See also ebooksgratis.com: no banners, no cookies, totally FREE.

CLASSICISTRANIERI HOME PAGE - YOUTUBE CHANNEL
Privacy Policy Cookie Policy Terms and Conditions
Françoise Hardy - Wikipédia

Françoise Hardy

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.

Pour les articles homonymes, voir Hardy.
Françoise Hardy
Naissance 17 janvier 1944
Paris, France France
Profession(s) Auteur-compositeur-interprète
Genre(s) Variété
Années actives Depuis novembre 1961
Site internet francoise-hardy.com

Françoise Madeleine Hardy (née le 17 janvier 1944 à Paris[1]) est une chanteuse française.

Auteur-compositeur-interprète, Françoise Hardy débute dans le monde musical à 18 ans et rencontre un succès immédiat. Après s’être produite pendant six années sur scène, elle abandonne cet aspect démonstratif du métier. Depuis, elle poursuit une carrière essentiellement discographique. Parallèlement à l’écriture de chansons, elle porte un intérêt certain pour l’astrologie qu’elle appréhende comme complément à la psychologie. Sur des mélodies mélancoliques qu’elle affectionne, son répertoire est en grande partie le reflet des doutes, des interrogations, de l’anxiété que suscitent en elle les tourments des relations sentimentales.

Elle partage sa vie avec le chanteur et acteur de cinéma, Jacques Dutronc depuis 1967. Ils ont un enfant, Thomas, né le 16 juin 1973. Ils se sont mariés le 30 mars 1981 à Monticello en Corse.

Sommaire

[modifier] Biographie

[modifier] Les débuts

Sa jeunesse se passe en vase clos auprès d’une mère autoritaire, restée célibataire, et de sa sœur cadette, Michèle, dans un modeste appartement du 9e arrondissement de Paris. Son père, marié de son côté, est rarement présent. Adolescente complexée et sentimentale, c’est son goût pour la chanson et la découverte du rock’n’roll sur son poste de radio, qui lui font choisir une guitare, en récompense de sa réussite au baccalauréat, en juin 1961. Aidée d’une méthode sommaire, elle s’essaye à poser quelques accords sur des mots qui traduisent ses états d’âme et se met à rêver d’un métier ayant un rapport, de près ou de loin, avec le milieu musical. Après une première année d’études supérieures à la Sorbonne, une annonce dans le journal France-Soir retient toute son attention : une maison de disques souhaite auditionner de jeunes chanteurs[2]. Françoise obtient un rendez-vous et passe un essai qui reste sans suite. Elle contacte d’autres sociétés parmi lesquelles, Vogue, qui a Johnny Hallyday dans son catalogue et qui souhaite trouver son pendant féminin. Intéressé par son style, le responsable des auditions l’invite à se perfectionner et lui donne des cours de solfège. Elle entre ensuite au Petit conservatoire de Mireille (elle y restera deux ans). Quelques mois après, à la mi-novembre 1961, le directeur artistique de Vogue lui signe un contrat. Le Petit conservatoire de la chanson est aussi une émission télévisée de l’ORTF et le 6 février 1962 « Mademoiselle Hardy » fait sa première apparition en public. L’enregistrement de son premier disque microsillon est bouclé le 25 avril de l’année suivante. Il y a l’adaptation française d’une chanson américaine, sur laquelle mise la production, et trois de ses propres compositions. Le quarante cinq tours sort au mois de juin et les quatre titres ne tardent pas à être entendus dans les postes à transistors. Trois mois plus tard, 2000 exemplaires sont écoulés.

