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Histoire du Stade Malherbe Caen - Wikipédia

Histoire du Stade Malherbe Caen

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L'histoire du Stade Malherbe Caen est une lente marche vers l'élite du football français. Après une première période professionnelle au sein de la toute nouvelle Division 2 (de 1934 à 1938), le club est après-guerre un des principaux clubs amateurs de Normandie.

En 1970, le club découvre la Division 2 suite à son ouverture aux clubs amateurs. Après quinze saisons jouées entre Division 2 et Division 3, le Stade Malherbe adopte le statut professionnel en 1985, obtient sa première promotion en Division 1 en 1988. Depuis, le club évolue selon les saisons et ses succès en Division 1 ou en Division 2.

Sommaire

[modifier] Les premières années (1913-1934)

Le 17 novembre 1913, le Club Malherbe Caennais et Club Sportif Caennais fusionnent et donnent naissance au Stade Malherbe Caennais. Le club est omnisports et adopte les couleurs rouge et bleu du CSC. Sous ce nouveau label, les caennais enlèvent six titres de champion de Division Honneur Basse-Normandie entre 1920 et 1928.

[modifier] Les années professionnelles (1934-1938)

En 1934, le club acquiert brièvement le statut professionnel et intègre la Division 2.

  • 1934-1935 Le Stade Malherbe termine 11ème de D2.
  • 1935-1936 Le Stade Malherbe termine 6ème de D2.
  • 1936-1937 Le Stade Malherbe termine 8ème de D2.
  • 1937-1938 Le Stade Malherbe termine 14ème de D2 et abandonne le professionnalisme : le club retrouve sa place en Division d'Honneur la saison suivante.

[modifier] L'après-guerre (1946-1970)

Le Stade Malherbe de Caen est dans les années d'après-guerre une équipe navigant entre Championnat de France Amateurs et la Division d'Honneur. Il fait essentiellement parler de lui par des exploits répétés en Coupe de France dans les années 1950.

  • 1952-1953 Les caennais, emmenés par Jean Prouff, entraîneur-joueur, et le capitaine Claude Mercier, réalisent l'exploit d'éliminer le célèbre Stade de Reims (2-1), le plus prestigieux des clubs français, en 1/32e de Coupe de France.[1]
  • 1955-1956 Les normands, renforcés par l'ancien international André Grillon, confirment leur statut d'équipe de coupe en éliminant le Racing CP puis Alès. Ils ne sont défaits qu'en 1/8e de finale par le RC Lens, après prolongations.
  • 1956-1957 En 1/16e de finale, les caennais poussent l'AS Monaco à jouer un match d'appui, après avoir tenu en échec une première fois le club monégasque (1-1), puisqu'à l'époque où chaque match nul est un match à rejouer.[2]
  • 1957-1958 En 1/64e, le Stade Malherbe pousse le FC Nantes à jouer cinq matches : les trois premiers se soldent par des matchs nuls 0-0, malgré les prolongations, le quatrième match est interrompu par la pluie, avant que le cinquième ne voit les nantais l'emporter 1-0. Les deux équipes se seront affrontées près de huit heures ! Les règlements de la Coupe de France seront modifiés suite à cet exploit.[3]

[modifier] L'ancrage en Division 2 (1970-1988)

Le Stade Malherbe revient au haut niveau national en 1970, à la suite d'une réorganisation de la Division 2 (appelée National à ce moment). Il est alors entraîné par Célestin Oliver. [4]

