Discuter:Jean-Marie Collot d'Herbois
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Malgré la référence à l'ouvrage de Michel Biard, bien des clichés de la légende noire de Collot se retrouvent dans cet article. J'y ferai quelques corrections dès que j'aurai relu cet ouvrage. Le Plume 24 juin 2006 à 23:05 (CEST)
Sommaire |
[modifier] points à reprendre
sur le 1) à développer sur le 2)
- le rôle dans la Commune est possible mais pas avéré;
- Collot n'est pas à Paris lors de l'arrestation des Comédiens français (et bien sûr pas au CSP où il entre le 6 septembre): son rôle dans cette affaire est nul;
- la mission à Lyon: rajouter Albitte et Laporte, qui étaient avec Collot et Fouché;
- le rappel par Robespierre est une théorie très improbable;
- le 9 thermidor il est bien président de la convention, mais il semble que ce soit sous la présidence de séance de Thuriot que se passe l'échange connu avec Robespierre;
- il est effectivement déporté, mais ne pars que le 30 prairial; sont aussi condamné Barère, qu'on "oublie" d'emmener et Vadier, en fuite;
- il meurt à Cayenne et non Sinnamary, de fièvre sans que l'on sache si c'est de fièvre jaune qu'il s'agit. Quant à la Révolution, elle n'avait pas besoin d'être importé en Guyane, qui, comme territoire français, était également soumise au gouvernement révolutionnaire...
En gros tout est à refaire.
Je me contente pour l'instant de supprimer le passage sur La Buissière, qui est plus de l'ordre de la falsification que de l'erreur. Et peut être une ou deux autres corrections, va!
[modifier] Retrait NOPV le 11-07-2006
Compte tenu de l'absence de discussion et ma nouvelle version me semblant plus neutre, je propose la suppression du NOPV le 11 juillet.
Je ne désespère pas de compléter l'article afin de désébaucher simultanément.
[modifier] Le corps de Collot
est ce que la personne qui a intégré une allusion au corps de Collot "déterré par les Guyanais" (sic) veut bien donner ses sources ? Olivier Blanc (d) 5 février 2008 à 15:45 (CET)
- Je suppose que le détail a été déniché ici ou là. « D'après un récit d'Auxence Contout » : pas très précis, tout ça. Attis (d) 5 février 2008 à 16:17 (CET)
[modifier] Chemise rouge - parricide !
En parcourant les pages de la révolution de 1789, les chemises rouges sont souvent associées à un "parricide" !
les heureux bénéficiaires de cet accoutrement étaient des condamnés pour "crime d'assassinats, d'incendies et de poisons"
Il suffit de lire un jugement (quand Fouquier avait le temps de les rédiger) pour retrouver cet article du code pénal. Daniel - 26 avril 2008
- La "chemise rouge des parricides" se retrouve chez Michelet, dont nous connaissons tous le degré de sérieux quand au caractère historique des ses œuvres. Je recherche d'autres sources.--SammyDay (d) 28 avril 2008 à 10:35 (CEST)
- Bon apparemment c'est un (sacré) raccourci de Michelet : l'article 4, titre Ier, 1re partie du Code pénal de 1791, est ainsi conçu : « quiconque aura été condamné à mort pour crime d’assassinat, d’incendie ou de poison, sera conduit au lieu de l’exécution, revêtu d’une chemise rouge ; le parricide aura la tête et le visage voilés d’ une étoffe noire ; il ne sera découvert qu’au moment de l’ exécution ». Donc les parricides ont bien une chemise rouge, mais toutes les chemises rouges ne sont pas des parricides. Je vais tacher de modifier les articles correspondants en conséquence.--SammyDay (d) 28 avril 2008 à 10:41 (CEST)