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Jean-Pierre Papin - Wikipédia

Jean-Pierre Papin

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Pour les articles homonymes, voir Papin.
Jean-Pierre Papin
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Club actuel RC Lens
Fiche d’identité
Nationalité France France
Naissance 5 novembre 1963
à Boulogne-sur-Mer
Poste Entraîneur
Surnom(s) JPP, Patator
Parcours junior
Saison Club
1983-1984 RC Vichy
Parcours professionnel*
Saison Club Matchs
(Buts)
1984-1985 Valenciennes FC 33 (15)
1985-1986 FC Bruges 37 (25)
1986-1992 Olympique de Marseille 244 (185)
1992-1994 Milan AC 62 (30)
1994-1996 Bayern Munich 35 (6)
1996-1998 Girondins de Bordeaux 57 (22)
1998-1999 EA Guingamp 10 (3)
Sélection en équipe nationale**
Année(s) Équipe Matchs
(Buts)
1986-1995 France France 54 (30)
Équipes entraînées
Année(s) Équipe Stat
2004-2006 FC Bassin d'Arcachon
2006-2007 RC Strasbourg
2007-2008 RC Lens

* Matchs joués et buts marqués dans chaque club
comptant pour le championnat national
et les compétitions nationales et continentales.
** Matchs joués et buts marqués pour l'équipe
nationale en match officiel.

Consultez la documentation du modèle

Jean-Pierre Papin (surnommé JPP), né à Boulogne-sur-Mer le 5 novembre 1963, est un joueur international puis entraîneur de football français. Avant-centre efficace et spectaculaire dont les reprises de volée et retournés acrobatiques sont restés célèbres sous le nom de « papinades », il est du 27 août 2007 au 27 mai 2008 l'entraîneur du Racing Club de Lens.

Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] Les jeunes années

Si Jean-Pierre Papin est né à Boulogne-sur-Mer, c'est dans le Nord, près de Maubeuge, qu'il a grandi, où il a suivi sa mère suite à la séparation de ses parents.

Jean-Pierre Papin manifeste très tôt un goût prononcé pour le football et une appétence toute modérée pour les études. Selon une légende, il aurait répondu à une institutrice qui demandait à ses élèves la profession qu'ils voudraient exercer quand ils seraient plus grand, qu'il voulait devenir footballeur professionnel ! Il débute sa carrière chez les jeunes au club de Jeumont, en 1970, où il reste licencié jusqu'en 1978, avant d'intégrer le club de Trith-Saint-Léger.

Il connaît par la suite une ascension linéaire en jouant en Nationale avec Vichy (saison 1983-1984) puis en Division 2 avec Valenciennes (saison 1984-1985), avant de tenter l'aventure à l'étranger, au FC Bruges. Ce sont des débuts fracassants au plus haut niveau, avec un premier titre (Coupe de Belgique). Sa notoriété auprès du grand public est grandissante, et il connaît une première sélection en équipe de France lors d'un match amical contre Irlande du Nord le 26 février 1986.

Dans la foulée, il dispute la Coupe du monde 1986 au Mexique, où les Bleus terminent à la troisième place. Il marque notamment le seul but de la France lors du premier match de poule, contre le Canada. Titulaire surprise lors des matchs du premier tour, et critiqué pour ses ratés devant le but, il est remplaçant pour la suite du tournoi, avant d'être titularisé contre la Belgique dans la petite finale, au cours de laquelle il marque un but.

[modifier] L'épopée marseillaise

Il signe en 1986 avec l'Olympique de Marseille. Pour ses début, JPP effectue une excellente première moitié de saison, avant de flancher par la suite. Le club marseillais termine seulement deuxième du Championnat derrière Bordeaux, et est battu par cette même équipe lors de la finale de la Coupe de France. Ses prestations critiquées à la coupe du monde 1986 et ses débuts mitigés à Marseille valent à Jean-Pierre Papin certains sobriquets désobligeants tels que « JPP, j'en plante pas » ou « JPP, j'en peux plus ».

