Conflans-Sainte-Honorine
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Conflans-Sainte-Honorine | |
Pays | France |
---|---|
Région | Île-de-France |
Département | Yvelines |
Arrondissement | Saint-Germain-en-Laye |
Canton | Conflans-Sainte-Honorine |
Code Insee | 78172 |
Code postal | 78700 |
Maire Mandat en cours |
Philippe Esnol 2001-2014 |
Intercommunalité | néant |
Latitude Longitude |
48° 59’ 52’’ nord 02° 05’ 43’’ est |
Altitude | 17 m (mini) – 60 m (maxi) |
Superficie | 9,90 km² |
Population sans doubles comptes |
33 327 hab. (1999) |
Densité | 3366,4 hab./km² |
Conflans-Sainte-Honorine est une commune du département des Yvelines, dans la région Île-de-France, en France.
Ses habitants sont les Conflanais(es).
Sommaire |
[modifier] Géographie
Conflans-Sainte-Honorine se situe dans le nord des Yvelines, à la limite du Val-d'Oise, à dix km environ au nord de la ville -mais non pas de la limite communale -deSaint-Germain-en-Laye et à 27 km au nord-ouest de Paris (20 km à vol d'oiseau).
La ville s'est développée au bord de la Seine, sur la rive droite du fleuve à son confluent avec l'Oise. L'essentiel du relief est un plateau calcaire qui domine d'une trentaine de mètres les deux cours d'eau. La partie basse connait des inondations périodiques, mais peu désastreuses.
Elle est limitrophe des commmunes de Maurecourt et Andrésy (dont elle est séparée par l'Oise) à l'ouest, de Neuville-sur-Oise et d'Éragny au nord, d'Herblay à l'est et d'Achères au sud.
[modifier] Géologie
Le sous-sol de Conflans-Saint-Honorine, comme dans le reste de l'Île-de-France, est constitué d'un empilement de couches sédimentaires de l'ère tertiaire, quasi horizontales, reposant sur assise de craie de l'ère secondaire, couches fortement érodées dans la partie nord du territoire qui se trouve dans un méandre de la Seine.
[modifier] Hydrographie
[modifier] Climat
Le climat de Conflans-Saint-Honorine est'un climat océanique dégradé. La température moyenne annuelle est de 10,7° C. Les mois les plus froids sont décembre et janvier avec 0 à 5° C ; les plus chauds étant juillet et août avec 20 à 25° C (moyenne journalière). La moyenne des précipitations annuelles est de 695 millimètres[1].
[modifier] Occupation du territoire
Type d'occupation | Pourcentage | Superficie (en hectares) |
---|---|---|
Espace urbain construit | 47% | 606,08 |
Espace urbain non construit | 16 % | 209,49 |
Espace rural | 37 % | 482,65 |
Le territoire de la commune est fortement urbanisé, l'espace urbain occupant près des deux tiers de la superficie totale [2]. L'espace rural (37 %) subsiste dans la partie sud de la commune.
L'espace urbain construit représente 47 % du total, soit 606 hectares. Il comprend les zones d'habitation, soit 267 ha (32,4 % de l'espace urbain construit), étendues à partir du noyau ancien entre la Seine et la forêt, les divers équipements, soit 46,12 ha (5,7 %) et les zones d'activités, 172,34 ha (21,1 %), concentrées majoritairement dans le nord de la commune.
[modifier] Voies de communication
La commune est traversée par la route nationale 184 qui relie Cergy-Pontoise au nord à Saint-Germain-en-Laye au sud, par la route départementale 48 qui relie Herblay à l'est à Andrésy à l'ouest, et bordée au nord par la route départementale 54 qui relie la RD 48 à l'est à Neuville-sur-Oise à l'ouest.
Elle se trouve au croisement de deux lignes ferroviaires : la ligne Paris-Saint-Lazare-Mantes-la-Jolie par la rive droite de la Seine, qui dessert deux gares, Conflans-Sainte-Honorine et Conflans-Fin d'Oise (gare supérieure), et la ligne d'Achères-Pontoise-Gisors (Dieppe) empruntée partiellement par la ligne " A 3 " du R.E.R.d'Ile-de-France menant à Cergy-le-Haut . Elle dessert la gare de Conflans-Fin d'Oise (gare inférieure). Une nouvelle liaison TGV Normandie (Cherbourg, Le Havre, Caen)-Conflans-Fin d'Oise (gare Haute)- Roissy- Est (Strasbourg, Besançon) est prévue pour être mise en service 2 fois par jour à compter de juin 2009[3].