[modifier] Les années Vogue

La chanteuse se révèle en noir et blanc, sur l’unique chaîne de TV, dans la soirée du 30 octobre 1962 — De nombreux téléspectateurs attendent les résultats du référendum sur l'élection du président de la République au suffrage universel — Dans l’un des intermèdes musicaux, Françoise Hardy apparaît pour chanter Tous les garçons et les filles. Dès le lendemain et les jours suivants, le titre va se démarquer des trois autres sur les ondes radios et dans les juke-boxes et devenir un « tube » incontournable. À la fin de l’année, 500 000 exemplaires ont déjà été vendus. La presse s'empare du phénomène. Paris Match la met en couverture de son numéro du 5 janvier 1963 et la consacre nouvelle « idole » de la chanson. Ce succès, porté par la vague « yéyé », lui vient également de ses talents d’écriture et de composition, peu courants chez les nouveaux interprètes de ce début des sixties. Claude Lelouch, alors inconnu, la filme pour un des tout premiers Scopitone. Monaco la choisit pour défendre ses couleurs au Concours Eurovision de la chanson le 23 mars 1963 à Londres. Le cinéaste Roger Vadim la fait débuter au cinéma dans Château en Suède, d’après la pièce de théâtre de Françoise Sagan. Elle enregistre d’autres disques, enchaîne les galas et les tournées, puis fait ses premiers pas sur la scène de l'Olympia en novembre.

Fin 1963, Tous les garçons et les filles atteint le million de disques vendus et franchit les frontières. Traduite par Quelli della mia eta’, la chanson connaît le même score de ventes en Italie. Ses chansons en anglais sont également bien accueillies Outre-Manche. Notamment Catch a Falling Star en 1964 et surtout All Over the World, adaptation d’une de ses compositions (Dans le monde entier), qui est classée en tête du Hit-parade en 1965. Cette même année, l’Allemagne la rend populaire au lendemain d’un show télévisé, avec le titre Frag’ den Abendwind. En 1966 elle participe au 16e Festival de la chanson de Sanremo. Sa popularité atteint le Canada, le Danemark, l'Espagne, le Japon, les Pays-Bas[3] D’autres succès suivront : Le Temps de l'amour (mis en musique par Jacques Dutronc), Le Premier bonheur du jour, Mon amie la rose, L’Amitié, La Maison où j'ai grandi, Rendez-vous d'automne, Des ronds dans l'eau... Des chansons certes, mais l’image aussi : les minijupes, les boots blanches et le visage sous la frange des cheveux. Son compagnon Jean-Marie Périer, photographe de la revue Salut les copains, y contribue avec le concours de couturiers d’avant-garde comme Paco Rabanne, Yves Saint-Laurent et André Courrèges.

Jean-Marie Périer lui fait découvrir et aimer la Corse et lui suggère d’y faire construire une maison. Il la conseille dans ses choix et l’influence sur tout ce qui touche à son image et sa carrière. Il l’incite à continuer de faire du cinéma. L’année 1965 est en partie consacrée au septième art. Après une courte participation dans la dernière scène de What's New Pussycat de Clive Donner, la voilà en Grèce pour le tournage d’Une balle au cœur du jeune cinéaste Jean-Daniel Pollet. En juin, elle se produit pour une première fois sur une scène anglaise, au cabaret de l’hôtel Savoy, à Londres. Octobre est le mois de son deuxième passage à l’Olympia. L’année suivante, après son deuxième tour de chant au Savoy, le metteur en scène John Frankenheimer lui propose un rôle dans Grand Prix, une superproduction sur les courses automobiles. Le tournage dure cinq mois et l’emmène sur les circuits de Formule 1 : Monaco, Monza, Spa… Elle est invitée par la Metro Goldwyn Mayer avec la vedette française du film, Yves Montand, à se rendre à New York, pour la première projection publique, le 21 décembre 1966. À cette occasion, la Warner, en accord avec Vogue, diffuse ses disques sur le marché américain. Le lancement de The Yeh-Yeh Girl from Paris, la fait participer, entre autres apparitions télévisées, au Grace Kelly Show et les pages des magazines prennent le relais.

En 1967 elle crée « Asparagus », sa propre maison de production et signe un nouveau contrat avec Vogue pour la distribuer. Le chanteur Jacques Dutronc est maintenant entré dans sa vie et leurs longues séparations lui sont éprouvantes. Les tournées se font à un rythme soutenu. Non seulement en France, mais aussi au Canada, au Moyen-Orient, en Amérique du Sud. En 1968, elle fait la tournée des plus importantes universités britanniques, se produit en Espagne et en Afrique du Sud. Devant le succès remporté à l’étranger, il est décidé d’interrompre momentanément les tournées pour enregistrer de nouvelles chansons en Anglais, en Italien et en Allemand. Début mai 1968, elle honore donc ses derniers contrats : un troisième tour de chant au Savoy à Londres[4] et un voyage au Congo pour donner un récital à Kinshasa. De retour en France, la révolte étudiante gagne le pays. Sa maison de disque lui conseille de s’éloigner de la capitale. Elle part avec Dutronc en Corse. La rumeur sur son désir de délaisser la scène au profit du disque, se fait entendre. En effet, la chanteuse songe sérieusement à ne plus en faire et cette pause dans les tournées lui est favorable pour franchir le pas.

