See also ebooksgratis.com: no banners, no cookies, totally FREE.

CLASSICISTRANIERI HOME PAGE - YOUTUBE CHANNEL
Privacy Policy Cookie Policy Terms and Conditions
Jean Louis de Viefville des Essarts - Wikipédia

Jean Louis de Viefville des Essarts

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Jean Louis de Viefville des Essarts
Portrait de Jean Louis de Viefville des Essarts
Portrait de Jean Louis de Viefville des Essarts
Naissance 29 février 1744
à Malzy
Décès 13 décembre 1820 (à 76 ans)
à Guise
Nationalité Française
Profession Avocat au Parlement de Paris
Conservateur des Eaux et Forêts
Occupation Député du Tiers-État
Président du Conseil général de l'Aisne
Sénateur de l'Aisne
Autres fonctions Maire de Guise

Jean Louis de Viefville des Essarts est né à Malzy le 29 février 1744, décédé à Guise le 13 décembre 1820 et inhumé dans le cimetière de Malzy.

Occupant des fonctions importantes dans l'Élection de Guise, avocat au Parlement de Paris, Jean Louis de Viefville des Essarts va être élu député du Tiers-État aux États généraux de 1789. C'est un parlementaire très actif, qui est à la fois antiesclavagiste et fidèle au roi et à la constitution. Sous l'Empire, il est président du Conseil général de l'Aisne, maire de Guise et élu deux fois sénateur de l'Aisne.

L'empereur le fait baron, titre et noblesse qui sont confirmés par Louis XVIII.

Sommaire

[modifier] Sa famille

Blason des Viefville
Blason des Viefville
Le futur ministre Georges Pléville Le Pelley est le beau-père de son frère.
Le futur ministre Georges Pléville Le Pelley est le beau-père de son frère.

Jean Louis de Viefville des Essarts est le fils de Pierre de Viefville (1713-1778) et de Marie Marguerite Carlier (1716-1778), de Monceau. Son père, laboureur à Malzy, est maire de Guise et appartient à l'administration des forêts[1].

Sous le règne de Louis XIV, arrive à Malzy son grand-père, Jean de Viefville (1675-1724), comme Receveur de la terre, et seigneurie à Malzy, pour les Dames et chanoinesses de Maubeuge, propriétaires du village[2]. Comme il est veuf depuis 1705 et a cinq enfants, Jean épouse Jeanne de Montguiot, fille d'Étienne, seigneur d'Urvillers, en Picardie. De ce second mariage naîtront huit enfants.

Jean Louis de Viefville des Essarts a un frère cadet, François de Viefville (1750-1828), officier de marine revenant des Indes en juillet 1787. Un temps, commandant du port de Marseille, après son beau-père, il est major de vaisseaux du Roy. François de Viefville devient par son mariage le gendre de Georges Pléville Le Pelley, futur contre-amiral et ministre, mais également le neveu d'Agathe de Rambaud, Berceuse des Enfants de France.

Le blason de sa famille est : Écartelé : aux 1 & 4, d'azur, à la palme d’argent posée en pal, accostée de 2 clefs d'argent, le tout soutenu de 3 coquilles d'or, rangées en fasce ; au 2 de gueules à la branche de chêne d’argent posée en fasce ; au 3 de sinople à 3 besants d'argent, 3,2 et 1.

[modifier] Biographie

[modifier] Avant la Révolution française (1744-1789)

Jean Louis de Viefville fait des études de droit. Il est avocat au Parlement de Paris et exerce, à Guise, les fonctions de procureur fiscal aux eaux et forêts et de Président du canton. Dès 1773, il est Subdélégué de l'Intendance du Soissonnais, à Guise[3].

En octobre 1787, il est membre de l'Assemblée Provinciale du Soissonnais, où il représente le Tiers-État[4]. Il est aussi maire de Guise et se charge du bureau des travaux publics [5]. L'élection de Guise manque de chemins vicinaux et d'un canal joignant l'Oise à la Sambre. Le pays est pauvre et les représentants ne peuvent faire face aux dépenses.