Cinq lignes de bus sont mis à la disposition des habitants pour se déplacer dans la commune : les lignes 5, 11, 14, 17, l'Yveloise, et la ligne spéciale Lycée [4].
[modifier] Histoire
Le nom de « Conflans » vient du latin, confluens, confluent. Le village a reçu le nom de « Sainte-Honorine » après 1200 alors que les reliques de la sainte s'y trouvent depuis 876.
[modifier] Préhistoire
- Site habité dès l'époque néolithique, on y a découvert en 1872 une allée couverte qui a été transportée au musée d'archéologie nationale de Saint-Germain-en-Laye, et en 1882, une autre sépulture de l'âge du fer près de la première gare de Conflans dans le quartier Fin-d'Oise.
[modifier] Moyen-Âge : Conflans et ses seigneurs
- Site d'un camp fortifié à partir du VIIIe siècle et limite extrême à l'ouest du domaine royal, l'évêque de Paris en acquiert la seigneurie au milieu du IXe siècle,pour s'imposer face aux évêques de Rouen et de Chartres. L'évêque confie ce fief aux comtes de Beaumont (sur l'Oise).
- En 876, à la suite d'une incursion des Vikings, les reliques de sainte Honorine sont apportées de Graville (aujourd'hui quartier du Havre) à Conflans. Elles sont déposées d'abord près du château de bois dans ce qui fut sans doute le premier lieu de culte du village. Un prieuré, desservi par des moines envoyés de Normandie par l'abbé du Bec-Hellouin, Anselme du Bec, futur archevêque de Cantorbéry, plus connu sous le nom de saint Anselme, docteur de l'Église, est fondé en 1080. Ce prieuré se construit peu à peu sur une hauteur à l'est du castrum. Mais, entre 1080 et 1085, une guerre féodale éclate entre Mathieu de Beaumont, seigneur du lieu, et son beau-frère Bouchard de Montmorency qui s'estime lésé dans l'héritage du père de Mathieu. Le château de bois brûle. Retirées de justesse de la petite église en feu près du château, les reliques sont transférées dans la toute nouvelle église du Prieuré, en 1086 (Le prieur devient également seigneur d'une partie de la paroisse de Conflans et de beaucoup d'autres terres qui viendront grossir les possessions du prieuré). Les moines quittent leur prieuré avant la fin du XVe siècle mais il y aura un prieur jusqu'à la Révolution de 1789).
- Bouchard obtient des droits sur les revenus du fief de Conflans et en devient donc co-seigneur laïc. Deux châteaux de pierre furent ensuite construits, l'un pour les Beaumont, siège de la baronnie jusqu'à la Révolution et, un siècle et demi plus tard, un second pour les Montmorency. Il sera appelé « Château-neuf ». Il ne reste aujourd'hui que le plus ancien, donjon roman appelé la Tour Montjoie ou encore Tour de Ganne ou La Baronnie.
- En 1271, Mathieu IV de Montmorency reste le seul seigneur, le dernier Beaumont n'ayant pas d'héritier. Les Montmorency resteront seigneurs jusqu'en 1632 avec des éclipses car le fief fut vendu à d'autres seigneurs mais racheté par le Connétable Anne de Montmorency. Après la décollation du duc Henri II, révolté contre Louis XIII et Richelieu et exécuté à Toulouse, le fief passera au Grand Condé, époux de la sœur d'Henri de Montmorency.
Par la suite, il sera possession des La Grange puis du marquis de Castellanne qui le vendra en 1776 au comte Florimond de Mercy-Argenteau, ambassadeur d'Autriche, seigneur de Neuville et Conflans qui installera Rosalie Levasseur, cantatrice de l'Opéra de Paris, dans un grand domaine au hameau de Chennevières, de 1775 à 1789.
[modifier] L'époque contemporaine
- L'essor de la batellerie commence en 1855, avec l'installation de la tête aval de la chaîne de touage qui permettait la remonte des péniches sur la Seine vers Paris, approvisionnant ainsi la capitale en plein développement urbain.