Pour son prochain album, Serge Gainsbourg lui compose Comment te dire adieu ?. C'est un des gros succès de l'année 1969. Ce retour au sommet du hit-parade redonne un coup de fouet à sa carrière. Cependant, sa décision d'abandonner la scène est maintenant irrévocable. Elle ne donnera désormais que des prestations télévisées. Quant au cinéma… faire l’actrice ne l’intéresse plus.

Son temps libre est mis à profit pour suivre des cours de psychologie puis elle se tourne vers l'astrologie traditionnelle.[5] Son intérêt dans ce domaine est vite connu et elle reçoit rapidement des propositions de travail qu’elle accepte pour se perfectionner auprès d’astrologues confirmés. Côté musique, elle rompt avec les disques Vogue.

[modifier] Messages personnels

En 1970, Françoise Hardy crée une nouvelle société de production : Hypopotam. Un contrat de trois ans confie à Sonopresse la distribution de sa production. Pendant cette période, pas un an ne passe sans sortir de disque : Soleil, La Question, Et si je m'en vais avant toi et If You Listen, un album de chansons en anglais. Un 45 tours sort également, avec un duo avec le comédien Patrick Dewaere : T’es pas poli. Malgré leur qualité, ces albums n'emporteront pas l'adhésion du public et resteront confidentiels.

Un nouveau contrat est signé en 1973 avec WEA. La chanteuse, qui aspire à changer de registre, se met en quête de mélodistes. La collaboration avec l'auteur-compositeur Michel Berger, sera une étape marquante dans sa carrière. Après la naissance de son fils Thomas, le 16 juin, elle entre en studio pour l'enregistrement de l'album Message personnel. L'important succès qu'il rencontre, lui permet de faire un retour remarqué.

En 1974 l’astrologue Jean-Pierre Nicola lui demande de travailler avec lui.[6] Elle fera désormais son chemin en experte et animera des émissions sur Radio Monte-Carlo pendant huit ans. Parallèlement, sont enregistrés : son unique album-concept, “Entr’acte” et trois 45 tours dont celui de la bande originale du film de Claude Lelouch, Si c'était à refaire dans lequel elle apparaît le temps de chanter, Une femme parmi les femmes.

[modifier] Musiques saoules

L’éducation de son enfant lui fait délaisser l’écriture de chansons. Chez EMI le tandem Gabriel YaredMichel Jonasz lui concoctent trois albums aux colorations funky et jazzy. Nous sommes en 1978, en pleine période « Disco » et le succès de J'écoute de la musique saoûle lui attire un plus jeune public. Le 30 mars 1981 le couple Hardy-Dutronc se marie devant le maire de Monticello en Corse. Tamalou est sur toutes les ondes. Françoise Hardy renoue, certes, avec le succès mais ces chansons ne la satisfont guère. « J’ai toujours été la même, j’aime les belles chansons lentes sur fond de violons. Je n’aime que les chansons tristes. »[7]

Au printemps 1982, le 33 tours Quelqu’un qui s’en va est chez les disquaires.[8] La chanson, Tirez pas sur l'ambulance déboule en vidéo-clip à la télévision. La silhouette est inchangée, mais les cheveux sont courts maintenant. Le cap de la quarantaine est proche et elle ne se voit pas « pousser la chansonnette » passé quarante ans. Cependant, elle reprend la plume et sort deux 45 tours : Moi vouloir toi, sur une musique de Louis Chédid, en 1984 et V.I.P. sur une composition de Jean-Noël Chaléat, en 1986. Entre temps, elle écrit aussi des chansons pour Diane Tell (Faire à nouveau connaissance) et pour Julien Clerc (Mon ange).