  • 1970-1971 (Division 2) La saison, commencée par cinq défaites, est très difficile et le Stade Malherbe, avant-dernier, ne doit son maintien qu'à un repêchage lié à sa moyenne de spectateurs.
  • 1971-1972 (Division 2) Grâce aux arrivées du gardien Christian Delachet et du milieu Alain Rampant et au talent du yougoslave Đuro “Georges” Šorgić, recruté en milieu de saison précédente, Caen effectue une saison de toute beauté. Très efficace à l'extérieur, l'équipe est longtemps troisième mais finit sixième, victime de son manque d'efficacité à domicile.
  • 1973-1974 (Division 3 - Groupe Ouest) Le Stade Malherbe retourne à une politique plus régionale et l'équipe est bouleversée. Le gardien Alain Douville commence cette saison-là une carrière en bleu et rouge qui finira en 1985 et Jacques Mouilleron est la seule recrue d'expérience. Il devient même entraîneur-joueur en cours de saison. L'équipe, handicapée par des problèmes offensifs, effectue un parcours sans éclat.
  • 1974-1975 (Division 3 - Groupe Ouest) L'équipe achève son renouvèlement, marqué par de nombreux départs et peu d'arrivées. Mais ces dernières sont cruciales : le milieu offensif Jean-Paul Bouffandeau et le buteur Eric Lhoste conduisent Caen à la première place du groupe, non sans mal car c'est à la différence de buts particulière que Malherbe s'impose : les cinq premiers sont en deux points ! Cette saison voit se jouer les premiers derbys Stade Malherbe-US Normande.
  • 1975-1976 (Division 2) L'équipe est peu modifiée mais reçoit le renfort du Yougoslave Bojidar Antic, attaquant de classe internationale. L'équipe atteint la troisième place, avant qu'une fin de saison délicate la conduise finalement au sixième rang. Elle est aussi victime du bonus offensif, sans lequel elle serait restée sur le podium. Résultat paradoxal quand on constate qu'Antic et Lhoste finissent aux deux premières places du classement des buteurs. Le Stade Malherbe est désigné meilleur club amateur fin 1975 et Jean-Paul Pottier, indispensable complément de Bouffandeau au milieu, meilleur joueur amateur.
  • 1976-1977 (Division 2) Lhoste s'en va au Paris FC, Antic est suspendu deux mois en début de saison et l'équipe souffre offensivement. Malgré un passage catastrophique de huit défaites consécutives, le Stade Malherbe sauve sa place lors du dernier match, grâce une victoire décisive contre le FC Lorient qui précipite ce dernier en division 3. Le SMC atteint les 16e de finale en Coupe de France, éliminé par le Paris SG. Bouffandeau est élu meilleur joueur amateur fin 1976.
  • 1977-1978 (Division 2) Le départ d'Antic accroît les problèmes offensifs. Les recrues s'avèrent insuffisantes et Caen doit jouer ses premiers matchs à "domicile" à Bayeux pour cause de réfection de la pelouse de Venoix. Le parcours est médiocre, Malherbe finit bon dernier.
  • 1978-1979 (Division 3 - Groupe Ouest) Bouffandeau s'en va et Caen tente de corriger ses problèmes offensifs en organisant le retour de Lhoste et de Daniel François. Cela ne fonctionne pas, la saison est médiocre. Caen est même devancé (et battu deux fois) par son voisin de l'US Normande. Seule consolation : les 32e de finale en coupe de France face au Stade de Reims.
