Keith Richards
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Keith Richards (né le 18 décembre 1943 à Dartford, dans le Kent en Angleterre) est guitariste des Rolling Stones, groupe qu'il a fondé avec Brian Jones en rejoignant Mick Jagger et Ian Stewart, en 1962. Jagger et Richards partagent la composition des morceaux des Stones.
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[modifier] Pré-Rolling Stones
Keith naît au Livingstone Hospital pendant la Seconde Guerre mondiale, au milieu des bombardements et des attaques de V1. Ses parents sont ouvriers. Son père ayant été gravement blessé pendant la guerre, Keith est très proche de son grand-père maternel, Augustus Theodore Dupree, (Gus), musicien de Jazz, qui a une grande influence sur lui. La première idole de Keith est Roy Rogers, acteur de Western, qu'il imite chez lui. Plus tard, Keith adopte le style vestimentaire Teddy Boy. Puis ses parents divorcent et Keith est envoyé au Sidcup Art College. C'est pendant cette période qu'il décide de ne plus voir son père, qu'il ne retrouvera qu'en 1982.
Dartford est aussi la ville natale de Mick Jagger, avec qui il va à la maternelle. Ils se perdent un peu de vue, et se retrouvent en 1960 sur le quai de la gare de Dartford. Mick a des disques avec lui, dont le Best of Muddy Waters, ce qui incite Keith à venir lui parler. Mick invite Keith à le rejoindre dans son groupe tout juste naissant, "Little Boy Blue & The Blues Boys". Keith vient avec son ami Dick Taylor, qu'il a connu au "Sidcup Art College". En Juillet 1961, dans le Devon, dans le sud ouest de l'Angleterre, en vacances avec les parents Richards, Keith et Mick donnent leur premier concert, c'est du moins leur première prestation en public, avec des reprises des Everly Brothers.
Mick chante aussi au Ealing Club dans les Blues Incorporated d'Alexis Korner, qui ont pour batteur un certain Charlie Watts, et comme bassiste Jack Bruce ; il y emmène Keith. Au Ealing Club, ils rencontrent Brian Jones, grand amateur de blues, qui cherche à monter un groupe avec le pianiste Ian Stewart. Avec Dick Taylor à la basse, ils seront les premiers Rolling Stones, en 1962.
[modifier] Stones
C'est en se réveillant au milieu de la nuit qu'en 1965 il compose Satisfaction, qui deviendra le premier grand hit des Rolling Stones, et le confortera dans l'idée que, lui et Mick Jagger, peuvent écrire des tubes. Après cette date, il s'efforcera de composer, toujours avec comme seul partenaire Jagger, la quasi totalité des titres de chaque album, délaissant les reprises de tubes américains.
[modifier] Musique
Keith a toujours été, déjà lors de la rencontre de Dartford avec Mick, un fan de Chuck Berry. Il le restera toujours, et ce style syncopé du rocker de Saint Louis sera magnifié par Richards. Keith connait d'ailleurs sur le bout des doigts tous les riffs et solos du maître[1]
Dès le début, il développe dans les Rolling Stones avec l'autre guitariste Brian Jones un style de jeu qui deviendra la « marque de fabrique » du groupe : l'imbrication des deux guitares, sans réelle distinction entre soliste et rythmique. Ainsi, personne n'a l'étiquette "soliste", ni celle de "rythmique", les deux guitaristes pouvant alterner et combiner leur partie de guitares, créant un son unique. Même si ce jeu se perd quelques années, pendant la période Mick Taylor, le guitariste qui remplaça Brian Jones en 1969 et resta dans le groupe jusqu'en 1975. Mick Taylor s'était imposé comme soliste[2], Keith reviendra en force lors de l'arrivée du remplaçant de Taylor en 1975, Ron Wood, compagnon musical idéal de Richards.
Pendant le break scénique des années 67-69, sous l'influence de Ry Cooder, il invente un nouveau type de jeu de guitare : il l'accorde en open tuning de sol, (ré, sol, ré, sol, si, ré,) duquel il retire la sixième corde, la plus grosse, le ré grave, ce qui permet d'avoir un sol en basse, la 5e corde devenant la plus grave[3]. Avec ce type d'accords, il écrira Honky Tonk Woman, Brown Sugar, Jumping Jack Flash, Start Me Up[4], etc. Il utilise de préférence une Fender Telecaster custom pour ce type d'accordage.