Vexé par cette année en dents de scie, Jean-Pierre travaille d'arrache-pied afin d'être fin prêt pour la nouvelle saison. Ce travail porte ses fruits puisqu'il termine la saison 1987-1988 meilleur buteur du championnat de France. Marseille ne termine que sixième du Championnat mais réalise un joli parcours européen en Coupe des Coupes en se hissant jusqu'en demi-finale.

La consécration arrive la saison suivante (1988-1989) avec un doublé Championnat / Coupe de France. JPP prend une place prépondérante à ces succès avec trois buts inscrits en finale contre AS Monaco sur un score (4-3), puis en inscrivant deux buts lors du match du sacre contre Auxerre. Il termine meilleur buteur du championnat pour la deuxième fois consécutive.

La saison suivante (1989-1990), le club phocéen conserve son titre national et Jean-Pierre Papin termine meilleur buteur du championnat pour la troisième fois consécutive. Demi-finaliste de la Coupe de France, les Marseillais parviennent également dans le dernier carré de la Coupe d'Europe des clubs champions, éliminés par le club Benfica Lisbonne sur un but inscrit de la main par le joueur lisboète Vata[1].

Intouchable sur le plan national, l'OM remporte en 1990-1991 son troisième Championnat de France consécutif, et JPP termine à nouveau meilleur buteur. Seule une défaite subie face à Monaco (1-0) en finale de la Coupe de France dans les arrêts de jeu contrarient les plans des Marseillais sur les terrains de l'Hexagone. En Coupe d'Europe des clubs champions, les Marseillais effectuent un beau parcours en éliminant notamment le Milan AC en quart de finale, puis le Spartak Moscou en demi-finale, mais subissent une cruelle désillusion en perdant la finale aux tirs au buts, à Bari, contre l'Étoile Rouge Belgrade, alors qu'ils étaient favoris.

Cet échec n'empêche pas JPP d'être élu Ballon d'Or en 1991. Après Raymond Kopa et Michel Platini, il est le troisième Français à obtenir cette distinction prestigieuse.

La saison suivante, les Marseillais sont champions de France pour la quatrième fois consécutive, mais leur saison est ternie par une élimination prématurée en Coupe d'Europe contre le Sparta Prague. En terminant pour la cinquième fois de sa carrière meilleur buteur du championnat, JPP égale une performance jusque là uniquement réalisée par Delio Onnis et Carlos Bianchi. Mais contrairement aux deux Argentins, il est le seul à avoir terminé meilleur buteur cinq fois de suite.

En fin de saison, les rumeurs d'un transfert au Milan AC se font plus pressantes. Papin dispute son dernier match au stade Vélodrome contre l'AS Cannes, le 25 avril 1992. Avant de prendre le micro à la fin du match pour annoncer son départ en Italie, il offre la victoire à son club dans ce dernier match. L'adieu de JPP fut des plus émouvants et beaucoup gardent encore en mémoire ce jour là.

En six saisons sous le maillot olympien, JPP aura donc marqué 185 buts en 254 matchs toutes compétitions confondues, terminé cinq fois de suite meilleur buteur du championnat de France, entre 1988 et 1992, et remporté quatre titres consécutifs de champion de France, de 1989 à 1992.

Durant cette période faste, Papin s'affirme également comme le principal atout de l'équipe de France. Il ne joue cependant pas de deuxième Coupe du monde, à cause des échecs lors des éliminatoires de celles de 1990 et 1994. Mais il donne toute sa mesure lors des éliminatoires de l'Euro 1992, où la France remporte tous ses matchs. Lors de la phase finale en Suède, la France échoue cependant dès le premier tour, même si Papin marque les deux buts de son équipe.

[modifier] L'expérience étrangère

JPP rejoint en 1992 le Milan AC, considéré comme le meilleur club européen à l'époque, qu'il a déjà croisé et éliminé en C1 en 1991. À cette époque, peu de joueurs français jouent à l'étranger. Avec ce départ en Italie, Papin a donc agi en quelque sorte comme un précurseur. Le mouvement de départ des meilleurs joueurs français à l'étranger ne s'amplifiera que quelques années plus tard, à partir du milieu des années 1990.