- En 1877, la compagnie des chemins de fer de l'Ouest crée la ligne Achères-Pontoise en la raccordant à la ligne Paris-Rouen par une bifurcation sise après la gare dite primitivement « Conflans-Étoile » qui deviendra de ce fait « Achères-Embranchement ». La gare de Conflans-Andrésy permet aux agriculteurs de ravitailler Paris en produits frais.
- Sous le Second Empire, les carrières de Conflans (dont les pierres sont facilement transportables à Paris par la Seine) sont utilisées pour la construction du quartier Concorde-Madeleine à Paris. Ces carrières ont depuis été en partie transformées en champignonnières (production de champignons de Paris).
- En 1892, la compagnie des chemins de fer de l'Ouest crée la ligne Argenteuil-Mantes, qui met Conflans à 40 minutes de la gare Saint-Lazare. Les gares de Conflans-Sainte-Honorine et de Fin-d'Oise dont la halte est créée en 1894 à la demande des habitants permettent aux Parisiens de venir en villégiature sur les bords de la Seine et de l'Oise, favorisant ainsi l'urbanisation du quartier.
- En 1921, la société des Lignes Télégraphiques et Téléphoniques ouvre son usine pour y fabriquer des câbles destinés aux liaisons nationales et internationales.
- Disposant de quatre ponts (deux routiers et deux ferroviaires), Conflans fut bombardée par les Allemands le 8 juin 1940 provoquant l'exode des habitants. Puis les Alliés la bombardèrent 15 fois entre le 25 mai et le 19 août 1944, provoquant 50 morts. La ville est titulaire de la Croix de guerre remise par le général Zeller en 1956.
[modifier] Économie
Pus de 1500 entreprises, commerçants et artisans, se sont installées dans la ville [5].
- Quatre zones d'activités accueillent un millier d'entreprises.
- Port fluvial (dépendant du port autonome de Paris).
- Capitale de la batellerie
[modifier] La batellerie
Conflans-Sainte-Honorine est considérée comme la capitale française de la batellerie. Tous les ans au mois de juin est célébrée une fête intitulée « Pardon national de la batellerie ». À cette occasion, un flambeau allumé sur la tombe du soldat inconnu à Paris, descend la Seine accompagné d'un cortège de bateaux jusqu'à Conflans afin d'allumer une grande vasque disposée devant le monument aux morts de la batellerie situé au Pointil, confluent des deux cours d'eau. Un musée est consacré à cette activité.
[modifier] Administration
Le Conseil municipal est composé de onze adjoints au maire, et de vingt-sept conseillers municipaux.
En 2008 le conseil municipal est composé de 39 élus. L'élection de mars 2008: 5 listes (soutien FN, UMP-Nouveau Centre, MODEM, PS-Verts, soutien PCF-MARS-La Gauche Républicaine)
Le Conseil municipal des jeunes a été voulu et annoncé par Michel Rocard en 1997. Il est composé de trente-cinq enfants de neuf à treize ans élus par d’autres enfants. Les élections sont organisées dans les classes de CE2, CM1, CM2 et 6e de la ville. Ces jeunes conseillers sont répartis en quatre commissions : sport-loisirs-culture, environnement, vie scolaire-sécurité et solidarité. Le CMJ a pour but de favoriser l’implication des jeunes dans la commune et leur permettre d’échanger des idées et de développer des projets. Ces derniers sont votés au cours de séances officielles présidées par le maire de Conflans-Sainte-Honorine.
[modifier] Tendances politiques
[modifier] Les maires
Auguste Romagné, maire communiste à la libération
Le maire actuel de Conflans-Sainte-Honorine et conseiller général des Yvelines est Philippe Esnol, membre du Parti socialiste. Il a été précédé par Jean-Paul Huchon (1994-2001) et par Michel Rocard (1977-1994).
[modifier] Fiscalité et budget municipal
[modifier] Logement
70% des habitants sont propriétaires de leur logement, qu'il s'agisse d'un appartement ou d'une maison individuelle. Ils habitent en individuel (58%), en collectif (40%) ou en autres modes (fermes, ...) [6].