Jean Louis de Viefville des Essarts épouse Denise Françoise Suzanne Charlotte des Forges des Essars (1755-1844), issue d'une famille de Guise, anoblie pour sa belle conduite, lors du siège de la ville, en 1650[6]. C’est également la nièce du grand recteur Coffin, une parente de Boileau, mais elle est également cousine avec Nicolas de Condorcet et Desmoulins.

D'ailleurs, Jean Louis accueille à Paris le cousin germain de sa femme, Camille Desmoulins, à qui il fait obtenir une bourse d'études au collège Louis-Le-Grand. L'éducation complète à cette époque coûte cher, jamais, sans le concours de des Essarts, la famille Desmoulins n'eût pu faire de Camille un homme très cultivé.

[modifier] Pendant la Révolution française

[modifier] Un député très actif

Le Serment du Jeu de paume.
Le Serment du Jeu de paume.

Le 21 mars 1789, dans la Généralité de Soissons, Jean Louis de Viefville des Essarts est élu deuxième député du Tiers-État au Bailliage du Vermandois, à Laon, et siège aux États généraux de 1789, à Versailles. Sa nomination ne pose ni difficultés, ni oppositions.

Le 17 juillet 1789, le roi étoit dans sa voiture avec M. le Duc de Villeroy, M. le Maréchal de Beauvau, M le Duc de Villequier, et M. le Comte d'Estaing, sans aucune pompe et sans Gardes. Il étoit accompagné de cent Membres de l'Assemblée Nationale nommés la veille par elle-même pour lui servir de cortège et d'escorte et qui ont mis pied à terre à la Barrière pour se confondre avec les Électeurs. Jean Louis de Viefville des Essarts est l'un de ces cent membres de l'Assemblée Nationale...[7].

Néanmoins Deviefville-Des-Essarts va siéger du côté gauche de l'assemblée constituante. Il prend part aux travaux du comité féodal.

[modifier] Des opinions contrastées

Deviefville-Des-Essarts évalue à 800 millions le remboursement des offices de judicature et sans penser aux idées de la majorité des parlementaires il se bat contre sa suppression et demande que juste ce vieil édifice soit réformé[8]. Il sait que par cette réforme tous les magistrats vont être ruinés, car ils ne seront jamais remboursés du fait du Trésor ruiné[9].

On a de lui également ses opinions sur la gabelle : une motion de M. de Viefville des Essarts du 16 septembre 1789. Il trouve cet impôt révoltant et désastreux. Il rappelle qu'il est le plus odieux au peuple et nécessite le financement d'une armée de près de 60.000 hommes. Du fait de la gabelle des personnes sont régulièrement fouillées et des domiciles perquisitionnés. Du fait d'un acte de malveillance, une poignée de sel mise dans un local vous appartenant un homme peut être jeté en prison. Il propose un échange un impôt réparti équitablement sur tous les contribuables privilégiés[10].

[modifier] Le Décret des biens du clergé mis à la disposition de la Nation

Jean Louis de Viefville des Essarts s'oppose, le 23 octobre 1789 au Décret des biens du clergé mis à la disposition de la Nation, qu'il appelle l'invasion, qui signifierait qu'il n'y plus rien de sacré. Jean Louis de Viefville des Essarts pense que les étrangers et les capitalistes vont s'emparer d'une partie de ces biens et pressurer les cultivateurs. Pour le reste des terres de l'Église, il explique aussi que les grosses fermes gérées par l'Église sont plus productives que les petites propriétés, d'où une baisse assurée de la production nationale. Il prévient les députés que la vente des biens du clergé signifiera la fin du statut social des prêtres et le commencement des malheurs de l'anarchie. Très soucieux, du fait des fonctions de son père et les siennes au sein de l'administration des eaux et forêts, du sort des grandes et superbes forêts, il les voit détruites et dévastées. Jean Louis de Viefville des Essarts demande à ses collègues de réfléchir aux conséquences de la vente de 4 à 5.000 domaines importants sur la valeur des autres propriétés dans une France, où le numéraire est rare. Son dernier argument est de rappeler le rôle de l'Église envers les pauvres. Toutefois, s'il demande que le clergé reste propriétaire de ses biens, il préconise qu'ils soient très fortement imposés[11].

[modifier] La marine

La corderie à Rochefort, port qu'il veut supprimer.
La corderie à Rochefort, port qu'il veut supprimer.