Ses débuts dans le Calcio sont corrects, malgré la concurrence avec Marco Van Basten. Le club remporte aisément le championnat d'Italie. Mais en mai 1993, JPP dispute et perd (remplaçant, rentré en fin de match) une nouvelle finale de Ligue des Champions, cette fois contre son ancien club, l'Olympique de Marseille.

Pour sa deuxième saison en Italie, il remporte son deuxième Scudetto avec le Milan AC, mais joue de moins en moins souvent. Battu par l'OM l'année précédente, le Milan AC prend sa revanche en s'imposant en finale de la Ligue des Champions en écrasant 4 à 0 le FC Barcelone. JPP remporte ainsi enfin cette compétition après deux revers en finale.

Après deux saisons expatrié en Italie, JPP décide de changer d'horizon en rejoignant le club allemand du Bayern Munich pour tenter de trouver du temps de jeu. Pour ses débuts dans la Bundesliga (saison 1994-1995), il joue très peu avec au total 7 matches pour 1 but, principalement en raison de blessures à répétition. Le Bayern termine à une moyenne sixième place et se fait éliminer dès le premier tour de la Coupe d'Allemagne. Le club bavarois se rattrape néanmoins en Ligue des Champions en atteignant les demi-finales.

Sa deuxième saison en Allemagne (1995-1996) est plus convaincante mais JPP ne trouve qu'à deux reprises le chemin des filets. Le Bayern termine à la deuxième place en championnat, mais fait surtout parler de lui en remportant la Coupe de l'UEFA, en battant en finale les Girondins de Bordeaux. C'est le deuxième succès de JPP dans une Coupe d'Europe.

C'est également durant cette délicate période à Munich qu'il perd sa place en sélection. Papin avait dans un premier temps dit adieu aux Bleus dont il était le capitaine après l'élimination en qualifications pour la World Cup USA, en novembre 1993, avant de se laisser convaincre par Aimé Jacquet de revenir. Il dispute son dernier match international contre les Pays-Bas en janvier 1995, avant que les blessures ne l'éloignent définitivement de la sélection.

[modifier] Le retour en France, et la fin de carrière

Il rentre en France en 1996 en signant à Bordeaux, où il complète deux saisons de bonne qualité (22 buts), conduisant deux fois de suite le club en finale de la Coupe de la Ligue.

Il signe pour la saison 1998-1999 à Guingamp, alors en division 2. Cependant, perturbé par les blessures à répétition, il met finalement fin à sa carrière professionnelle en octobre 1998, 3 mois après son arrivée.

Il fait alors le bonheur de deux équipes amateurs : la Jeunesse sportive Saint-Pierroise (Réunion), mais surtout l'US Cap-Ferret, où il inscrit le nombre impressionnant de 140 buts en 3 saisons. C'est en juillet 2004, à l'âge de 40 ans, qu'il raccroche définitivement les crampons.

[modifier] Le profil du joueur

Jean-Pierre Papin avait la particularité, pour un avant-centre, de marquer de nombreux buts de loin. Lorsqu'il recevait le ballon, il frappait le plus souvent en première intention, notamment en reprise de volée. Il a ainsi laissé une forte empreinte dans le football français, à tel point qu'un mouvement porte son nom. On désigne en effet sous le terme papinade une reprise de volée puissante du droit, croisée, depuis le côté droit de la surface de réparation. Son efficacité devant le but, sa précision dans le geste et sa force de frappe compensaient amplement un gabarit moyen. Ces qualités étaient le fruit d'un travail acharné à l'entraînement. Il n'était pas rare de le voir faire des « heures supplémentaires » à l'entraînement pour travailler son aspect du jeu devant le but.