[modifier] Partir…

En 1988, au bout de vingt six ans de carrière, elle prend la décision de s’arrêter. Décalages, sort en CD.[9] Ce 22e opus est annoncé comme son dernier. Elle en a écrit tous les textes. Porté par le titre Partir quand même (sur une musique de Dutronc) il devient disque d’or en peu de semaines.

Sa résolution prise, elle tient cependant à garder un pied dans le milieu de la chanson. Elle s’investit dans l’écriture pour Julien Clerc (Fais-moi une place) , Patrick Juvet, Viktor Lazlo, Jean-Pierre Mader (En résumé, en conclusion) et Guesch Patti. Crée des versions nouvelles pour une compilation de ses chansons. Participe à des disques caritatifs ou collectifs et fait la promotion du premier album de son poulain, Alain Lubrano (1992). Répond aux sollicitations de Malcolm McLaren (1994) et de Damon Albarn du groupe Blur (1995). D’autre part, son activité d’astrologue est menée de front : cosigne quelques ouvrages, collabore à des revues spécialisées et tient durant cinq années une rubrique quotidienne sur la station de radio RFM.

[modifier] Revenir quand même

Contre toute attente, grâce au soutien du chanteur Étienne Daho, un nouvel album paraît en avril 1996 sous le label de Virgin. Sur les mélodies rock d’Alain Lubrano et de Rodolphe Burger, Le Danger confirme que sa plus grande source d’inspiration a été et sera toujours la souffrance et la douleur des sentiments.

Le 4 octobre 1997, Julien Clerc fête ses cinquante ans au Palais des sports. Invite quelques grands noms de la chanson française et réussit à la faire chanter sur scène avec lui. L’an 2000 voit la sortie de Clair-obscur. Son fils Thomas l'accompagne à la guitare sur quelques morceaux de cet album composé de duos et de reprises. La chanson Puisque vous partez en voyage[10] chantée en duo avec Jacques Dutronc, contribue à le propulser disque d’or. Aussitôt après, l'astrologue se substitue à la chanteuse pour se mettre à la rédaction d’un exposé sur l’astrologie. Les Rythmes du Zodiaque est dans les librairies à la fin mars 2003.

Quand l’artiste reprend le chemin des studios d’enregistrement, Thomas Dutronc fait à nouveau partie de l’aventure en tant que musicien et réalisateur de quelques titres. À l’automne 2004 le CD Tant de belles choses donne l’opportunité à Françoise de faire un come-back dans les pays voisins (plus particulièrement en Allemagne) et au Canada. Grâce à cet album, certifié disque d’or un mois après sa sortie, elle est distinguée comme artiste interprète féminine de l'année aux Victoires de la musique le 5 mars 2005[11].

Dans les médias, le mot « idole » est depuis longtemps tombé en désuétude. Celui d’« icône » l’a remplacé. Françoise Hardy est devenue une référence reconnue et une inspiratrice revendiquée, aussi bien en France qu’en Grande-Bretagne ou au Québec. Pour couronner une carrière d’auteur et d'interprète depuis plus de quarante ans, la chanteuse est reçue le 30 novembre 2006 sous la coupole de l’Institut de France pour lui remettre la Grande Médaille de la Chanson française, décernée par l'Académie française. À ce moment sort (Parenthèses...), album composé de duos où sont présents, entre autres invités, la chanteuse Maurane, la pianiste Hélène Grimaud, le chanteur Julio Iglesias, l’acteur Alain Delon. Cinq mois plus tard, il est certifié disque de platine.[12]

En 2007, Françoise Hardy s'attelle à la rédaction de ses mémoires.