Le 14 janvier 1791, il propose des idées sur l'organisation de la marine : Idées sur l'organisation de la marine, et sur les changements & réformes dont elle est susceptible dans différentes parties/par M. Viefville. Il critique le nombre excessif d'officiers généraux, demande que le nombre de vaisseaux soit ramené à 60, mais prêt à combattre. Le nombre d'amiraux et chefs d'escadre est de 62, soit selon lui 38 de trop et bien trop payés quand ils sont en mer. Il demande à ce que les patrons de barques deviennent et autres officiers de la marine marchande deviennent officiers. Il préconise aussi la réduction du nombre d'officiers de port, des gouverneurs dans les colonies, et du corps de la plume, crée par Colbert. Les Anglais avec une marine plus considérable ont un nombre moins considérable d'agents administratifs et ils suffisent. Pour les consuls à l'étranger, il voit des négociants payés 2.000 livres remplacer les diplomates payés 20.000 livres. Il préconise aussi de retirer leurs titres de consuls à certains de nos ambassadeurs. Il propose de supprimer le port de Rochefort. Il précise que la France dépense 46 millions et les Anglais 56 millions. Mais leur marine compte 3 fois plus de navires et deux fois plus de marins.

Jean Louis de Viefville des Essarts se dit dans ce rapport sur la marine incommodé et hors d'état de travailler.

[modifier] L'esclavage

Un Nègre pendu vivant.
Un Nègre pendu vivant.

Le 11 mai 1791, Deviefville-Des-Essarts fait un discours et dépose une proposition de loi demandant l'affranchissement des esclaves et supprimant la traite.

DISCOURS ET PROJET DE LOI pour l’affranchissement des nègres ou l’adoucissement de leur régime et réponses aux objections des colons, par M. de Viefville des Essarts, député du Vermondois.

Les questions et objections

Aimé Césaire remarquera que seul le député Viefville des Essarts, à la Constituante a de front posé le problème de l'esclavage par un plan d'abolition graduelle[12].

[modifier] Ses relations avec Camille Desmoulins

Camille Desmoulins se marie en 1790.

L'abbé Bérardier veut bénir lui-même cette union.

Pour témoins à son contrat et à l'église, Camille Desmoulins a Maximilien de Robespierre, l'ancien élève aussi du bon Bérardier, Mercier, le fameux auteur du Tableau de Paris, et Brissot que les attaques de celui auquel il sert de témoin conduiront à l'échafaud.

Les témoins de Lucile sont Pétion, le futur maire de Paris, et le comte de Sillery le confident intime de Philippe d'Orléans, le mari de Mme de Genlis.

Viefville des Essarts a signé au contrat et il est content de la dot qui est de cent douze mille livres[13] et va permettre à Camille de subvenir à ses besoins. Il est le seul représentant de la famille Desmoulins du fait de rumeurs propagées par la presse sur l'origine de la fortune des parents de sa femme.

D'ailleurs, Camille Desmoulins ne laisse plus passer sans la saisir, avec une sorte de plaisir âpre, aucune occasion de déclamer contre Guise, sa ville natale. Et c'est dorénavant Viefville des Essarts, son ancien protecteur, qui pour une raison demeurée inconnue aux yeux de certains, n'est désormais pas épargnée[14]. Mais, Camille Desmoulins ne fait qu'être rancunier envers ses amis et sa ville. Il voulait être député du Vermandois et ils l'ont trahi, préférant élire le mari de sa cousine germaine, dont il a profité de ses bontés pendant des années[15].

[modifier] Sa fidélité au roi et à la constitution

Exécution de Louis XVI.
Exécution de Louis XVI.

Jacques Mallet du Pan dans le numéro du Mercure de France, du 8 octobre 1791, le compte parmi les députés qui ont su maintenir la liberté de leurs idées. Le Spectateur national, du 8 juillet 1791, montre que lui et Antoine-François Delandine sont les seuls députés de la gauche de l'Assemblée à avoir conservées ses idées là[16].