Son ami[5] et road manager du groupe Ian Stewart, lui a appris des rudiments de piano, qu'il utilisera pour la première fois sur Let's spend the night together en 1967.
[modifier] Reconnaissance
La fin des années 1960 et le début des années 1970 lui apporteront la reconnaissance de ses pairs, dans un style musical mûr et dès à présent immuable, qui sera la signature de Keith : utilisation des open tunings, rythme syncopé, utilisation du quatrième temps de chaque mesure comme point d'appui, généralisation du riff[6] dans le rock, qui le fera surnommer "le riff humain" ("human riff")[7] par tous les commentateurs. Cette période sera aussi celle des débuts de consommation d'héroïne, qui le marquera pendant les vingt années suivantes, le conduisant maintes fois en prison[8]. C'est pendant cette période que, sous la houlette du producteur Jimmy Miller seront produits les albums des Stones les plus légendaires : Beggars Banquet, Let It Bleed, Sticky Fingers et Exile On Main Street. L'album Let It Bleed sera d'ailleurs considéré comme l'œuvre (guitaristique) de Keith seul, Brian Jones, le deuxième guitariste, ne venant plus en studio. Ce dernier se fera renvoyer du groupe[9] en 1969 et remplacer par le jeune mais déjà réputé Mick Taylor. Un deuxième album, mythique, peut être un des meilleurs des Stones, est considéré comme l'œuvre de Keith, entièrement enregistré[10] dans sa villa du sud de la France[11]: Exile On Main Street.
[modifier] Période sombre
Les années suivantes, jusqu'au milieu de la décennie 80, seront une période trouble pour Keith. Drogues, prisons, mort de son fils[12] et de proches[13], doutes musicaux[14], albums inégaux des Stones, arrivée du disco dans leur musique, querelles avec Mick Jagger, etc. Le remplacement de Mick Taylor, parti de lui même, par l'ami Ron Wood, permettra tout juste à Keith d'être "présent" sur scène. L'arrestation de Keith à Toronto au "Harbour Castle Hotel" en février 1977, qui risquait sept ans de prison[15], met le groupe en péril et jette le doute sur la pérennité de la présence du guitariste au sein des Stones. L'apogée de ses troubles est atteinte en 1986 avec l'album Dirty Work, sur lequel il ne joue pratiquement pas[16]. Le titre de l'album est un clin d'œil aux fans, qui connaissent les difficultés du groupe et de leur guitariste fétiche. Cette période sera celle de l'interrogation autour de la séparation des Stones, des albums solo de Jagger et Richards, mais aussi de Wood et Watts. Keith sera l'initiateur et le directeur musical du film hail hail! Rock'n'roll réalisé pour les 60 ans de Chuck Berry.
[modifier] Renaissance
La renaissance viendra avec l'album Steel Wheels, qui verra Keith Richards et son groupe, à nouveau soudés, retrouver inspiration et ...respiration ! Même si les tournées se font dans des grands stades et deviennent un vrai business industriel[17], Keith insistera pour pouvoir toujours jouer dans de petites salles, plus ou moins officiellement, usant parfois de pseudonyme pour le groupe, afin de rester près de ses fans.
[modifier] 2005
L'album A bigger bang est à son tour une nouvelle résurrection, enregistré "à l'ancienne", dans le château français de Mick Jagger. De nombreux blues et titres très roots composent cet album, avec toujours la "patte" de Keith.
[modifier] Vie privée
Keith Richards n'a pas eu de vie privée aussi agitée que certains de ses collègues musiciens, notamment Mick Jagger. On lui connaît peu d'aventures, Keith est plutôt un homme fidèle.
Après une brève aventure avec Linda Keith[18], Keith Richards rencontre Anita Pallenberg en 1967, ils auront trois enfants.
- Un fils, Marlon Richards, né en 1969, qui est maintenant marié à un mannequin Franco-Galloise, Lucie de La Falaise ;
- une fille, Dandelion, née en 1972, qui a changé de nom pour Angela Richards ;
- un autre fils, Tara Richards, né en 1976, mais décédé de complications de santé peu après sa naissance.
