Discuter:Microprocesseur
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Toute la partie sur la fabrication ne concerne pas les microprocesseurs en particulier, mais tous les circuits intégrés.
IMHO il faut remanier cette page pour vraiment expliquer ce qu'est un uP, et lancer une autre fiche sur la fabrication des CI.
Niarlotep 15 fév 2004 à 18:11 (CET)
- Je viens de faire une révision complète de l'ensemble des articles sur le sujet. Réorganisation qui intègre bien cette demande. Ploum's 30 avr 2004 à 19:55 (CEST)
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[modifier] texte sur les microcontrôleurs
Je ne sais pas quoi faire du texte suivant qui a été rajouté à l'article récemment. En effet je pense que cela a plus ça place dans l'article microcontrôleur, mais dans ce cas il y a probablement suffisamment d'infos là-bas pour que ce texte soit redondant ... Faut-il le supprimer totalement ? Freewol 28 mars 2006 à 09:53 (CEST)
[modifier] Les microcontrôleurs
- Un microcontrôleur est un microprocesseur possédant dans le même circuit intégré de la mémoire et d'autres périphériques (pour gérer par exemple un bus I2C, un bus série ...). Il existe beaucoup de familles de microcontrôleurs, se différenciant par la vitesse de leur processeur et par le nombre de périphériques qui le composent.
- L'usage d'un microcontroleur est plus du domaine de l'industrie ou l'on souhaite actionner des périphériques (ex. la résistance chauffante, le moteur, l'affichage, etc. d'une machine à laver).
--- distinction ---
- Classement grossier de l'usage des microprocesseurs et des microcontrôleurs :
Un microprocesseur est utilisé dans un ordinateur (ou très connexe ex. un routeur). Un microcontroleur est utilisé dans un appareil qui n'est pas de l'informatique à la base mais qui a besoin d'automatismes.
- En fait la différence n'est pas si tranchée et surtout est une question de coût.
Dans certain cas il est plus rentable de construire une carte avec un microcontrôleur car les volumes produits sont grands (ex. les calculettes, les lecteurs mp3, etc.). Dans d'autres il est plus intéressant de mettre des ordinateurs style PC en rajoutant un périphérique spécifique pour faire fonctionner l'appareil (ex. certains Distributeurs Automatiques de Billets ou DAB).
- L'augmentation de puissance profite autant aux microprocesseurs qu'aux microcontrôleurs.
[modifier] perspectives d'avenir
- Il est probable aussi que l'intégration de plus en plus importante fera que les parties externes des ordinateurs (mémoire, DMA, gestion des interruptions, etc.) vont se retrouver dans le boitier du microprocesseur. On a déja commencé avec la mémoire cache et les chip set.
- On peut "prédire" que dans quelques années la distinction entre microprocesseur et microcontroleur ne se fera plus. Dans la console PlayStation a-t-on un microprocesseur ou un microcontrôleur ? En fait on ne se pose pas la question, on joue !!!
[modifier] Préfixe binaire
En bon informaticien, je me plie mais avec réticence aux nouveaux préfixes binaires. Par contre, il semble que les préfixes sont maintenant Ki et non Kio et Mi et non Mio voir Préfixe_binaire par rapport à octet--Ivanoff 17 août 2006 à 22:51 (CEST)
>>> Pourquoi ne pas conserver les notation Ko, Mo, Go, qui sont bien plus connues et usitées ??? --AGtheKiLLER 30 octobre 2007 à 09:16 (CET)
[modifier] partie enlevée
n'importe quoi !!! vous savez faire des recherches ou pas ???
