Septième croisade
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Septième croisade | |
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Informations générales | |
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Date | 1248-1254 |
Lieu | Égypte |
Casus belli | Reprise de Jérusalem par les Kwârizmiens (1244) |
Issue | pas d'évolution territoriales |
Belligérants | |
Barons français | Ayyoubides d'Égypte |
Commandants | |
Louis IX, roi de France | Malik, sultan d'Égypte Tûrân Châh, sultan d'Égypte Al-Muizz Izz ad-Dîn Aybak, sultan mamelouk |
Notes | |
Croisades : Ire, IIe, IIIe, IVe, Ve, VIe, 1239, VIIe, VIIIe, IXe | |
Croisades d'Orient | |
Damiette - Mansourah - Fariskur |
La septième croisade est la première des deux croisades entreprises sous la direction de Louis IX de France (appelé plus tard « Saint Louis »). Décidée par le roi en 1244, elle quitte le royaume de France en 1248 et aborde l’Egypte en 1249. Vaincue par les maladies, l’armée ne retrouve sa liberté qu’en 1250, et Saint-Louis passe les quatre années suivantes à mettre le royaume de Jérusalem en état de se défendre contre les Mamelouks. La croisade prend fin en 1254 avec le retour de Saint Louis en France.
Sommaire |
[modifier] Contexte
En 1229, l’empereur Frédéric II, également roi de Jérusalem, avait réussi à obtenir le retour de la ville de Jérusalem au royaume de même nom après des négociations avec l’émir ayyoubide al-Kâmil [1]. Mais son islamophilie et sa politique brutale vis-à-vis de la noblesse d’Orient avait causé une guerre civile en Terre Sainte, entre ses partisans et ses ennemis. Après l’élimination des partisans de l’empereur (1243), l’anarchie féodale prévaut en Palestine[2]. A partir de 1241, des bandes de pillards musulmans, les Kwârizmiens, installés jusque là dans la région d’Edesse et pillant les campagnes syriennes, tant chrétiennes que musulmanes, en sont chassés par les princes ayyoubides de Syrie. Ils sont réduits à piller la Mésopotamie où ils risquent d’âtre anéantis par les Mongols, lorsque l’émir ayyoubide d’Egypte, menacé par la coalition des Ayyoubides de Syrie, leur offre assistance. Regroupés au nombre de dix mille, ils continuent les pillages et prennent également les villes chrétiennes de Tibériade et de Jérusalem (23 août 1244), puis battent une coalition des armées syriennes, tant franques que musulmanes à la Forbie (17 octobre 1244)[3].
Ayant appris ces nouvelles, le roi Louis IX de France, gravement malade en décembre 1244, fait le vœu de partir en Croisade s’il guérit[4]. Contrairement aux précédentes croisades, cette septième croisade est exclusivement composée de nobles de royaume de France. D’ailleurs cette entreprise n’est pas vue d’un bon œil par d’autres membres de la chrétienté : l’islamophile Frédric II envoie une ambassade secrète pour avertir le sultan d’Égypte, et la république de Venise, important partenaire commercial de l’Égypte, craint qu’un débarquement n’entraîne la rupture des contrats commerciaux[5].
[modifier] Déroulement
[modifier] Embarquement et hivernage à Chypre
Dès 1247, Louis IX envoie à Chypre une équipe de fournisseur chargé d’organiser l’intendance et la ravitaillement de la future expédition. Afin de disposer d’un port situé sur le domaine royal, Louis IX ordonne la construction de la ville d’Aigues-Mortes. C’est de ce port qu’il embarque le 25 août 1248, avec une grande partie de la noblesse française. La flotte débarque à Limassol le 17 septembre 1248 où elle est reçue par le roi Henri Ier et s’apprête à hiverner dans l’île. Cet hivernage va permettre aux chefs de la croisade de préparer leur stratégie pour la croisade. Une précédente croisade, celle de Thibaut IV de Champagne en 1239, avait montré qu’il n’est pas envisageable de marcher directement sur Jérusalem, aussi les croisés décident de débarquer en Égypte pour y prendre des villes et les échanger contre Jérusalem[6].