  • 1979-1980 (Division 3 - Groupe Ouest) C'est la fin d'une époque : Mouilleron, entraîneur depuis 1974, est remplacé par Alain Laurier et l'équipe est réorganisée. Pascal Théault, au club depuis 1964 mais freiné dans sa carrière par une grave blessure fin 1977, devient libéro. Le capitaine de l'US Normande, Eugène Prieur, est recruté. Les caennais réalisent une saison exceptionnelle : ils restent invaincus pendant vingt-sept matchs (sur trente), mais s'inclinent lors du déplacement sur le terrain du FC Chartres, pourtant dernier. Néanmoins le championnat est remporté haut la main.
  • 1980-1981 (Division 2) L'équipe valant essentiellement par son sens du collectif et sa solidité défensive, les dirigeants cherchent à la renforcer offensivement mais ratent leur recrutement. La chute n'en est que plus dure, l'équipe termine à la dernière place. La coupe de France offre une nouvelle petite consolation avec une qualification pour les 32e de finale contre le Sporting Club de Bastia.
  • 1981-1982 (Division 3 - Groupe Ouest) Malherbe remodèle tout son secteur offensif, avec notamment les arrivées de l'anglais Bobby Brown et du sénégalais Malick N'Doye. L'équipe effectue un parcours honorable mais au moment où elle se retrouve en position de monter, elle échoue à Venoix lors du match au sommet contre le Red Star 93. Elle finit quatrième.
  • 1982-1983 (Division 3 - Groupe Ouest) Le jeune Alain Vandeputte s'avère être un buteur efficace mais cela ne suffit pas. En lutte avec le Stade Quimpérois pour la montée jusqu'à la dernière journée, Malherbe perd dès qu'un match devient décisif et finit encore quatrième.
  • 1983-1984 (Division 3 - Groupe Ouest) Pierre Mankowski arrive comme entraîneur-joueur pour une saison exceptionnelle. En championnat Malherbe lutte jusqu'au bout pour la montée avec le voisin CA Lisieux, entraîné par Jacques Santini. Cette fois-ci le match au sommet à Venoix est remporté, devant 13350 spectateurs. Troisième et premier club amateur à la différence de buts, Caen remonte en Division 2. En coupe de France, l'équipe s'offre une merveilleuse aventure, éliminant le Racing club de Paris et le Lille OSC. Elle est éliminée en 16èmes de finale après une séance de tirs aux buts par le Stade Lavallois. Théault est nommé meilleur joueur amateur fin 1984.
  • 1984-1985 (Division 2) Peu désireux de renouveler les erreurs du passé, Caen recrute des joueurs expérimentés de division 2, ainsi que le local Yvan Lebourgeois. Ils offrent au club un maintien sans frayeur, essentiellement dû à une grande solidité défensive.
  • 1985-1986 (Division 2) C'est le début de la grande aventure du professionnalisme puisque Caen en adopte le statut. Le gardien de but Alain Douville, au club depuis 1973, arrête sa carrière, remplacé par Michel Bensoussan. Bruno Scipion et Eric Bala sont recrutés pour former une solide défense centrale et Guy Stéphan pour mener le jeu. Dégageant une grande maturité, et malgré une puissance insuffisante en attaque, l'équipe termine à la sixième place.
  • 1987-1988 (Division 2) Renforcé notamment par le retour de Franck Dumas (qui a cassé son contrat avec le Matra Racing) et le recrutement de l'international yougoslave Nikolić, le Stade Malherbe lutte avec Strasbourg pour la première place mais échoue finalement à la différence de buts : les caennais doivent de nouveau jouer les barrages. Cette fois ils sont irrésistibles, écartant successivement l'Olympique Alès, l'Olympique lyonnais et enfin les Chamois Niortais (1-1 à Niort, 3-0 à Caen). Caen est en division 1 pour la première fois de son histoire. Mankowski est de nouveau désigné meilleur entraîneur de division 2.