- consulter l'historique pour savoir de quoi il parle.193.52.208.229 10 octobre 2006 à 10:39 (CEST)
Je pense qu'il faudrait parler de l'overclocking dans cet article Cette pratiques est de plus en plus répandue, et il faut informer des risques
[modifier] Microprosseur Asynchrone
j'ai trouvé cet article sur http://www.techno-science.net/?onglet=news&news=3376
Microprocesseurs: sans horloge, on gagne du temps
C'est un argument commercial de poids: chaque nouvelle génération d'ordinateurs affiche des fréquences d'horloge – les fameux gigahertz – toujours plus infernales. Ce sont elles qui donnent la cadence des opérations d'un microprocesseur. Problème: même dans le microprocesseur le plus rapide du monde, la plupart des composants passent le plus clair de leur temps à attendre qu'un signal d'horloge les invite à poursuivre le traitement des données !
Pour résoudre ce problème, plusieurs groupes de recherche, dont le laboratoire "Technique de l'informatique et de la microélectronique pour l'architecture d'ordinateurs" (Tima) 1, de Grenoble, se sont lancés il y a quelques années dans une démarche radicale: puisque l'horloge ralentit le fonctionnement d'un microprocesseur, autant la supprimer. Ce faisant, ils ont ouvert la voie à une nouvelle électronique, dite asynchrone. Aujourd'hui, pour qu'elle devienne un standard, les chercheurs grenoblois travaillent sur plusieurs applications, dont l'électronique embarquée pour l'automobile, et développent des outils permettant de concevoir les nouveaux processeurs.
"Dans la logique synchrone, explique en préambule Marc Renaudin, responsable du groupe de recherche Concurrent Integrated Systems (CIS) au laboratoire Tima, le travail du processeur est découpé en séquences. Leur durée, imposée par l'horloge, est calibrée en fonction de la tâche la plus longue qu'un bloc du composant puisse rencontrer". Une façon de s'assurer que chaque bloc aura terminé son travail avant le démarrage d'un nouveau cycle.
À l'inverse, la logique asynchrone permet d'éviter les temps morts: le travail est découpé de telle manière que la chaîne de processus dans chaque bloc n'est pas tributaire de celles des blocs voisins. Autrement dit, ce n'est pas la simultanéité des processus dans différentes parties de la puce qui compte, mais l'ordre dans lequel ils s'enchaînent au sein d'un même bloc. "Ainsi, si l'opération qu'il traite est complexe, un bloc travaillera lentement. Mais si elle est simple, il travaillera vite et passera sans perte de temps à l'opération suivante". Plus rapides, les puces asynchrones sont aussi plus économes en énergie, plus résistantes au piratage, moins sensibles à la température, et moins émettrices de pollution électromagnétique.
Déjà, elles ont fait l'objet de plusieurs applications. "Ces dernières années, détaille Marc Renaudin, nous avons par exemple travaillé sur des applications à la cryptographie. Et actuellement, nous développons des microprocesseurs asynchrones à faible consommation à destination de l'électronique embarquée, pour l'automobile, par exemple". Mais avant leur avènement sur le marché, les puces asynchrones devront se montrer plus faciles d'accès. "C'est pourquoi nous mettons aussi l'accent sur les outils d'aide à la conception", poursuit le chercheur. Quand ceux-ci seront à la disposition des ingénieurs, possible que nos ordinateurs perdent alors complètement la notion du temps.
[modifier] Paragraphe posant problème
Je ne comprend pas le paragraphe "Systèmes d'exploitation multiple". Je trouve que ce paragraphe n'est pas une explication et encore moins une explication encyclopédique. Manu1400 21 septembre 2007 à 18:05 (CEST)
>>> Ce paragraphe est très compréhensible, mais en revanche il n'a pas grand chose à faire içi POUR L'INSTANT : il faudrait rajouter une section "Virtualisation" où ce paragraphe aurait sa place. --AGtheKiLLER 30 octobre 2007 à 09:09 (CET)
[modifier] problème à la section "Le problème de l'échauffement"
"Un i686 à 1 GHz (1,7 V), deux fois plus rapide, consomme typiquement 34 W, ce qui n'est pas loin du quadruple."
1. deux fois plus rapide que quel proco ??
2. le quadruple de quoi ? de la consommation de l'autre proco, oui, mais encore faudrait il savoir lequel ;-)
--AGtheKiLLER 30 octobre 2007 à 09:18 (CET)