Anita et Keith se séparèrent en 1980.
Puis il rencontra Patti Hansen, un top model, au Studio 54 de New York. Ils vécurent ensemble quelques années avant de se marier le 18 Décembre 1983, le jour du quarantième anniversaire de Keith. Ils ont 2 filles, mannequins comme leur mère:
- Theodora (voir article anglais)
- Alexandra
Le 28 avril 2006, Keith Richards a été victime d'une commotion cérébrale après être tombé d'un cocotier du Wakaya Club, un luxueux hôtel des îles Fidji, lors de vacances avec un autre membre des Stones, Ron Wood. Le 8 mai 2006, il a subi une opération au cerveau à l'hôpital Mercy Ascot d'Auckland qui a été couronnée de succès. Les dates européennes de la tournée mondiale des Rolling Stones ont été différées de près de deux mois (11 juillet au lieu du 27 mai). Il y interprète, entre autres, la chanson Wanna Hold You, à la place de Mick Jagger.
Récemment Keith a avoué avoir sniffé les cendres de son père. En effet, il a confié au magazine britannique NME ceci: «La chose la plus bizarre que j'aie essayé de sniffer? Mon père. J'ai sniffé mon père», «Il avait été incinéré et je n'ai pas pu résister à l'idée de le moudre avec un peu de coke», «Ca n'aurait pas dérangé mon père», «C'est très bien passé et je suis encore en vie». Cependant, dans les jours qui suivent, Keith démentit par l'intermédiaire de son porte-parole en affirmant que ce n'était qu'une blague.
[modifier] Matériel
Keith Richards a joué sur beaucoup de guitares différentes, sans que cela semble avoir altéré le son qu'il se donnait. On peut néanmoins établir une liste chronologique des instruments les plus utilisés :
- Harmony Meteor H70 en 1963-66[19] (www.guitargonauts.com)
- Ampli Harmony en 62, puis Vox AC30[20] en 63-64, et Fender ensuite, pour l'essentiel, notamment des Twin des années 50.
- Epiphone modèle Casino (2 micros P-90) en 1963-64
- Gibson Les Paul équipée avec un vibrato "Bigsby" en 1964-65 achetée lors de la tournée des Stones aux USA - Il s'agirait de la première Les Paul pré-60 (single-cut) utilisée au Royaume-Uni (la production des single-cut) ayant été non importée et arrêtée en 1961).
- Gibson Hummingbird (acoustique) sur lequel il aurait composé Satisfaction dans une chambre d'hôtel; c'est la guitare utilisée par Keith et Mick Jagger dans le film One plus One (Sympathy For The Devil).
à partir de 1965, Keith utilise toute sorte de guitares; on le voit notamment (plus ou moins chronologiquement) avec des :
- Fender Telecaster, parfois le modele custom, avec un micro double bobinage en position manche.
- Ampeg Dan Armstrong "clear lucite" translucide[21]
- Gibson Les Paul Custom 1957 Black Beauty (le modèle à 3 micros), noire[22]
- Gibson Flying V 58[23]
- Gibson ES-335 de couleur Noir et Sunburst
- Gibson Firebird de couleur Sunburst dans la période 65 ; Keith et Brian en avaient chacun une notamment à l'Olympia de Paris en 65
- Fender Stratocaster
A partir du milieu des années 1980, il joue beaucoup sur des Music Man, surtout des "Silhouette".
Il est revenu depuis le milieu des années 1990 aux Gibson Les Paul (souvent une Junior / 1 micro sur Midnight Rambler), Gibson ES-335, Fender Telecaster et Fender Stratocaster.
Keith Richards a pris pour habitude de "baptiser" ses guitares principales. Ainsi sa Telecaster de prédilection (modèle vintage 1953), avec micro manche de type humbucker et chevalet en laiton, est surnommée "Micawber". Elle est accordée en open sol cinq cordes (G-D-G-B-D).
Malcolm est également une Fender Telecaster avec micro manche de type humbucker et chevalet en laiton, accordée en open sol cinq cordes. Elle date de 1954.