Après Varennes, il est le premier qui dans un écrit distribué à tous ses collègues réclame le respect des principes constitutionnels, la liberté de la famille royale et le maintien des droits du monarque. Rentre-t-il ensuite dans la vie privée la sagesse et le courage ne l'y abandonnent pas. Du fond de sa province, il élève la voix en faveur de l'infortuné Louis XVI et dans une pétition adressée dès le 10 décembre 1792, au président de la Convention, il établit l'incompétence du jugement qui se prépare il prédit quelle tache éternelle doit en rejaillir sur ceux qui oseront le rendre. Il n'y a plus de sûreté pour lui quand le règne de la terreur arrive. Il est arrêté, incarcéré, traduit même au tribunal révolutionnaire. A la vérité c'est un autre individu qu'on appelle au supplice Mais qu'importe alors une méprise. Tous les captifs ne sont-ils pas coupables et l'affreux tribunal lâche-t'il jamais sa proie. Cette fois pourtant et le trait est peut être unique l'évidence du quiproquo suspend l'inévitable arrêt. Viefville est replongé dans sa prison et il y attend chaque jour que la fatale charrette vienne l'y reprendre quand le 9 thermidor fait tomber ses fers[17].

Jean Louis de Viefville des Essarts a été effectivement arrêté à Guise, emprisonné à Laon et transféré deux mois avant le 9 thermidor à la prison du Luxembourg. [18]. Durant cette période, Viefville des Essarts et Desmoulins sont dans des camps opposés, mais Camille Desmoulins alors que Jean Louis de Viefville des Essarts figure sur les liste de proscription de la prison du Luxembourg, mais pour 12 thermidor !!!

[modifier] Du 9 thermidor au Premier Empire

Jean Louis de Viefville des Essarts retrouve à sa sortie de prison ses ancienne fonctions forestières en Picardie. Il décide de se tenir à l'écart des discussions politiques.

Mais, la journée du 18 fructidor an V (4 septembre 1797) amène sa destitution et il doit à ses amis la révocation d'un ordre d'arrestation et de déportation à Cayenne[19]. Viefville des Essarts a blâmé l'arrestation de Pichegru, Ramel, du directeur Barthélémy et les mesures qui frappent aussi bien les royalistes et les jacobins[20].

[modifier] Sous le Premier Empire (1804-1815)

Jean Louis de Viefville des Essarts est président du Conseil général de l'Aisne pendant douze ans.
Jean Louis de Viefville des Essarts est président du Conseil général de l'Aisne pendant douze ans.

Le 18 brumaire an VIII (9 novembre 1799) lui permet de rentrer dans l'administration dont il avait été éloigné. Il est nommé successivement maire de Guise, en 1800, Conservateur des Eaux et Forêts, membre du Conseil général de l'Aisne, qu'il va présider pendant douze ans, président de canton [21].

Jean Louis de Viefville des Essarts est par deux fois désigné par le collège électoral comme sénateur au Sénat conservateur. Il est fait baron d'Empire, le 25 février 1813.

Un décret impérial du 5 mai 1813 l'appelle à la fonction de directeur des forêts du département des Bouches-du-Weser[22].

[modifier] Sous la Restauration (1814-1820)

Le retour de la famille royale semblait devoir assurer au courageux défenseur de Louis XVI de France, au proscrit de la Terreur de 1793, une continuation des faveurs du pouvoir, mais c'est le contraire qui se passe. Son fils aîné se voit arrêté dans sa carrière. L' administration des eaux et forêts de la 27e division que Jean Louis de Viefville des Essarts avait dirigé avec autant de succès que de désintéressement pendant 17 ans lui est enlevée et son fils ne lui succède pas[23].

Néanmoins Louis XVIII confirme son titre de baron, le 29 juillet 1818. Il est définitivement anobli par lettres du 27 février 1819[24].

Jean Louis de Viefville des Essarts meurt à Guise, d'une crise de paralysie[25], le 13 décembre 1820, et est inhumé dans le cimetière de Malzy.

[modifier] Sa descendance

Denise Françoise Suzanne Charlotte des Forges des Essars décèdera 24 ans plus tard, le 5 novembre 1844, à Guise.

