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Sainte-Marguerite-d'Elle est une commune française, située dans le département du Calvados et la région Basse-Normandie.
Sainte-Marguerite-d'Elle est limitrophe de :
[modifier] Voies de communication
La commune est desservie par la route départementale 6 allant vers Saint-Lô, la D211 vers Isigny-sur-Mer et la D15 vers le Le Molay-Littry. Elle est également desservie par la ligne ferroviaire de Paris à Cherbourg grâce à la gare de Lison qui est limitrophe.
Aucun cours d'eau important de passe à Sainte-Marguerite-d'Elle. Seule l'Elle passe à proximité, ce qui a donné son nom à la commune.
- Balençon
- Baynes
- La Blanchinière
- Le Bourg
- La Commune
- La Fotelaie
- La Haye Piquenot
- La Hoderie (enclavée dans Lison)
- Le Moulin l'Évêque
- Le Pont de la pierre
- Quartier de la gare
- La rue de l'Église anciennement Cour des quatre Nations
- Les Vignettes
[modifier] Toponymie et étymologie
Le nom de la commune provient d'une part du nom de la paroisse, et d'autre part de la proximité de l'Elle pour la différencier des communues autrement homonymes. Elle prit les noms successifs de l’Épiney-Tesson en 1793, l’Épinay-Tesson en 1801, Cartigny-Tesson en 1826 (à cause de sa proximité avec Cartigny-l'Épinay) et reçut son nom actuel en 1846.
Elle englobe la commune de Baynes depuis 1965, laquelle avait déjà englobé les communes de Notre-Dame-de-Blagny, la Haye-Piquenot et Rieu en 1831.
[modifier] Administration
Liste des maires successifs |
Période |
Identité |
Parti |
Qualité |
1995 |
actuel |
André Levillain |
SE |
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Bernard Desmeules |
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Ruffin Giard |
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André Barnage |
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Maurice le François |
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Aymar Lefrançois |
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Toutes les données ne sont pas encore connues. |
[modifier] Services administratifs
- Hôtel de ville
- Bureau de poste
Évolution démographique
(Source : Cassini[1] et INSEE[2] ")
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Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)
[modifier] Centres commerciaux et industries
- La laiterie Gervais (fermée depuis son transfert au Molay Littry)
- Usine Isicrem (c'est là qu'étaient fabriqués les Caramels d'Isigny), rachetée ensuite par Mali, puis par Agrolis toujours en activité
- Une quincaillerie
- Une tuilerie (détruite lors des bombardements de la seconde Guerre mondiale)
[modifier] Culture et sport
- Écoles primaires : une dans le bourg et le groupe inter-communal dans le quartier de la gare.
- Un cinéma construit grâce à l'abbé Villain, aujourd'hui fermé
[modifier] Vue d'ensemble
Le tissu de la commune est assez lâche. On trouve plusieurs noyaux habités séparés par des distances importantes, pouvant facilement atteindre le kilomètre, ces espaces étant occupés par des terrains d'exploitation agricole. Les noyaux principaux se situent au bourg et à Baynes, les autres consistant en des maisons bâties le long des routes.
[modifier] Constructions traditionnelles
La maison traditionnelle existe en deux déclinaisons compatibles entre elles, car les genres peuvent se mélanger.
- La maison bâtie en pierre : la pierre est assez rouge et présentée sous la forme de moëllons plus ou moins aplatis. L'église du bourg est un bon exemple de ce genre de construction.
- La maison en argile, reprenant la technique du torchis. La base reste cependant en pierre. La brique et la tuile peuvent compléter l'édifice.
[modifier] L'immobilier aujourd’hui
La cité de l'Europe est le premier exemple de véritable urbanisme (social) à Sainte-Marguerite-d'Elle, se présentant sous la forme de maisons individuelles construites en parpaings ou béton. Depuis les années 2000, l'orientation des parcelles de terrain change progressivement : les pièces de terre à proximité du bourg sont vendues non plus à but d'exploitation, mais à but de construction, les pavillons modernes se faisant de plus en plus nombreux. Par ailleurs, des logements sociaux ont été bâtis dans le quartier de la gare.
L’église du bourg de Sainte-Marguerite-d’Elle vue depuis le cimetière.
La chapelle Notre-Dame de la Route à Sainte-Marguerite-d'Elle.
[modifier] Lieux et monuments
- L'église Sainte-Marguerite, dans le bourg.
- La chapelle Notre-Dame de la Route, à la périphérie de la commune, consacrée le 23 novembre 1953 et bâtie grâce au dévouement de l'abbé Villain (curé de la commune de 1943 à 1954) qui organisa des kermesses, vendit des papiers et des chiffons pour récolter des fonds et aux cotisations des fidèles. Elle remplaça une chapelle en bois et tôles construite par les troupes américaines lors du Débarquement en 1944.
- L'église de Baynes
[modifier] Personnalités liées à la commune
[modifier] Démographie de Baynes
Évolution démographique
(Source : Cassini[7])
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[modifier] Démographie de Notre-Dame de Blagny
Évolution démographique
(Source : Cassini[8])
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Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)
[modifier] Démographie de la Haye-Piquenot
Évolution démographique
(Source : Cassini[9])
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Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)
[modifier] Démographie de Rieu
Évolution démographique
(Source : Cassini[10])
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Histogramme
(élaboration graphique par Wikipédia)
[modifier] Articles connexes
- Marcel Levéel "19 ans en 1944", Rails et haies (La double bataille du pays d'Elle et de Lison), les Éditions et rééditions du patrimoine normand, collection Inédits et introuvables, 2004, Marigny
- Simone Lemière, "La guerre", journal intime d'une jeune femme normande entre 1939 et 1945
[modifier] Liens externes
[modifier] Notes et références