[modifier] La découverte de l'élite (depuis 1988)

  • 1988-1989 (Division 1) Mankowski s'en va, remplacé par Robert Nouzaret. Malherbe doit en fait faire face à de nombreux départs (Prieur, Pécout, Scipion, Nikolić, etc.) et compense par les arrivées de Jean-François Domergue et des anglais Graham Rix et Brian Stein. Si après six défaites d'entrée, on ne donne pas cher des caennais, ceux-ci démontrent des vertus morales insoupçonnées. Avec l'aide d'un Stade de Venoix plein à craquer, Caen arrache son maintien in extremis en arrachant trois victoires lors des trois derniers matchs, notamment à Bordeaux, où menés 2-0 à la mi-temps, les caennais l'emportent grâce à un triplé de la révélation Fabrice Divert.
  • 1989-1990 (Division 1) Les dirigeants tentent de recruter des joueurs expérimentés mais seul Michel Rio se montre à la hauteur. Après un début de saison décevant, Nouzaret, au caractère difficile, est écarté au profit de Daniel Jeandupeux. Si l'équipe obtient de bons résultats à Venoix, le parcours à l'extérieur est calamiteux (5 matchs nuls et 14 défaites). Caen obtient tout de même un nouveau maintien en division 1.
  • 1990-1991 (Division 1) L'équipe est bouleversée, à la fois par les recrutements de nombreux joueurs, parmi lesquels Jesper Olsen, Benoît Cauet ou encore Hippolyte Dangbeto), mais aussi par les choix de Jeandupeux qui reconvertit certains joueurs offensifs en défenseurs. C'est ainsi que Dumas commence sa carrière de libéro, qui le mènera à Monaco. Intraitable à domicile, le Stade Malherbe de Caen effectue une saison prometteuse et termine à la huitième place.
  • 1991-1992 (Division 1) C'est la saison la plus aboutie du club. Du point de vue sportif, Malherbe, renforcé par Xavier Gravelaine, Stéphane Paille et Willy Görter, effectue un parcours remarquable en championnat, finissant cinquième et se qualifiant pour la Coupe de l'UEFA. En Coupe de France, le match Caen-Lens marque les esprits en offrant un spectacle offensif d'une rare intensité ("match de l'année 1991" selon l'hebdomadaire France Football). Le score, 5-4 après prolongations, parle de lui-même. Mais l'aventure se termine en quarts de finale face à l'OM. Situation paradoxale, en coulisse, le club n'a pas été loin de la disparition. Les recrutements des années précédentes ont coûté cher, et le club accuse plus de 30 millions de francs de déficit fin 1991. Collectivités et entreprises locales se mobilisent et le club est sauvé, Guy Chambily devient président.
  • 1996-1997 (Division 1) Suite à un changement de direction et malgré la remontée, Pierre Mankowski est limogé au profit de Guy David. Priou et Michel partis, les recrutements d'Anthony Bancarel et d'Etienne Mendy n'ont pas le succès attendu. Le jeune Frédéric Née se révèle en attaque mais son efficacité ne suffit pas. Peu efficace à domicile et concédant trop de nuls, Caen termine dix-septième et descend, victime du passage à dix-huit clubs de la Division 1.
  • 2000-2001 (Division 2) Le club est privatisé, Guy Chambily revient à sa tête, précipitant le départ de Jeandupeux. Du côté des joueurs, Rothen rejoint Troyes, remplacé par Marc Zanotti, et Mendy part à Paris. Nicolas Esceth-N'Zi, milieu de terrain prometteur de Gueugnon, est la recrue la plus notable. Sur le terrain, c'est la grosse désillusion : un départ catastrophique coûte sa place à Théault, remplacé par Jean-Louis Gasset. La situation sportive ne s'arrange pas pour autant, et c'est seulement lors de l'avant-dernière journée que le Stade Malherbe obtient son maintien en Division 2. Seule satisfaction, l'éclosion du jeune et polyvalent Mathieu Bodmer.
  • 2002-2003 (Ligue 2) Gravelaine, fidèle à ses habitudes, s'en va après une seule saison. Gauthier est écarté, remplacé par Patrick Remy, qui recrute Di Rocco, Kor Sarr et Elana. Bodmer est sélectionné en équipe de France espoirs. Un début de saison prometteur soulève des espoirs mais l'équipe plonge ensuite au classement pour se retrouver à l'avant-dernière place début 2003. Une réorganisation tactique et la réussite de Mazure offrent une belle fin de parcours au club, qui termine à la septième place. En coupe de France, Caen reçoit l'AJ Auxerre en 32e de finale mais s'incline 2-1.
  • 2003-2004 (Ligue 2) Caen décide de miser sur la stabilité et sur la bonne fin de saison dernière. Aziz Ben Askar et Vincent Planté viennent renforcer le groupe, qu'a quitté Bodmer, écarté en fin de saison. Dernier au bout de cinq journées, l'équipe aligne ensuite une série de seize matchs sans défaite qui lui permet de revenir sur la tête du classement. De fil en aiguille, l'équipe, talentueuse, cohérente et solidaire, confirme sa présence sur le podium. La montée est officielle le soir d'une victoire sur le terrain du FC Rouen. Le Stade Malherbe est même tout prêt de ravir à St Etienne le titre lors de la dernière journée. Franck Dumas, qui aura joué un rôle primordial, arrête sa carrière et devient directeur sportif.