Jean Louis de Viefville des Essarts et Denise Françoise Suzanne Charlotte Desforges des Essars ont eu trois fils :

  • Le baron Jean-Louis-Rieul de Viefville des Essarts, Auditeur près le ministre et la section de l'intérieur le 12 février 1809, Auditeur en service ordinaire près le ministre et la section de l'intérieur en 1810, Auditeur en service extraordinaire et sous-préfet de l'arrondissement d'Orange en 1811 et 1812, Auditeur de première classe, préfet du Sègre, à partir de juin 1812, préfet de la Mayenne en novembre 1813, remplacé en juin 1814, préfet pendant les Cent-Jours, il est disgracié par la Restauration et ne retrouve un poste de préfet en Côte d'Or qu'en 1830-1831[26].
  • Denis Louis de Viefville des Essarts (1783-1841), Inspecteur des Eaux et Forêts du 26e arrondissement, juge au tribunal de Saint-Quentin.
  • François Georges Frédéric Auguste de Viefville des Essarts

et un fille :

  • Félicité Louise Suzanne de Viefville des Essarts, mariée à Robert du Chatelet[27].

Le maire de Malzy fera en 2005 fabriquer une plaque en bronze avec le portrait du baron Jean Louis de Viefville des Essarts, enfant de Malzy.

[modifier] Notes et références de l'article

  1. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453.
  2. Dictionnaire historique, généalogique et géographique du département de l'Aisne, par Maximilien Melleville, p.5.
  3. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453.
  4. SOISSONNAIS — PROCÈS-VERBAL des séances de l’Assemblée provinciale du Soissonnois tenue à Soissons en 1787. Soissons, Impr. L.F. Waroquier, 1788. With 3 folding tables. 543, xxiv pp. 4to. Modern cloth.
  5. Pécheur, Louis-Victor (1814-18..?). Histoire de la ville... p.210
  6. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453.
  7. Procès-verbal des séances et délibérations de l'Assemblée générale des ... par Paris (France). Assemblée des électeurs, 1789, Jean Sylvain Bailly, Paris (France), Pre-1801 Imprint Collection (Library of Congress), Honoré Marie Nicolas Duveyrier, France Assemblée Générale des Électeurs de Paris, p.83.
  8. Courrier de Provence, publié par Étienne Dumont, p.208.
  9. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453 et suivantes.
  10. Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises. Première série, 1787 à 1799. Tome IX, Du 16 septembre 1789 au 11 novembre 1789, p.15 et suivantes
  11. Archives parlementaires de 1787 à 1860 : recueil complet des débats législatifs et politiques des Chambres françaises. Première série, 1787 à 1799. Tome IX, Du 16 septembre 1789 au 11 novembre 1789, p.513 et suivantes
  12. L'émancipation des Noirs dans la Révolution française 1789-1795, par Jean-Daniel Piquet, p.81.
  13. Études révolutionnaires, Camille Desmoulins et Roch Marcandier. La presse ... par Édouard Fleury, p.185.
  14. Études révolutionnaires, Camille Desmoulins et Roch Marcandier. La presse ... par Édouard Fleury, p.29.
  15. Pécheur, Louis-Victor (1814-18..?). Histoire de la ville..., p.231.
  16. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453 et suivantes.
  17. Manuel historique du département de l'Aisne, par Jacques François L. Devisme, p.394.
  18. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453 et suivantes.
  19. Biographie nouvelle des Contemporains, par Étienne de Jouy, Antoine Vincent Arnault, Antoine Jay, Norvins, p.441.
  20. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453 et suivantes.
  21. Biographie nouvelle des Contemporains, par Étienne de Jouy, Antoine Vincent Arnault, Antoine Jay, Norvins, p.441.
  22. Bailliage du Vermandois : élections des États généraux de 1789, procès-verbaux, doléances, cahiers et documents divers / publiés par la Société académique de Laon ; précédés d'une introd. et suivis de notes biographiques par Édouard Fleury, p.453 et suivantes.
  23. Biographie nouvelle des Contemporains, par Étienne de Jouy, Antoine Vincent Arnault, Antoine Jay, Norvins, p.442.
  24. Gustave CHAIX-d’EST-ANGE, Dictionnaire des familles anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome : 17, p.307
  25. Ou d'un accident vasculaire cérébral suivant une autre biographie.
  26. Dossier AN : F1bI 176/11 et Fondation Napoléon
  27. Gustave CHAIX-d’EST-ANGE, Dictionnaire des familles anciennes ou notables à la fin du XIXe siècle, tome : 17, p.307

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens et documents externes


aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -