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Saint-Jérôme - Wikipédia

Saint-Jérôme

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Pour les articles homonymes, voir Saint Jérôme.

45° 47′ 00″ N 74° 00′ 00″ W / 45.783338, -74.000005

Saint-Jérôme

la cathédrale de Saint-Jérôme, centre-ville, (Québec Canada)
la cathédrale de Saint-Jérôme, centre-ville, (Québec Canada)

   
Détail
Administration
Pays
Province
Canada Canada
Québec Québec
Région Laurentides
Comté ou équivalent La Rivière-du-Nord
Statut municipal Ville
Arrondissements {{{arrond}}}
Fondateur
Date de fondation
{{{fond}}}
{{{datefond}}}
Constitution 1er janvier 2002
Maire
Mandat en cours
Marc Gascon
2005 - 2009
[ Site officiel de Saint-Jérôme]
Démographie
Population 63 892 hab. (2006)
Densité 715 hab./km2
Gentilé Jérômien, ienne
Langue(s) officielle(s) {{{lang}}}
Géographie
Altitudes minimale : {{{mini}}} m.
maximale : {{{maxi}}} m.
Superficie 89,37 km2
Fuseau horaire UTC{{{fuse}}}
Indicatif {{{tel}}}
Code géographique 24 75017
Latitude
Longitude
45° 47′ 00″ Nord
         74° 00′ 00″ Ouest
/ 45.783338, -74.000005
Localisation de Saint-Jérôme
Lieux d’intérêts
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Saint-Jérôme est une ville canadienne de la province de Québec, à environ 45 km au nord-ouest de Montréal le long de l'autoroute des Laurentides. Elle est le chef-lieu de la région administrative des Laurentides et de la municipalité régionale de comté de La Rivière-du-Nord. C'est dans cette ville que l'on trouve le Cégep de Saint-Jérôme, un des nombreux cégeps du Québec et aussi la Polyvalente St-Jérôme, école secondaire réunissant le plus grand nombre d'élèves au Québec. Ses habitants sont les Jérômiens. Depuis 2007, on y trouve également le Centre d'études universitaires des Laurentides de l'Université du Québec en Outaouais.

C.S.S.S. de Saint-Jérôme, (Québec Canada)
C.S.S.S. de Saint-Jérôme, (Québec Canada)

Sommaire

[modifier] Secteurs

Saint-Jérôme a été fondée le 1er janvier 2002 lors des réorganisations municipales québécoises. La nouvelle ville de Saint-Jérôme est alors le résultat d'une fusion des anciennes villes de Bellefeuille, Lafontaine, Saint-Jérôme et Saint-Antoine-des-Laurentides, lesquelles sont par la suite devenues des secteurs jusqu'à une nouvelle définition des limites de ceux-ci.

  • Saint-Jérôme (24 583)
  • Bellefeuille (14 066)
  • Saint-Antoine-des-Laurentides (11 488)
  • Lafontaine (9 477)
Statue du curé Labelle
Statue du curé Labelle
Statue du curé Labelle en face de la cathédrale
Statue du curé Labelle en face de la cathédrale

[modifier] Histoire

Le territoire où se trouve aujourd'hui la Ville de Saint-Jérôme a été concédé en 1752 par le marquis de la Jonquière, alors gouverneur de la Nouvelle-France, sous le nom d'Augmentation de la seigneurie des Mille-Iles. Entre le début des années 1760 et le début des années 1840, la seigneurie a appartenu aux familles Dumont de Lefebvre de Bellefeuille, résidant à Saint-Eustache, 25 km plus au sud. Ces familles ont concédé des terres à des colons venus principalement de la région nord de Montréal. L'embryon de village portait alors le nom de Dumontville. La paroisse catholique de Saint-Jérôme a été constituée le 15 novembre 1834 et la municipalité du village de Saint-Jérôme a vu le jour le 1er juillet 1845 par décret du gouverneur Metcalfe.[1]

Le curé Labelle François-Xavier-Antoine Labelle,le grand colonisateur du Nord de Montréal, a été en charge de l'administration pastorale de Saint-Jérôme de 1868 jusqu'à son décès, en 1891. Huit ans après son arrivée, il avait réussi l'énorme entreprise de la construction d'un chemin de fer unissant Saint-Jérôme à Montréal.