[modifier] Sécurité
Depuis 2007, la mairie a mis en place quatre groupes de travail pour assurer la sécurité des citoyens. Le premier concerne les drogues et conduites addictives, le second, la sécurité dans le parc de logement social sur la ville,un troisième sur la prévention et la sécurité routière et le dernier sur les violences familiales.
La Police municipale de Conflans est composée de douze agents. Leurs compétences concernent la prévention et de la surveillance du bon ordre, de la tranquillité, de la sécurité et de la salubrité publics. La ville regroupe aussi un commissariat et une gendarmerie fluviale.
[modifier] Démographie
[modifier] Évolution démographique
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(élaboration graphique par Wikipédia)
[modifier] Pyramide des âges
La pyramide des âges de Conflans-Saint-Honorine se caractérise par sa base relativement étroite, signe d'un vieillissement de la population, un peu plus marqué qu'au niveau régional. Entre 1990 et 1999, ce vieillissement s'est accentué, la part des moins de trente ans passant 21,9 % à 18,2 % et celle des plus de soixante ans de 19,2 à 21 %, les générations intermédiaires (trente à soixante ans) progressant de 40,5 à 42,3 % [9],[10].
Hommes | Classe d'âge | Femmes |
---|---|---|
0,1 | 0,4 | |
4,3 | 7,9 | |
11,3 | 12,7 | |
19,8 | 18,7 | |
23,6 | 23,6 | |
19,6 | 18,2 | |
21,2 | 18,6 |
[modifier] Niveaux d'études
En effet, la part dans la population totale des titulaires de diplômes de niveau Bac+2 ou supérieur est, dans la commune, de 9,7 %, contre 29,7 % en moyenne yvelinoise, tandis que 16,9 % de la population n'est titulaire d'aucun diplôme (contre 13,6 % au niveau départemental). Entre 1990 et 1999, l'évolution a été particulièrement forte avec une croissance de 57 % des titulaires de diplômes de niveau Bac+2 et de 115,6 % pour les titulaires de diplômes supérieurs[11].
[modifier] Nationalités
La population compte 6,7 % de Français par acquisition et 14 % de personnes de nationalités étrangères (recensement 1999[12], proportions supérieures à la moyenne yvelinoise (respectivement 4,9 % et 8,9 %)[13].
La proportion de ressortissants de l'Union européenne est proche de la moyenne yvelinoise, soit 3,8 % (dont Portugais 1,7 %) contre 4,0 %, tandis que la proportion des Maghrébins est de 6,8 % (dont Marocains 5,2%), soit nettement plus qu'au niveau départemental, 2,6 % (dont Marocains 1,6 %).
[modifier] Culture
[modifier] Patrimoine architectural
Patrimoine monumental médiéval :
-
- Église Saint-Maclou : église de la fin du XIe siècle et modifiée avec agrandisements au XVe, XVIIe et XIXe siècles . La flèche du clocher, abattue par la foudre le jour de l'Ascension 1923, a été reconstruite en 1927.
- Tour Montjoie : donjon édifié au XIe siècle, édifice en ruine depuis la fin du XVe siècle, classé monument historique en 1997.
- Celliers du Prieuré, construits aux XIIIe et XIVe siècles.
- Patrimoine contemporain :
- Château et parc municipal dit "du Prieuré" : ancien logis prieural modifié au XIXe siècle, d'abord, à partir de 1816, par Samuel Lhéritier de Chézelles, général-baron d'Empire, puis, à partir de 1872, par Jules Gévelot, industriel (cartouches). Ils furent tous deux maires de Conflans. Ce château abrite le musée de la batellerie.
- Bateau-Chapelle Je Sers : chaland en ciment armé de 70 mètres de longueur. Construit en 1919, d'abord baptisé Langemark, considérablement modifié à partir de 1935 par l'Association Entraide batelière, il abrite une chapelle consacrée à saint Nicolas, patron des bateliers et diverses salles.
- Viaduc ferroviaire (ligne Paris-Mantes) sur l'Oise : tablier métallique construit en 1947 pour la SNCF. Il remplace l'ouvrage construit par la Société Gustave Eiffel pour la partie "caisson poutrelle" en 1892.Celui-ci, dynamité par les Français le 13 juin 1940, récupéré et reconstruit par les Allemands en 1941-42, est définitivement cassé en deux parties irrécupérables par une seule bombe bien placée en mai 1944, larguée très certainement par le pilote Pierre Clostermann aux commandes d'un chasseur-bombardier britannique.