[modifier] Discographie

Avertissements :
Listes des disques édités en France avec les dates de première édition
Les albums qui n’avaient pas de titre à l’origine, sont identifiés par celui du Compact Disc, suivi d’un astérisque.
Pour les quelques pressages étrangers retenus, le pays éditeur est indiqué.
Abréviations :
Disque microsillon 33 tours/30cm : Long Playing = LP
Disque microsillon 45 tours, 4 titres : Extended Playing = EP
Disque microsillon 45 tours, 2 titres : Single Playing = SP
Disque compact : Compact Disc = CD

[modifier] Albums

[modifier] Les années 60


[modifier] Les années 70


[modifier] Les années 80


[modifier] Les années 90

Mode d'emploi ? – Les Madeleines – La Beauté du diable – L'Obscur objet – Un peu d'eau – Zéro partout – Le Danger – Dix heures en été – Tout va bien – Contre-jour – Ici ou là ? – À sa merci – Regarde-toi.
1996 : CD (digipack) Virgin

[modifier] Les années 2000


[modifier] Longbox

Avertissement : De très nombreuses et diverses compilations ont été et sont encore éditées. Seules sont retenues celles qui font l’objet d’une présentation en Longbox.

  • Les Années Vogue 1962-1967
1999 : 3 CD (54 chansons, 28 pages) BMG
  • Messages personnels
2002 : 3 CD (74 chansons, 32 pages) Virgin

[modifier] Écrits pour d'autres chanteurs


[modifier] Participations


[modifier] Vidéographie

  • Le Temps des souvenirs
Discorama, interview télévisée du 21 avril 1963Tous les garçons et les filles – Mon amie la rose – Les Garçons, duo avec Jacques DutroncDes ronds dans l’eau – Ma jeunesse fout le camp…- Comment te dire adieu ? – Traüme – Même sous la pluie – Message personnel – Mode d’emploi ? – Un peu d’eau – Celui que tu veux, duo avec Olivier Ngog - …Si ça fait mal…, duo avec Alain Lubrano – Puisque vous partez en voyage, duo avec Jacques Dutronc.
2005 : DVD Virgin/EMI

[modifier] Télévision


[modifier] Cinéma


[modifier] Prix et distinctions

  • 1963 : Grand Prix du disque de l'Académie Charles-Cros et Trophée de la télévision pour son premier album.
  • 1968 : Représente la France au IIIème Festival International de la Chanson à Rio de Janeiro avec la chanson À quoi ça sert ? paroles et musique de Françoise Hardy.
  • 1982 : Prix Diamant de la chanson française pour l’album Quelqu'un qui s'en va.
  • 1991 : Victoire de la musique pour la chanson de l’année, Fais-moi une place, paroles de Françoise Hardy, musique de Julien Clerc.
  • 2000 : Grand Prix de la SACEM pour l’album Clair-obscur.
  • 2005 : Victoire de la musique de l'artiste interprète féminine de l'année pour l’album Tant de belles choses.
Précédée par Françoise Hardy Suivie par
Carla Bruni
Victoire de la musique de l'artiste interprète féminine
2005
Juliette

[modifier] Anecdotes

  • Bob Dylan fait figurer un de ses poèmes, For Françoise Hardy at the Seine’s Edge… au dos de la pochette de son album Another Side Of Bob Dylan, Columbia Records, en août 1964. Pendant le tournage du film Grand Prix, Françoise Hardy se rendit à Paris le 24 mai 1966 pour le voir en concert à l’Olympia. À l’entracte, Bob Dylan souhaita la rencontrer dans sa loge avant de remonter sur scène puis l’invita pour un tête-à-tête après le spectacle.
  • Jacques Prévert écrit le poème, Une plante verte, pour le programme de son deuxième passage à l’Olympia en octobre 1965. Jacques Prévert, Œuvres complètes, Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1992.
  • Françoise Hardy prête ses traits à une héroïne de Bande dessinée : Pravda la survireuse, dessin de Guy Peellaert, scénario et textes de Pascal Thomas et Guy Peellaert, éd. Éric Losfeld, 1968.
  • Une Parisienne, chanson inspirée par Françoise Hardy, écrite par Stan Cuesta, chantée par Bill Pritchard dans l’album By Paris By Taxi By Accident, AZ, 2005.
  • Françoise Hardy est l’une des muses du couturier Nicolas Ghesquière. Directeur artistique de la maison Balenciaga, il l’habille depuis le début des années 2000.
  • Le chanteur Renaud la cite dans la chanson Les Bobos, sur l’album Rouge sang, EMI, 2006.
  • Vendredi 25 mai 2007, 82 clichés d'artistes, pris par le photographe Jean-Marie Périer, ont été mis aux enchères à l’Hôtel Drouot, à Paris. La vente fait la part belle à Françoise Hardy et Mick Jagger. « Ce sont eux qui sont les plus demandés avec les Beatles », souligne Périer, 67 ans, pour qui « ces artistes représentent à eux deux la beauté et l'insolence ». Le clou de la vente aux enchères était un portrait de Françoise Hardy datant de janvier 1967 et jamais publié. Le tirage de 120x180 s'est envolé à 13.000 euros. Un autre portrait, en pied, de la chanteuse posant en minirobe à lamelles d’André Courrèges est parti à 4.500 euros alors qu'il était estimé entre 1.500 et 2.500 euros. (Associated Press)
  • La chanteuse Sharleen Spiteri lui rend hommage avec la chanson Françoise, sur l’album Melody, Sortie prévue, le 21 juillet 2008.