Antoine Labelle fut curé de Saint-Jérôme pendant 22 ans, de 1868 jusqu’à sa mort, à l’âge de 57 ans, survenus le 4 janvier 1891. On l’a surnommé « le roi du Nord, l’apôtre de la colonisation », et il passe dans l’histoire comme un géant de légende.

L’ouverture de routes et l’arrivée d’un chemin de fer devenaient essentielles au développement des petites communautés. Ces voies de communication pour la circulation des biens et des personnes assureraient l’établissement du commerce et de l’industrie.

Le curé Labelle se fit l’ardent promoteur de l’idée d’un chemin de fer vers le Nord dès 1869, mais il ne vit apparaître la première locomotive à Saint-Jérôme qu’en 1876, et cela en partie à cause du besoin en bois de chauffage et de construction de grands centres urbains comme Montréal et Québec

[modifier] Origines du nom

Deux hypothèses sont avancées quant à l'origine du nom de la ville. La plus répandue est celle selon laquelle la ville porte le nom de saint Jérôme, Jérôme de Stridon, en latin Eusebius Sophronius Hieronymus, surtout connu pour sa traduction de la Bible en latin, la Vulgate. Né en Dalmatie (actuelle Croatie) en 341 et mort à Bethléem en 420, on raconte qu’il apprivoisa un lion qui l’accompagnait ensuite partout où il allait. Considéré comme un père de l'Église par les chrétiens et reconnu docteur de l’Église pour lui avoir donné la Vulgate (première traduction intégrale des Saintes Écritures en latin), saint Jérôme fut souvent représenté tenant la crosse d’un cardinal et accompagnée d’un lion. Ces symboles se retrouvent aujourd'hui sur les armoiries officielles de la ville.

L'autre hypothèse évoque un des premiers résidents de la région, mais son histoire est très peu certaine.

[modifier] Armoiries de la ville

[modifier] Description

Les armoiries de la Ville de Saint-Jérôme sont d’azur chapé d’argent, à dextre un iris pourpre (du Québec), à senestre un pin de sinople tronqué de sable, et en cœur un lion d’or tenant une crosse du même armé et lampassé de gueules ; elles sont soutenues de tressés d’épis de blé et de feuilles d’érable pour évoquer le curé Labelle (ces éléments figuraient dans ses armoiries), et timbrées d’une couronne muraillée des trois tours caractéristiques des villes dominantes d’une région, telles que proposées par la Société héraldique du Canada, pour indiquer son statut de capitale régionale. Elles ont été conçues et réalisées par Gleason Théberge et Ginette Robitaille, et adoptées en 1999 sous la mairie de Marc Gascon.

[modifier] La symbolique principale

Les armoiries de Saint-Jérôme évoquent principalement les divers niveaux d’appartenance de sa population à des territoires. Le Québec, qui possédait depuis 1963 un emblème floral identifié comme une fleur de lis, est ici évoqué par l’iris versicolore. En adoptant la Loi 49, le gouvernement du Québec mettait fin à la controverse et proclamait que l’iris versicolore devenait l’emblème floral officiel du Québec. L’utilisation de ce nouvel emblème sur les armoiries de Saint-Jérôme constitue probablement une première. Les Laurentides sont parmi les quelques régions du Québec à s’être dotées d’armoiries officielles. À Saint-Jérôme, c’est le Conseil régional de développement qui, en avril 1998, a fait le choix d’utiliser sur un fond évoquant le drapeau québécois et ses quatre cantons d’azur (bleu) un pin blanc stylisé évoquant l’essence de bois jadis la plus répandue et encore très présente sur le territoire. La Ville elle-même, au centre de l’écu, est évoquée par un lion tenant une crosse épiscopale or sur fond azur. Ces éléments évoquent le patron même de la ville, saint Jérôme.