L’époque est favorable pour les croisés. L’empire ayyoubide de Saladin est divisé entre le sultan d’Égypte, l’émir de Damas et celui d’Alep, qui se font la guerre. Malik al-Salih Ayyoub, sultan d’Egypte assiège Alep, et les émirs syriens, cherchent à négocier l’alliance des croisés contre leur cousin. Mais Saint-Louis, pas encore au fait de la politique d’Orient, ne veut pas s’allier à des musulmans et les éconduits[7].
Le printemps 1249 arrivent, mais la ville de Saint-Jean-d’Acre, qui doit livrer les navires pour transporter l’armée en Egypte, est déchiré à la in de mars 1249entre les Pisans et les Génois qui se livrent à des combats de rue. Louis IX doit intervenir pour négocier la paix. L’escadre arrive à Limassol le 13 mai, mais peu après le départ, une tempête la disperse le 30 mai. Les premiers navires arrivent en vue de Damiette le 4 mai [8].
[modifier] La campagne en Égypte
Les huit mois d’hivernage à Chypre avaient permis au sultan Malik al-Salih Ayyoub de se préparer à l’invasion, mais il se trouve au mois de mai à Damas, ne sachant pas si le débarquement doit se faire en Egypte ou en Syrie. Gravement malade, il rentre en Egypte et confie l’armée à l’émir Fakhr al-Dîn Ibn al-Sheikh qu’il envoie à Damiette pour s’opposer au débarquement. Le 5 mai, les croisés débarquent, sous les charges successives des soldats musulmans, et réussissent à mettre le pied sur le rivage, puis à repousser l’armée ayyoubide. Plusieurs émirs sont tués et Fakhr al-Din décide d’abandonner la plage. Il se replie sur Damiette, mais n’ose pas y rester et se réfugie à Ashmûn-Tannâh, plus au sud. Pris de panique, les habitants de Damiette évacuent leur ville pour fuir dans le delta. Les croisés peuvent entrer dans Damiette, avec prudence car ils craignent un piège, et s’emparer de la ville[9].
L’armée se met alors à attendre l’arrivée du reste de la flotte, dispersée par la tempête. Lorsqu’elle est enfin réunie, il est trop tard pour marcher sur Mansourah et le Caire, car la crue du Nil a commencé et les croisés doivent attendre la fin de la crue, en octobre 1249. Ce délai laisse le temps aux Egyptiens de se ressaisir, et ils pratiquent une guérilla contre le camp des Francs[10]. Alphonse de France, comte de Poitiers et frère du roi arrive le 24 octobre, en même temps que la décrue du Nil. Le conseil du roi se met alors à choisir le prochain objectif, entre Alexandrie et le Caire. Une majorité de nobles se prononcent pour Alexandrie, qui présente l’avantage d’être un port et de renforcer les liaisons avec l’Occident, mais Robert Ier, comte d’Artois et frère du roi, les convainc de marcher sur le Caire et fait échouer les négociations avec le sultan qui propose d’échanger Damiette contre les villes d’Ascalon, de Jérusalem et de Tibériade[11].
Le sultan Malik al-Salih Ayyoub, au dernier stade de la maladie, meurt le 23 novembre 1249. Sa veuve, Shajar al-Durr, mère de l’héritier al-Mu’azzam Tûrân-shâh, prend le pouvoir et fait tenir secrète la nouvelle de sa mort, craignant que les Francs n’en profitent ou que les Mamelouks ne se révoltent[12].
L’armée prend le chemin du Caire le 20 novembre 1249. L’émir Fakhr al-Dîn organise de nombreuses escarmouches pour harceler les croisés. Le 7 décembre 1249, six cents cavaliers musulmans attaquent les Francs entre Fâriskûr et Sharimsâh. Ils sont repoussés, mais malgré l’interdiction de Saint-Louis de se lancer à la poursuite des soldats qui battent retraite, les Templiers voulant venger l’un des leurs le font et tuent une la moitié des assaillants. Le 21 décembre, l’armée arrive à proximité de Mansura et installe un camp, régulièrement attaqué par les musulmans. Pour attaquer la ville, il faut franchir un bras du Nil, le Bahr al-Saghîr, mais Fakhr al-Dîn tient fermement l’autre rive. Ayant appris d’un déserteur Bédouin l’existence d’un gué à Salamûn, quelques kilomètres en aval, Saint-Louis et son armée traverse le Bahr al-Saghîr le 8 février 1250. Le comte d’Artois est l’un des premiers à mettre le pied sur l’autre rive et, malgré les conseils de prudence des Templiers, se met à charger le camp musulman, suivi par les Templiers qui ne peuvent l’abandonner. Le camp est investit, Fakhr al-Dîn tué et l’armée en déroute. Mais, au lieu de faire acte de sagesse et d’attendre l’arrivée du reste de l’armée royale, Robert d’Artois se met en tête d’investir Mansura. Il s’engage dans les rues de la ville et se rue vers la forteresse, toujours suivi des Templiers qui avaient tenté de le raisonner ; malheureusement pour eux, les musulmans s’étaient regroupés autour d’un chef mamelouk, un certain Baybars, qui organise la contre attaque. Toute l’avant-garde est massacrée ce jour là[13].