[modifier] Bibliographie :

[modifier] Biographies

  • Anonyme, Je chante donc je suis, coll. Voici ceux dont on parle, Union Générale d'Édition, 1964.
  • Étienne Daho et Jérôme Soligny, Françoise Hardy. Superstar et ermite, éd. Jacques Grancher, 1986.
  • Éric Dumont, Françoise Hardy. Notes secrètes, éd. Albin Michel, 1991.
  • Gilles Verlant, Françoise Hardy. Ma vie intérieure, Albin Michel, 2002.
  • Yann Plougastel, Hardy-Dutronc, éd. Flammarion, 2004.[26]
  • Catherine Rotulo, Françoise Hardy – Ses plus belles années, coll. Musique-Cinéma, éd. de La Martinière, 2007. (Album de photographies faites au cours des années 1970.)

[modifier] Écrits sur l'astrologie

  • Françoise Hardy et Béatrice Guénin, Le Grand livre de la Vierge, éd. Tchou, 1979.
  • Françoise Hardy et Anne-Marie Simond, Entre les lignes, entre les signes, éd. Radio Monte Carlo, 1986.
  • Françoise Hardy, L'Astrologie universelle, éd. Albin Michel, 1990.
  • Françoise Hardy, Les Rythmes du zodiaque, Éditions du Cherche-Midi, 2003.