Sonny est une une Fender Telecaster sunburst trois tons, toujours avec micro manche de type humbucker et chevalet en laiton, accordée en open sol cinq cordes.
La Telecaster Custom de 1975, accordée en open sol cinq cordes n'a pas été surnommée.
Il s'agit des principales Fender Telecaster de Keith Richards. Elles sont doublées, pour les tournées de guitares de secours, soit des modèles vintage, soit des produits du Custom Shop de Fender.
Keith se sert peu de Stratocaster en concert. Une superbe "Mary Kay" de 1957, blonde avec accastillage doré apparaît toutefois, notamment sur Miss You.
Au rayon Gibson, Keith utilise notamment une ES-355 mono de 1959, noire, accordée de manère standard, ainsi qu'une ES-345 stereo de 1964, blanche, surnommée Dwight.
Il joue également sur plusieurs modèles de Gibson Les Paul Junior des années 1950, principalement une double cutaway de 1957, couleur TV yellow, micro P-90, dénommée Dice.
Récemment, il a acquis quelques rééditions de l'Ampeg Dan Armstrong Lucite (guitare transparente). Il a également fait construire un nouvel exemplaire de sa fameuse Zemaitis cinq cordes avec incrustations "pirates" en nacre.
Au rayon acoustiques, les dernières tournées l'ont vu arborer une Martin de 1964, ainsi qu'une Guild dix cordes fabriquée spécialement pour lui.
Au niveau des cordes, Ernie Ball lui fournit un jeu spécialement conçu pour ses guitares cinq cordes dont les tirants sont : 011p-015p-018p-030-042. Ce jeu n'est pas commercialisé pour le public.
Il jouait aussi de la basse sur quelques morceaux, dont Let's spend the night together et surtout Sympathy for the Devil comme on le voit dans le film de Jean-Luc Godard One plus One.
Alan Clayton, son fidèle guitar tech, dit de lui:« Le truc avec lui, c'est qu'il peut jouer sur n'importe quelle guitare. Il s'en fout »[24]
[modifier] Discographie
[modifier] Rolling Stones
Keith Richards a joué sur tous les albums des Rolling Stones. Se reporter à la discographie complète du groupe.
[modifier] Solo
- 1979 : Run Rudolph Run (B-side The Harder They Come)
- 1988 : Talk is Cheap
- 1991 : Live at the Hollywood Palladium, December 15, 1988
- 1992 : Main Offender
- 1993 : Eileen (CD Single)
[modifier] Participations
1991 : Johnnie B. Bad (Warner) de Johnnie Johnson avec Eric Clapton...
1993 : joue de la guitare sur l'album de Tom Waits' "Bone Machine"
1991 : Mr Lucky de John Lee Hooker avec Ry Cooder, Carlos Santana, Robert Cray, Albert Collins...
2002 : "Willie Nelson & Friends" pour "Dead Flowers". Chant, guitare, Chœurs
2004 : Careless ethiopians sur l'album-compilation True love de Toots and the Maytals
2005 : Return to Sin City - A Tribute to Gram Parsons (2005)- DVD
2006 : The price you got to pay de Buddy Guy sur l'album Bring 'Em In
2006 : Last Man Standing de Jerry Lee Lewis (duo sur le morceau That Kind Of Fool)
2007 : Père de Jack Sparrow dans pirates des Caraïbes 3
[modifier] Filmographie
Pour anecdote, en dehors des nombreux films sur les Rolling Stones et autres films musicaux, Keith Richards joua en tant qu'acteur dans trois films :
- Michael Kohlhaas - Der Rebell de Volker Schlöndorff (1969)
- Rebirth of the Babymaker de Efferem Poynter (1994)
- Pirates des Caraïbes 3 : Jusqu'au Bout du Monde de Gore Verbinski (2007)
- 2008 : Shine a Light : lui-même
Johnny Depp dit s'être inspiré de Keith Richards pour son personnage de Jack Sparrow qu'il incarne dans la trilogie Pirates des Caraïbes. C'est pour cette raison que Keith Richards incarne le père du pirate dans Pirates des Caraïbes 3 : Jusqu'au Bout du Monde. Il est également à noter qu'il devait déjà jouer ce rôle dans Pirates des Caraïbes 2 : Le Secret du Coffre Maudit avant que cela fût annulé.