Les Mamelouks, ayant défait l’avant-garde, charge maintenant l’armée croisée, qui achève la traversée du gué. Le régiment d’arbalétriers, seul capable de s’opposer aux archers, et l’infanterie n’ont pas encore traversé la rivière qu est malgré tout profonde pour ses soldats à pied. Pour éviter l’anéantissement de sa cavalerie, Louis IX lui ordonne de charger les Mamelouks. Il reprend pour peu de temps l’avantage, mais subit de nouveau les assauts musulmans. Heureusement, ce délai permet aux arbalétriers de jeter un pont de fortune, de franchir le gué, et de repousser la cavalerie mamelouk[14].
Saint Louis fait doubler le pont, et l’infanterie traverse à son tour le Bahr al-Saghîr. Le 11 février, l’armée musulmane attaque de nouveau l’armée franque et est repoussée après une bataille très rude. Mais le vent tourne pour les croisés. L'accumulation des morts entraîne des épidémies, et le nouveau sultan, Tûrân Châh, qui se trouvait en Mésopotamie à la mort de son père, arrive à Mansura le 28 février et organise la défense. Il fait venir des bateaux qui repoussent la flotte croisée sur le Nil. En plus des épidémies, c'est la disette qui frappe l'armée croisée, et Louis IX se résout à battre retraite le 5 avril[15].
L’avant-garde de l’armée arrive à Fâriskûr, son arrière garde est à Shâramsâh avec le roi, lequel est gravement malade et doit se réfugier dans une maison de la bourgade, défendue par Gaucher de Châtillon, tué peu après. Les barons syriens, avec Philippe de Montfort à leur tête, décident de parlementer avec les chefs musulmans pour négocier l’échange de Damiette contre la vie sauve des soldats croisés, mais un sergent du nom de Marcel, circonvenu par des émirs, trahit : il se présente auprès des barons syriens comme un envoyé de Louis IX et les incite à se rendre au nom du roi (6 avril 1250). Embarrassé par le nombre de prisonniers, les musulmans massacrent les blessés, mais un accord est conclu entre Tûrân Shah et Louis IX, échangeant la vie sauve et la liberté de l’armée croisée contre Damiette et une rançon de 500 000 livres tournois[16].
C’est alors qu’un évènement vient remettre en cause ces accords : le précédent sultan était peu apprécié de son peuple et de ses soldats mamelouks et son fils est un peu connu et passe pour être incapable. La colère gronde et les officiers mamelouks tuent Tûrân Châh le 2 mai 1250 après l’avoir poursuivi toute la journée et prennent le pouvoir en Egypte. Après avoir hésité à égorger tous les prisonniers, les Mamelouks décident de reprendre à leur compte l’accord de libération des prisonniers. Fort heureusement, et malgré l’accouchement de Jean Tristan, la reine Marguerite de Provence avait réussi à conserver Damiette. Pour la rançon, Saint-Louis demande une avance aux Templiers, et devant le refus de ces derniers doit envoyer le sénéchal de Joinville sur les nefs templières pour prendre l’argent de force. Libéré, Louis IX quitte l’Egypte le 8 mai et aborde à Saint-Jean-d’Acre le 13[17].
