Bigard ?, 1988
- Oh Ben Oui !, 1990
- Le nouveau Bigard au Palais des Glaces, 1992
- Bigard Intégral, 1993
- 100 % Tout Neuf , 1995
- Bigard met le Paquet, 2000
- Bigard bourre Bercy, 2001 (dernière représentation de Bigard met le Paquet au Palais Omnisports de Paris-Bercy)
- Des Animaux et des Hommes, 2003
- Bigard au Stade de France, 2004 (dernière représentation de Des Animaux et des Hommes au Stade de France)
- Mon psy va mieux, 2006
- C'est très bigard tout ça 2009 titre à vérifier
[modifier] À la télévision
[modifier] Au cinéma
- 1991 : Les Secrets professionnels du Dr Apfelglück de Alessandro Capone et Stéphane Clavier
- 1996 : Oui, d'Alexandre Jardin
- 1997 : Arlette, de Claude Zidi
- 1998 : Le clone , de Fabio Conversi
- 1998 : Lautrec, de Roger Planchon
- 1998 : And now... Ladies and Gentlemen, de Claude Lelouch
- 1998 : L'Âme sœur, de Jean-Marie Bigard
- 2002 : La Boîte, de Claude Zidi
- 2003 : Les Clefs de bagnole, de Laurent Baffie
- 2004 : Les Gaous, de Igor Sekulic
- 2008 : Le missionnaire, de Luc Besson en tournage à Montélimar et à Banne (Ardèche) à partir du 12 mai
[modifier] En chansons
(liste non exhaustive)
- Massey Ferguson , 1988
- Un poil de cul sur ma savonnette , 1992
- La la la , 2005
- il a tourné dans les clips de Madame Kay "Plaisirs Solitaires" et "Je t'aime" (une reprise de Lara Fabian et la suite du clip de "Plaisirs Solitaires") 2006
[modifier] Au théâtre
- 2006 : Le Bourgeois Gentilhomme de Molière, mise en scene d' Alain Sachs, Théâtre de Paris
- 2008 : Clerambard de Marcel Aymé, mise en scene de Nicolas Briançon, Théâtre Hébertot
[modifier] Anecdotes
- Il prête sa voix à Centurion dans l'attraction "Le défi de César" du Parc Asterix.
[modifier] Notes, sources et références
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, Rire pour ne pas mourir, éd. Oh ! Éditions, 2007, 245 pages. - (ISBN 978-2-915056-41-9) - p. 11
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 29
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 22
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 38
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 34
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 36
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 18
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 46
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 49
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 53
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 58
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 62
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 73
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 76
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 79
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 18
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 83
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 87
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 83
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 99
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 157
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 147
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 131 : « Tous les professionnels du rire m'ont bien prévenu : "Bites, poils, couilles, ne fais jamais ça, tu vas aller droit dans le mur." »
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 188 : « Vers la fin du spectacle, je rends pour la première fois hommage à Robert Lamoureux, mon maître, en lisant sur scène son Éloge de la fatigue. ».
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 195
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 198
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 131
- ↑ Jean-Marie Bigard, Lionel Duroy, op. cit. p. 136