  • 2004-2005 (Ligue 1) De retour en ligue 1, les dirigeants souhaitent conserver l'effectif en place et effectuent un recrutement qui se veut ciblé. Mais Frédéric Danjou est loin de pouvoir remplacer Dumas, tandis que les belges Steve Dugardein et Grégory Dufer ne parviennent pas à s'adapter au niveau “Ligue 1”. L'équipe a conservé sa solidarité et son état d'esprit, mais paraît trop limitée. Malgré un début de championnat intéressant, le Stade Malherbe descend petit à petit au classement. Le recrutement à la trêve est complétement manqué (Mohammadou Idrissou, blessé, ne joue pas un seul match). En perdant des matchs importants contre des rivaux directs, l'équipe intègre la zone des relégables. Entre-temps, elle s'offre un fantastique parcours en Coupe de la Ligue, mais doit s'incliner en finale face à Strasbourg au Stade de France. C'est le dernier match de Remy, remplacé par Dumas : il reste quatre matchs à l'équipe pour quitter sa 19ème place. Trois victoires consécutives (3-2 à Marseille, 2-0 face à St Etienne, 3-2 à Toulouse lui permettent de remonter à la 17ème place, mais Caen s'incline sur le terrain d'Istres, dernier, lors du dernier match de la saison et doit redescendre en Ligue 2.
  • 2005-2006 (Ligue 2) Après quelques hésitations, Franck Dumas reste à la tête de l'équipe, secondé par Patrick Parizon et Patrice Garande. Auteur d'une belle saison, Sébastien Mazure reste en Ligue 1 (à St Etienne) : il est l'objet d'un échange avec Lilian Compan. Cyrille Watier, après six saisons de loyaux services, obtient un bon de sortie pour Guingamp. Leca, Florentin et Thiam sont recrutés. Le jeune Ronald Zubar, qui sort d'une saison impressionnante, est promu capitaine. Le retour à la réalité de la ligue 2 est brutal : l'équipe s'incline lors des quatre premiers matchs, mais elle parvient ensuite à s'offrir deux périodes d'invincibilité. Relégué à quatorze points de la troisième place en janvier, le Stade Malherbe enchaîne sept victoires d'affilée au printemps et rejoint Lorient, 3ème, lors de l'avant-dernière journée. Après une défaite à Brest, le dernier match de la saison est de nouveau décisif ! Caen l'emporte face à Créteil mais doit abandonner la 3ème place à Lorient, à la différence de buts (+23 contre +21).
  • 2006-2007 (Ligue 2) Franck Dumas est fidèle au poste, et la stabilité est de mise. Ronald Zubar, parti à Marseille, est remplacé par Grégory Proment. Le club compte également sur le retour de Mazure, qui a connu une saison à St Etienne gâchée par les blessures. Le Stade Malherbe démarre sur les chapeaux de roues, avec 13 matchs consécutifs sans défaite. L'attaque caennaise, dynamisée par l'explosion de Yoan Gouffran (élu meilleur joueur de Ligue 2), est la plus prolifique de Ligue 2. Malgré un passage à vide en fin de saison, l'équipe obtient son retour en Ligue 1, en terminant deuxième, derrière le FC Metz. Le club affiche la plus grosse affluence moyenne en Ligue 2 et remporte la 1re édition du championnat de France des tribunes. L'équipe réserve accède au CFA. Enfin le nouveau centre de formation est inauguré, concrétisant l'ambition du club de figurer parmi l'élite française de la formation.
  • 2007-2008 (Ligue 1) Caen est de retour parmi l'élite et n'entend pas retourner en Ligue 2. Contrairement à la précédente montée en Ligue 1, les dirigeants décident de renforcer sensiblement l'équipe : le meneur de jeu Benjamin Nivet (ex-Troyes, relégué en Ligue 2) et l'ailier gauche argentin Juan Eduardo Eluchans (ex-Independiente) rejoignent en particulier le club. Malgré une entame délicate, l'équipe réalise une remarquable première moitié de saison, et pointe à la 4e place à la trêve. Le groupe connait un nouveau passage à vide durant l'hiver, mais la réussite et les bons résultats reviennent au printemps. Malherbe termine la saison à une inattendue 11e place, en pratiquant un jeu offensif et spectaculaire, dans la lignée des saisons précédentes.

[modifier] Notes et références

[modifier] Voir aussi

[modifier] Articles connexes

[modifier] Liens externes

[modifier] Bibliographie

  • A. Douville, D. Fleutot, J. Guesdon, Malherbe d'hier et d'aujourd'hui : 75 ans de football au SM Caen, 1988, ISBN 2-9502904-0-X
  • J.Y. Desfoux, R. Lemeur, C. Yvetot, SM Caen 1992, Passeport pour l'Europe, 1992, ISBN 2-854804260


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