[modifier] Saint-Louis en Terre Sainte
Malgré son échec, Louis IX est reçu allégrement par les chrétiens d’Orient. Il est vrai qu’il se soucie du sort du royaume et ne compte pas renter en Europe aussitôt après avoir rempli l’obligation de combattre contre les musulmans. Sans sa présence, les chrétiens de Syrie ne peuvent compter que sur la protection de leur roi Conrad II, fils l’empereur Frédéric II, qui reste au loin en Germanie et qui est ouvertement islamophile et allié de l’Egypte. La présence de Saint-Louis représente un espoir non négligeable face aux Mamelouks, beaucoup plus fanatiques que leurs prédécesseurs Ayyoubides[18].
Aussi, malgré la demande de la régente Blanche de Castille, qui souhaite revoir son fils et lui rendre les destinées du royaume de France, malgré le conseil de nombreux barons qui veulent rentrer, Louis IX décide d’entamer en Syrie un séjour qui va durer quatre ans. Bien que les droits à la couronne soient détenus par les Hohenstaufen, Louis IX est considéré comme le souverain du royaume pendant son séjour[19].
Le royaume de Jérusalem se trouve momentanément en paix, car Al-Nasir Youssouf, émir ayyoubide d’Alep, n’accepte pas la prise de pouvoir des Mamelouks en Egypte, s’empare de Damas qui rejette la domination mamelouk, puis de Gaza et revendique le sultanat d’Egypte. Il envahit l’Egypte, mais est battu à ’Abbâsa le 2 février 1251. Pour le roi Louis IX, la question de pose de savoir à qui s’allier. Les ayyoubides lui envoient une ambassade qui se montre très intéressante, car avec Damas ils ont repris le contrôle de Jérusalem qu’il propose de céder, mais le roi ne peut pas conclure ouvertement une alliance, car les Mamelouks retiennent encore de nombreux prisonniers croisés qui pourraient alors être exécutés. La situation permet au roi d’envoyer un ultimatum à l’Egypte et d’obtenir la libération des prisonniers sur la simple promesse de ne pas s’allier aux ayyoubides. Finalement, entre l’ayyoubide qui tient Jérusalem et qui commence à faire preuve d’incapacité[20] et les mamelouks qui promettent la rétrocession de Jérusalem quand il auraient reconquis l’émirat de Damas, Louis IX choisit de s’allier aux Mamelouks en mars 1252. Mais la guerre entre les Mamelouks et les Ayyoubides inquiètent les dirigeants musulmans qui craignent un affaiblissement des leurs en Syrie face aux Francs, et Al-Musta'sim, calife de Bagdad, intervient et impose la paix entre les deux ennemis, réduisant à néant les espoirs de Saint Louis de récupérer Jérusalem[21].
Mais l’œuvre de Louis IX en Terre Sainte ne s’arrête pas à cette politique extérieure. Dès son arrivée en Terre Sainte, il décide de renforcer les défenses ce de qui reste du royaume de Jérusalem. Il renforce les fortifications de Jaffa, Saint-Jean-d'Acre, Césarée, Sidon. Ces actions montrent rapidement leur bien fondé car peu après la paix entre les Mamelouks et les Ayyoubides, une troupe de Bédouins en garnison à Gaza pour le comte de l’émir de Damas évacuent la ville conformément aux traités et repartent vers le nord en passant à côté de Jaffa. Quelques escarmouches les opposent aux arbalétriers chrétiens, mais si le bourg n’avait pas été fortifié, il aurait probablement été pillé et saccagé, car ils pillèrent quelques villages avant d’assiéger en vain Saint-Jean-d’Acre, puis de piller la ville basse de Sidon dont les fortifications n’étaient pas achevées. En représailles, les chrétiens tentent de prendre Panéas, mais échouent[22].
Il doit cependant renforcer l’autorité royale dans un royaume qui a appris à se passer d’un roi depuis vingt ans et met au pas les ordres militaires (Temple et Saint-Jean de l’Hospital) qui se considèrent comme quasiment indépendants. Il intervient également dans les affaires de la principauté d'Antioche, écarte Lucienne de Segni qui ne veut pas mettre fin à la régence et confirme Bohémond VI comme prince, et négocie un traité qui met fin entre l'antagonisme entre la Petite-Arménie et Antioche[23].