[modifier] Notes

  1. Françoise Hardy est née sous le signe du Capricorne, ascendant Vierge.
  2. Devant les succès rencontrés par Richard Anthony et surtout Johnny Hallyday par le truchement des radios et de la télévision, les producteurs de disques, flairant l’essor de leur industrie, sont à la recherche de jeunes talents.
  3. On en parle également aux États-Unis où le magazine de mode, Vogue publie un reportage du photographe William Klein.
  4. Paco Rabanne lui « façonne » pour l'occasion une impressionnante combinaison métallique qui fait sensation. Il réitère quelque temps après à Paris : lors de l’inauguration d’une exposition internationale de diamants, il lui fait porter « la minirobe la plus chère du monde » faite de plaquettes d’or incrustées de diamants.
  5. Son choix est guidé par sa première expérience, faite cinq ans auparavant, où un concours de circonstances lui avait fait consulter un astrologue. Les révélations qu’il avait faites sur sa personnalité secrète l’avaient troublée et piqué sa curiosité.
  6. Jean-Pierre Nicola est étranger à tout horoscope ou prédiction et l’initie à une astrologie différente, plus cohérente, qui la passionne et qu’elle considère comme un complément intéressant à la psychologie.
  7. Best, n° 62, janvier 1982.
  8. La photo de la pochette a été faite par Serge Gainsbourg.
  9. Le disque compact (CD) a fait son apparition depuis 1983 et le disque vinyle lui cède progressivement la place.
  10. Puisque vous partez en voyage a été créée en 1936 par Mireille et Jean Sablon.
  11. La chanteuse se sépare de son trophée en avril 2006 au profit d’une vente aux enchères organisée par l'Association française et internationale de protection animale qui milite contre l'utilisation de la fourrure de chiens et de chats.
  12. Certification faîte par le Syndicat national de l'édition phonographique (SNEP).
  13. Reprise de la pochette éditée par « 4 corners », aux États-Unis en 1964
  14. Le CD contient 13 chansons, dont 7 en Italien issues du 33 t. (manquent : Oh oh cheri - Una ragazza come altre - Per tanto tempo), 5 chansons en Français : Dans le monde entier - Jaloux – On se quitte toujours – Pourtant tu m’aimes – Tu ne dis rien, 1 en anglais : Catch a Falling Star.
  15. Le CD contient les 13 chansons en Allemand du 33 t. et 14 chansons en Français dont Les Feuilles mortes de Jacques Prévert et Joseph Kosma.
  16. Le CD contient les 12 chansons en Anglais du 33 t. et 6 chansons supplémentaires : Catch a falling star - Find me a boy (Tous les garçons et les filles) - I wish it were me (J’aurais voulu) - I will change my life (Je changerais d’avis) - You just have to say the word (Tu n’as qu’un mot à dire) - So many friends (L’Amitié).
  17. La chanteuse crée sa propre société d’édition : Asparagus, mais reste distribuée par Vogue.
  18. Le CD contient les 13 chansons en anglais de l'album, One-nine-seven-zeroet les chansons en français de l'album Star (1977).
  19. Nouvelle société de production de la chanteuse.
  20. Avec une chanson supplémentaire : Je suis moi.
  21. Avec une chanson supplémentaire : Que vas-tu faire ?
  22. Avec 2 chansons supplémentaires : Avec toute ma sympathie - La vrai vie c'est où ?
  23. Enregistrement du concert donné, le samedi 4 octobre 1997 au Palais des Sports de Paris, pour fêter les 50 ans de Julien Clerc. « Le chanteur a réussi l'impossible : faire monter Françoise Hardy sur scène.» (Véronique Mortaigne, Le Monde, 7 octobre 1997)
  24. Adaptations anglaises de 14 chansons de Serge Gainsbourg par Boris Bergman.
  25. Il s'agit de la toute première apparition de la chanteuse sur un écran de télévision. Elle participera à d'autres émissions du Petit conservatoire.
  26. Biographie non autorisée.

[modifier] Liens externes


aa - ab - af - ak - als - am - an - ang - ar - arc - as - ast - av - ay - az - ba - bar - bat_smg - bcl - be - be_x_old - bg - bh - bi - bm - bn - bo - bpy - br - bs - bug - bxr - ca - cbk_zam - cdo - ce - ceb - ch - cho - chr - chy - co - cr - crh - cs - csb - cu - cv - cy - da - de - diq - dsb - dv - dz - ee - el - eml - en - eo - es - et - eu - ext - fa - ff - fi - fiu_vro - fj - fo - fr - frp - fur - fy - ga - gan - gd - gl - glk - gn - got - gu - gv - ha - hak - haw - he - hi - hif - ho - hr - hsb - ht - hu - hy - hz - ia - id - ie - ig - ii - ik - ilo - io - is - it - iu - ja - jbo - jv - ka - kaa - kab - kg - ki - kj - kk - kl - km - kn - ko - kr - ks - ksh - ku - kv - kw - ky - la - lad - lb - lbe - lg - li - lij - lmo - ln - lo - lt - lv - map_bms - mdf - mg - mh - mi - mk - ml - mn - mo - mr - mt - mus - my - myv - mzn - na - nah - nap - nds - nds_nl - ne - new - ng - nl - nn - no - nov - nrm - nv - ny - oc - om - or - os - pa - pag - pam - pap - pdc - pi - pih - pl - pms - ps - pt - qu - quality - rm - rmy - rn - ro - roa_rup - roa_tara - ru - rw - sa - sah - sc - scn - sco - sd - se - sg - sh - si - simple - sk - sl - sm - sn - so - sr - srn - ss - st - stq - su - sv - sw - szl - ta - te - tet - tg - th - ti - tk - tl - tlh - tn - to - tpi - tr - ts - tt - tum - tw - ty - udm - ug - uk - ur - uz - ve - vec - vi - vls - vo - wa - war - wo - wuu - xal - xh - yi - yo - za - zea - zh - zh_classical - zh_min_nan - zh_yue - zu -