[modifier] L'entraîneur

Alors qu'il joue encore au Cap-Ferret, Jean-Pierre Papin obtient son diplôme d'entraîneur. Il débute à la barre du FC Bassin d'Arcachon, club évoluant en DH. Sous son impulsion, le club accède en CFA 2 à l'issue de la saison 2004-2005. Le 6 mai 2006, il prend en charge l'équipe première du Racing Club de Strasbourg pour la saison 2006-2007. Il commence ainsi sa carrière d'entraîneur au niveau professionnel en prenant en main une équipe rétrogradée en Ligue 2 avec pour objectif principal la remontée en Ligue 1. Sous sa conduite, cet objectif est atteint grâce à la troisième place obtenue à l'issue de la saison. Papin n'est cependant pas reconduit dans ses fonctions pour la saison 2007/2008. Il aurait en effet cherché à négocier un poste d'entraîneur de l'équipe du RC Lens, se faisant devancer in extremis par Guy Roux. Il se dit aujourd'hui "victime d'une intrigue" selon l'un de ses proches conseillers.

En juillet 2007, il est contacté par l'équipe de Chine de football en vue d'une proposition d'embauche au poste d'entraîneur, sans suite.

Il refuse par ailleurs le poste d'entraîneur du FC Nantes Atlantique proposé par le repreneur du club Waldemar Kita pour remplacer Michel Der Zakarian, arguant de son amitié pour celui-ci et de ses bons résultats actuels. Le 25 août 2007, il s'engage avec le RC Lens succédant ainsi à Guy Roux, démissionnaire après seulement quatre journées de championnat. Avec un effectif qu'il n'a pas choisi, il ne réussit pas à redresser le club, malgré le sursaut survenu après la victoire en Coupe de la Ligue face à l'AS Monaco. Le 9 janvier 2008, après une défaite 0-1 au Stade Felix-Bollaert face aux Chamois Niortais (Ligue 2) en Coupe de France de football, Gervais Martel décide de recruter Daniel Leclercq, ancien entraîneur du RC Lens afin d'« assister » Jean-Pierre Papin dans ses choix. Le 17 mai, jour de l'épilogue de la saison 2007-2008, le RC Lens est officiellement rétrogradé en Ligue 2 malgré résultat nul obtenu contre les Girondins de Bordeaux (2-2), le Toulouse FC et le Paris Saint-Germain avec lesquels le club se trouvait en concurrence pour la relégation s'étant imposés sur le même score de 2 à 1 respectivement contre le Valenciennes FC et le FC Sochaux. Le RC Lens finit 18ème avec deux points de moins que le Toulouse Football Club (17ème). Sans surprise, Jean-Pierre Papin est licencié de son poste d'entraîneur du RC Lens le 27 mai et il est remplacé par un ancien de la maison lensoise Jean-Guy Wallemme.

[modifier] Consultant

Il a été consultant pour TF1 avant de rejoindre Canal+ et France Télévision. À la radio, il est souvent associé avec Christophe Pacaud sur RTL dans RTL Foot.

[modifier] Divers

  • Jean-Pierre Papin et son épouse Florence ont créé en 1996 l'association Neuf de Cœur (9 était le numéro fétiche du joueur) pour informer les parents sur les méthodes de rééducation d'enfants souffrant de lésions cérébrales.
  • Trois livres lui ont été consacrés :
    • Papin, de Jean Ferrara, 1989,
    • Papin de Marseille d'Olivier Dazat éditions Messidor 1991, éditions Jean Michel Garçonet,
    • Jean-Pierre Papin de Delesalle, éd. Mango, 2005.

Il est l'auteur d'une autobiographie, Franc jeu, publiée aux éditions Ramsay en 1998.

[modifier] Joueur

[modifier] Carrière de joueur

[modifier] Palmarès (joueur)

  • Meilleur buteur du Championnat de France : 1988 (19 buts), 1989 (22 buts), 1990 (30 buts), 1991 (23 buts) et 1992 (27 buts).
  • L'un des meilleurs buteurs français toutes compétitions européennes de clubs confondues : 38 buts en 56 rencontres européennes (1985-1997). (Thierry Henry détient actuellement le record français avec 50 buts en 109 rencontres européennes (depuis 1995), mais Papin a une moyenne de 0,68 but par match, contre 0,46 pour Henry.)
  • Meilleur buteur de la Ligue des Champions : 1990 (6 buts), 1991 (6 buts) et 1992* (7 buts) (Olympique de Marseille).
  • Fut un temps le meilleur buteur français en Ligue des Champions avec 28 réalisations. Record maintenant détenu par Thierry Henry avec 34 buts.