Pour contrer la paix et l’alliance entre les mamelouks et les ayyoubides, il amorce un rapprochement avec les Ismaëliens et envoie une ambassade auprès du khan mongol de Perse. Cette action n’aboutit pas, car Louis IX est déjà reparti en France au retour de l’ambassade, mais cette démarche est à la base de l’alliance entre les khans mongols, le royaume de Petite-Arménie et la principauté d’Antioche dans la décennie qui suit[24].
[modifier] Retour
Blanche de Castille, à qui Louis IX avait confié le royaume avant de partir en croisade, meurt le 27 novembre 1252. Le roi ne peut différer son départ, car son royaume se retrouve sans régence, et il embarque de Saint-Jean-d’Acre le 24 avril 1254. Il laisse derrière lui Geoffroy de Sargines, qui est nommé sénéchal du royaume, assisté d’une centaine de chevaliers et d’une centaine de sergents[25]..
De retour en France, il se préoccupe du sort des chevaliers blessés, en particulier des aveugles, pour qui il fonde, à Paris, un hôpital spécialisé : l'Hôpital des Quinze-Vingts.
[modifier] Bilan de la croisade
Même si la huitième croisade n’a pas atteint le résultat escompté elle n’est pas sans conséquence pour les états latins d’Orient, ni sans importance. L’échec de la campagne d’Egypte est à imputer à l’inexpérience des Croisés en matière de politique orientale. Une fois en Terre Sainte, l’action de Saint-Louis a été déterminante pour la survie du royaume. Il a apporté une stabilité à ce royaume qui se passait de roi depuis vingt ans et était déchiré par l’anarchie féodale. Face au nouveau danger mamelouk, il a renforcé les défenses des places fortes chrétiennes et a amorcé une politique d’alliance, qui aurait pu porter ses fruits si elle avait été suivie.
Mais, bien qu’il ait laissé un représentant derrière lui après son départ, le royaume retombe rapidement dans l’anarchie, et le conseil des barons est incapable de s’entendre pour négocier une alliance avec les Mongols, lors de leur invasion de 1260[26]. L’anarchie sera telle que lors de l’extinction de la dynastie des Hohenstaufen, le nouveau roi Hugues III de Chypre ne parviendra pas à s’imposer dans le royaume[27].
[modifier] Notes et références
- ↑ (Grousset 1936, p. 328-9).
- ↑ (Grousset 1936, p. 345-364).
- ↑ (Grousset 1936, p. 415-428).
- ↑ (Grousset 1936, p. 436).
- ↑ (Grousset 1936, p. 437-8).
- ↑ (Grousset 1936, p. 440-2).
- ↑ (Grousset 1936, p. 442-5).
- ↑ (Grousset 1936, p. 445-7).
- ↑ (Grousset 1936, p. 447-453).
- ↑ Louis IX avait installé les femmes et les blessés dans la ville, mais la chevalerie s’y trouvant trop à l’étroit, il l’avait installé dans un camp sur l’autre rive.
- ↑ (Grousset 1936, p. 453-456).
- ↑ (Grousset 1936, p. 457).
- ↑ (Grousset 1936, p. 458-472).
- ↑ (Grousset 1936, p. 472-9).
- ↑ (Grousset 1936, p. 479-486).
- ↑ (Grousset 1936, p. 484-490).
- ↑ (Grousset 1936, p. 490-7).
- ↑ (Grousset 1936, p. 498-9).
- ↑ (Grousset 1936, p. 499-501).
- ↑ C’est sa lâcheté qui a provoqué la défaite d’Abbâsa, alors que les soldats ayyoubides dominaient au début de la bataille.
- ↑ (Grousset 1936, p. 502-509).
- ↑ (Grousset 1936, p. 509-513).
- ↑ (Grousset 1936, p. 513-9).
- ↑ (Grousset 1936, p. 519-528).
- ↑ (Grousset 1936, p. 534-5).
- ↑ (Grousset 1936, p. 531-3).
- ↑ (Grousset 1936, p. 638-652).
[modifier] Annexes
[modifier] Bibliographie
- René Grousset, Histoire des croisades et du royaume franc de Jérusalem - III. 1188-1291 L'anarchie franque, 1936 [détail des éditions]
- « Septième croisade », dans Marie-Nicolas Bouillet et Alexis Chassang (dir.), Dictionnaire universel d'histoire et de géographie, 1878 [détail des éditions] (Wikisource)
[modifier] Les participants de la croisade
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