Le lion est également associé à la vigueur, au courage et à l’esprit d’initiative, valeurs dont Saint-Jérôme est pourvue, comme en témoigne son statut de ville centre. La crosse épiscopale rappelle de plus le diocèse, dont l’évêché et sa cathédrale sont à Saint-Jérôme, grâce aux efforts du curé Antoine Labelle, que certains surnommaient le roi du Nord. On notera d’ailleurs que c’est ce personnage que désignent les feuilles d’érable et le blé qui soutiennent l’écu, puisque telles étaient les armoiries qu’il s’était choisies quand il fut désigné protonotaire apostolique, en 1889.

[modifier] Autres aspects des armoiries

On peut aussi aisément identifier dans la dominance azur des armoiries de Saint-Jérôme une évocation de l’eau, cette rivière du Nord qui la traverse et qui lui donna autrefois ses premières ressources. On peut également voir dans l’or du lion la lumière de l’été, l’automne dans le pourpre de l’iris, le printemps dans le vert du pin et l’hiver dans l’argent du fond des deux pointes. Des tressés d’épis de blé et de feuilles d’érable figuraient dans les armoiries du curé Labelle. Enfin, la devise « Par notre volonté » est l’affirmation par les citoyens de leur foi en leurs capacités et de leur détermination à façonner leur histoire.

Source: Site officiel de la ville de Saint-Jérôme

[modifier] Transports

La gare intermodale Saint-Jérôme d'autobus et de train est située à 455, boul. Jean-Baptiste-Rolland E., à Saint-Jérôme, entre les rues Wilfrid et Latour. En plus de donner accès aux autobus naviguant à l'intérieur de Saint-Jérôme, la gare permet une liaison ferroviaire et par autocar avec Montréal et les villes des basses Laurentides. Des autocars vers Mont-Tremblant et l'Abitibi-Témiscamingue y font aussi escale.

[modifier] Sports

Saint-Jérôme a accueilli les Jeux du Québec durant l'hiver 1987, lesquels lui a permis, entre autres, d'ajouter des estrades aux plateaux du centre récréatif d'éducation physique et des sports (CREPS) à la polyvalente Saint-Jérôme, aujourd'hui le plus grand centre sportif de la ville. En avril 2007, Saint-Jérôme a reçu le championnat de la coupe Fred Page (finale du hockey junior de l'est du Canada), lequel réunit le champion des provinces maritimes, du Québec et de l'Ontario, en plus de l'équipe hôtesse.

[modifier] Les Panthères de Saint-Jérôme

L’équipe de toute une région a vu le jour en 1990-1991 alors que la région de Laval Laurentides accueillait cette concession. Depuis, les Panthères ont d'abord évolué à Saint-Antoine avant de déménager à l’aréna Melançon (Saint-Jérôme), sur la rue du même nom, où elles évoluent aujourd'hui.

[modifier] Les Cheminots de Saint-Jérôme

Les équipes sportives du cégep de Saint-Jérôme, dénommées les Cheminots, font partie de l'élite du sport collégial au Québec. Particulièrement, l'équipe de hockey féminin de calibre AA a dominé la ligue en étant déclarée championne en 2003, 2004, 2005 et 2006, avant de s'incliner en 2007 par un point devant Dawson. Elle a en plus remporté à deux reprises, pendant cette période, le Polar Bear Tournament, tournoi international disputé au Connecticut, États-Unis.

[modifier] Jérômiens célèbres


[modifier] Évêché


[modifier] Municipalités limitrophes

Sainte-Anne-des-Lacs Prévost
Mille-Isles N Sainte-Sophie
O    Saint-Jérôme    E
S
Saint-Colomban Mirabel
Enclave:

[modifier] Notes et références

  1. Auclair, Elie-J., Saint-Jérôme de Terrebonne, Imprimerie J.H.A. Labelle, 1934, pages 13-35.

[modifier] Sources

[modifier] Liens externes



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