[modifier] Carrière internationale

  • Recordman français des sélections en équipe FIFA (4) :
    • 1997 : face à l'équipe d'Asie (à Hong Kong)
    • 1997 : face à la Russie (à Moscou)
    • 1998 : face à la Turquie (à Istanbul)
    • 1999 : face à l'équipe d'Afrique (de Mandela) (à Johannesbourg)
  • 54 sélections pour 30 buts en Équipe de France A de 1986 à 1995 ; 11 fois capitaine
  • Troisième de la Coupe du Monde de 1986 (a marqué le 1 200e but de la compétition).
  • Coupe Kirin : 1994

[modifier] Distinctions personnelles (joueur)

  • Élu Joueur du Siècle à l'Olympique de Marseille
  • Élu meilleur joueur étranger de tous les temps ayant évolué au FC Bruges[2]
  • Nommé au FIFA 100 (Top 100 des meilleurs joueurs vivants de tous les temps) en 2004.
  • Ballon d'or : 1991
  • Onze d'or : 1991 (et de bronze en 1989, 1990 et 1992)
  • El Pais joueur européen de l'année : 1991
  • World Soccer award : 1991
  • Joueur français de l'année : 1989 et 1991
  • Fait Chevalier de la légion d'honneur le 13 avril 2007

[modifier] Statistiques saison par saison

Saison Club Pays Division Championnat Coupe d'Europe Équipe de France
1983 - 1984 INF Vichy France France 3 29 matchs / 10 buts - -
1984 - 1985 Valenciennes FC France France 2 33 matchs / 15 buts - -
1985 - 1986 FC Bruges Belgique Belgique 1 33 matchs / 20 buts 5 matchs / 5 buts (C3) 5 matchs / 2 buts
1986 - 1987 Olympique de Marseille France France 1 33 matchs / 13 buts - 4 matchs
1987 - 1988 Olympique de Marseille France France 1 37 matchs / 19 buts 9 matchs / 4 buts (C2) 4 matchs
1988 - 1989 Olympique de Marseille France France 1 36 matchs / 22 buts - 6 matchs / 1 but
1989 - 1990 Olympique de Marseille France France 1 36 matchs / 30 buts 9 matchs / 6 buts (C1) 5 matchs / 4 buts
1990 - 1991 Olympique de Marseille France France 1 36 matchs / 23 buts 10 matchs / 6 buts (C1) 5 matchs / 6 buts
1991 - 1992 Olympique de Marseille France France 1 37 matchs / 27 buts 4 matchs / 7 buts (C1) 9 matchs / 9 buts
1992 - 1993 Milan AC Italie Italie A 22 matchs / 13 buts 7 matchs / 3 buts (C1) 6 matchs / 3 buts
1993 - 1994 Milan AC Italie Italie A 18 matchs / 5 buts 6 matchs / 4 buts (C1) 8 matchs / 4 buts
1994 - 1995 Bayern Munich Allemagne Allemagne 1 7 matchs / 1 but 3 matchs / 2 buts (C1) 2 matchs / 1 but
1995 - 1996 Bayern Munich Allemagne Allemagne 1 20 matchs / 2 buts 5 matchs / 1 but (C3) -
1996 - 1997 Girondins de Bordeaux France France 1 32 matchs / 16 buts - -
1997 - 1998 Girondins de Bordeaux France France 1 23 matchs / 6 buts 2 matchs (C3) -
1998 - 1999 EA Guingamp France France 2 10 matchs / 3 buts - -

[modifier] Entraîneur

[modifier] Carrière (Entraîneur)

[modifier] Palmarès (Entraîneur)

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et références

  1. Le but fut validé car les arbitres n'ont pas vu la main. Il n'y a pas d'assistance video au football
  2. Le meilleur joueur étranger du Club : Jean-Pierre Papin Site officiel du FC Bruges, page consultée le 6 juin 2008.


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