Georges Pontier
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Georges Pontier Évêque de l'Église catholique |
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titre Archevêque de Marseille |
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Naissance | 1er mai 1943 à Lavaur (France) |
Ordination sacerdotale |
3 juillet 1966 par Mgr Claude Dupuy |
Consécration épiscopale |
20 mars 1988 par le card. Robert Coffy |
Évêque | Évêque de Digne Évêque de La Rochelle Archevêque de Marseille |
Décès | |
Archevêque · Évêque catholique Archevêché français ·Évêché français · Diocèse catholique en France données |
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Projet Catholicisme · instructions |
Mgr Georges Pontier, né le 1er mai 1943 à Lavaur dans le Tarn, est un évêque français, archevêque de Marseille depuis 2006.
Sommaire |
[modifier] Biographie
[modifier] Formation
Après avoir obtenu une maîtrise en Lettres modernes à l'Université de Toulouse, il est entré au grand séminaire d'Albi. Il a complété sa formation à Rome où il a obtenu une licence de théologie à l'université pontificale grégorienne.
Il a été ordonné prêtre le 3 juillet 1966 pour le diocèse d'Albi.
[modifier] Principaux ministères
Après avoir exercé dans l'enseignement, en particulier au séminaire des jeunes de Saint-Sulpice-la-Pointe, il a été vicaire puis archiprêtre de la cathédrale Sainte-Cécile d'Albi. Il a ensuite été nommé vicaire épiscopal en 1987.
Nommé évêque de Digne le 2 février 1988, il a été consacré le 20 mars suivant par le cardinal Robert Coffy. Il a ensuite été nommé évêque de la Rochelle et Saintes le 5 août 1996 avant de succéder au cardinal Bernard Panafieu comme archevêque de Marseille le 12 mai 2006.
Il a été vice-président de la Conférence des évêques de France de 2001 à 2007. Il en est encore membre du Conseil permanent.
[modifier] Prises de position
[modifier] Par rapport au dialogue avec l'Islam
Très concerné par le dialogue avec l'Islam étant donné l'importance de la communauté musulmane à Marseille, Mgr Georges Pontier appelle à un dialogue en profondeur, mais sans naïveté[1],[2].
[modifier] Élections nationales
Il invite les chrétiens à voter aux différentes élections nationales, en rappelant l'exigence pour chacun d'être conscient des efforts nécessaires de solidarité pour pouvoir "vivre ensemble"[3].