- Château de Théméricourt du XVIIe siècle, quai de la République, actuellement siège des Services administratifs de l'Établissement régional du premier degré (Centre Albert Morillon) ex internat de la Batellerie de 1923 à 1967.
[modifier] Équipements culturels
- Médiathèque Blaise Cendrars et ses 100 000 ouvrages
- Musée de la batellerie
- Conservatoire de musique
- Théâtre Simone Signoret
- 12 salles de cinémas
- La Maison de la Jeunesse et de la culture ((MJC)
- 230 associations[14]
[modifier] Jumelages
Conflans-Sainte-Honorine est jumelée avec les villes de :
- Hanau-Grossauheim ( Allemagne) (près de Francfort)
- Chimay (Belgique) (à proximité de la frontière avec la France aux sources de l'Oise)
- Ramsgate (Grande-Bretagne) (près de l'entrée du tunnel sous la Manche)
- Tessaoua (Niger)
[modifier] Personnalités
- Du Croisy, comédien du XVIIe siècle
- Bellerose, comédien du XVIIe siècle
- Comte Florimond de Mercy-Argenteau, dernier seigneur de Conflans et de Neuville, ambassadeur du Saint Empire romain-germanique (Autriche) auprès de la Cour de conseiller secret de la reine Marie-Antoinette
- Rosalie Levasseur, cantatrice du XVIIIe siècle, favorite du précédent
- Michel Rocard, ancien maire de Conflans, ancien premier ministre, député européen
- Louise Weiss, écrivain, militante féministe
- Jules Gévelot, industriel, maire de Conflans
- Jean-Paul Huchon, ancien maire de Conflans, président du conseil régional d'Île-de-France
- Samuel Lhéritier de Chézelles, baron et général d'Empire, ancien maire de Conflans
- Charb, dessinateur à Charlie Hebdo
- Albert Dupontel, humoriste, acteur et réalisateur y vécut jusque l'âge de 20 ans.
[modifier] Médias
Tous les trimestres, une édition des "Petits citoyens" est distribuée aux enfants de 7 à 11 ans dans les écoles. Elle traite de l'actualité citoyenne et des projets en cours dans la ville ou bien encore des institutions nationales.
Chaque mois, la ville publie un magazine d'informations : "Vac magazine" [15].
[modifier] Vie quotidienne
[modifier] Santé
La ville dépend du Centre hospitalier intercommunal Poissy/Saint-Germain-en-Laye. Elle abrite d'autre part un Centre municipal de santé, qui regroupe différents médecins généralistes et spécialisés, et des centres spécialisés ( un Centre communal de protection maternelle et infantile (PMI), un Centre de planification et d’éducation familiale, un Centre d’accueil et de soins,un Centre médico-psychologique, un Centre psychothérapeutique des Chasses-Marées). La commune met également, à la disposition des habitants, un Espace Informations Retraités[16].
[modifier] Enseignement
La ville de Conflans-Saint-Honorine relève de l’académie de Versailles.
École maternelle Chennevières | ||
École maternelle Trois-Sapins | ||
École maternelle Plateau-du-Moulin | ||
École maternelle Quatre-Vents | ||
École maternelle Basses-Roches | ||
École maternelle Long-Chemin | ||
École maternelle Le Confluent | ||
École maternelle Grandes-Terres | ||
École maternelle Croix-Blanche | ||
École primaire Chennevières | ||
École primaire Plateau-du-Moulin | ||
École primaire Côtes-Reverses | ||
École primaire Clos d’en Haut | ||
École primaire Paul-Bert | ||
École primaire Gaston-Rousset | ||
École primaire Grandes-Terres | ||
École primaire Henri-Dunant | ||
La commune regroupe d'autres établissements scolaires spécialisés : comme les classes spéciales pour l’enfance inadaptée, l'Internat de la batellerie, l'Institut d’Education motrice, ou encore l'école privée Saint-Joseph [17].