[modifier] Notes et références
- ↑ Bill Wyman et Phelge le confirment séparément dans leurs ouvrages respectifs, et on peut facilement le vérifier en écoutant les maintes reprises de Berry sur les premiers albums des Stones, bootlegs et officiels
- ↑ par sa virtuosité mais aussi en raison des absences de Keith, qui commençait à s'adonner à l'héroine
- ↑ il n'invente pas l' open tuning en lui -même, mais la façon de l'utiliser
- ↑ même s'il n'a pas vraiment composé ces morceaux, leur "signature" sonore est celle du grand Keith et de sa 5 cordes en sol!
- ↑ et fondateur du groupe, bien qu'il n'en fasse plus partie
- ↑ petite phrase d'une mesure ou deux qui se répète tout au long de la chanson, typique du blues, équivalent simplifié du leitmotiv en musique classique
- ↑ on trouve depuis dans la presse l'appellation "Keef Riffhard"
- ↑ Keith porte toujours une paire de menottes au poignet, en souvenir de ses déboires avec la police, et peut être aussi en symbole de l'addiction
- ↑ juste avant de décéder accidentellement noyé dans sa piscine
- ↑ à l'exception des voix et du mixage, fait à Los Angeles, essentiellement par Jagger
- ↑ au début des années 1970 quand les Stones s'exilèrent pour des raisons fiscales
- ↑ la veille des concerts parisien de l'album en public Love you live
- ↑ dont Graham Parson et Ian Stewart
- ↑ les qualités du guitariste Mick Taylor feront de ce dernier le soliste du groupe
- ↑ qu'il ne fera finalement pas; condamné à un "travail d'intérêt général", il devra donner un concert gratuit pour une association d'aveugles; ce qu'il fera le 22 avril 1979 à l'en:Oshawa Civic Auditorium au Canada, avec le groupe de circonstance "The New Barbarians", composé des autres Stones, de Stanley Clarke, de Ian Mc Lagan et Joseph Modeliste; un bootleg, "Blind Date", en sera tiré
- ↑ plusieurs guitaristes contribueront à cet album, dont Jimmy Page et Bobby Womack
- ↑ géré par Jagger
- ↑ Dans le film Jimi Hendrix de Joe Boyd et John Head, Linda Keith raconte qu'un jour, se trouvant à New York, au "Café Wha?" elle est sidérée par l'homme qu'elle voit sur scène; elle appelle son ami producteur et bassiste des Animals Chas Chandler pour lui dire tout le bien qu'elle pense de Jimi Hendrix. Elle est celle qui a découvert Hendrix
- ↑ nombreuses photos dans Rolling with the Stones, et photos de l'Olympia de Paris pour 66
- ↑ celui apporté par Bill Wyman, puis ceux "donnés" par VOX
- ↑ concert au Marquee de Londres en 1971
- ↑ Dans le film Rock'n'Roll Circus, et One+One
- ↑ Concert gratuit filmé à Hyde Park à Londres en 1969
- ↑ dans "Guitare Xtreme" N°9
[modifier] Bibliographie
- Tony Sanchez : Up and down with the Rolling Stones, 1996, ISBN 0306807114
- Stanley Booth : Keith - Till I roll over dead, Headline, ISBN 0747241236
- Stanley Booth : The True Adventures of the Rolling Stones, 2000, ISBN 1556524005
- François Bon : Les Rolling Stones, une biographie, 2002, ISBN 2213613087
- Philipp Norman : The Stones, Penguin, ISBN 0140174117
- Victor Bockris : Keith Richards, 1994, ISBN 2226074678 Albin Michel (13 octobre 1994)
- Bill Wyman : Stone Alone, 1996, ISBN 0306807831
- Bill Wyman : Rolling with the Stones, 2003, ISBN 0789499983
- Rolling Stones : Selon les Rolling Stones, Fayard, 2003, ISBN 2213616795
- James Phelge: Nankering With the Rolling Stones, 2000, ISBN 1556523734
- Jukebox Magazine: numéro 231 de juin 2006
- Rock & Folk: numéro 466 de juin 2006
[modifier] Lien externe