[modifier] Sport
La ville met à la disposition de ses habitants différents équipements sportifs [18] :
- des gymnases omnisports ( le Complexe sportif Claude-Fichot, le Complexe sportif Pierre-Ruquet, le Gymnase des Basses-Roches, le Gymnase Foch, le Complexe sportif Joffre, le Gymnase Pierre-Bérégovoy) ;
- des stades ( le Stade municipal Léon-Biancotto, le Stade municipal Claude-Fichot,le Stade Pierre-Ruquet) ;
- des équipements spécifiques (des terrains de Tennis, des salles spécifiques de tennis de table, d'escrime, de boxe, de danse, de combat, de gymnastique, ...) ;
- des plateaux d'évolution ( Les Microsites, Plateau Joffre, Plateau Foch, Plateau des Hautes-Rayes) ;
- autres ( le Pas de tir à l’arc, le Terrain de boules du parc du Prieuré, le Terrain de pétanque, la Salle de billard).
[modifier] Parcs et espaces verts
- Parc du Prieuré
- Bois des Hautes-Roches
[modifier] Cultes
- Culte catholique : la paroisse et l'église de Conflans
- Culte protestant : l'église Protestante Évangélique
[modifier] Voir aussi
[modifier] Articles connexes
[modifier] Bibliographie
- Collectif MJC-Conflans À Travers Les Âges, Histoire du chemin de fer à Conflans-Sainte-Honorine, 1986
- Collectif MJC-Conflans À Travers Les Âges, Conflans-Sainte-Honorine au fil de l'eau et du temps, 1988
- Maurice Martin, Conflans et la tour Montjoie, Éd. MJC-Conflans À Travers Les Âges, 1991, (ISBN 2950545106)
- Bernard Lesueur, Conflans-Sainte-Honorine, histoire fluviale de la capitale de la batellerie, Éd. de L'Harmattan, 1994
- Patrice Dupuy, Sainte Honorine, pèlerinage et prieuré de Conflans, Éd. du Valhermeil, 2000, (ISBN 291332813X)
- Collectif MJC-Conflans À Travers Les Âges, Conflans-Sainte-Honorine, cartes, plans, photos aériennes. Témoins de son histoire, 2003, (ISBN 2950545114)
- Roselyne Bussière et Stéphane Asseline, Conflans-Sainte-Honorine, terre de confluences, Inventaire général du patrimoine culturel, images du partimoine 233, (ISBN 2905913452)
- Collectif MJC-Conflans À Travers Les Âges, Conflans-Sainte-Honorine, cent vingt ans de photos et cartes postales (vers 1865 à 1985), Éd. Allan Sutton, coll. Mémoire en images, déc. 2006, (ISBN 2849105155)
[modifier] Liens externes
- Conflans-Sainte-Honorine, site officiel
- Photos d'un site personnel
- Vue aérienne de la commune de Conflans-Sainte-Honorine sur le site de l'IAURIF
- Conflans-Sainte-Honorine sur le site de l'Institut géographique national
- Conflans-Sainte-Honorine sur le site de l'INSEE
- Plan d'intendance de la paroisse de Conflans Sainte Honorine sur le site des archives des Yvelines
[modifier] Notes et références
- ↑ Météo-France - Climatologie
- ↑ Mode d'occupation du sol en 1999, Iaurif
- ↑ Annonce SNCF du 30 janvier 2008 http://www.leparisien.fr/home/maville/valdoise/articles.htm?articleid=296013876
- ↑ Bus
- ↑ Economie
- ↑ Logements
- ↑ http://cassini.ehess.fr/ Population avant le recensement de 1962
- ↑ INSEE: Population depuis le recensement de 1962
- ↑ a b INSEE : pyramide des âges 1999 - Conflans-Saint-Honorine
- ↑ INSEE : pyramide des âges 1999 - Région Île-de-France
- ↑ Recensement niveaux d'études
- ↑ INSEE, recensement 1999 - Nationalités à Conflans-Sainte-Honorine)
- ↑ INSEE, recensement 1999 - Nationalités dans les Yvelines
- ↑ Culture
- ↑ [http://www.mairie-conflans-sainte-honorine.fr/uploads/tx_alienordbdoc/vac_224.pdf magazine pdf
- ↑ http://www.mairie-conflans-sainte-honorine.fr/solidarite-et-sante/sante/index.html Santé]
- ↑ Les écoles
- ↑ Equipements sportifs