Jean-Hugues Colonna
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Jean-Hugues Colonna | |
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Parlementaire français | |
Naissance | 31 mai 1934 |
Décès | |
Mandat | Député 1981-1988 |
Début du mandat | |
Fin du mandat | {{{fin du mandat}}} |
Circonscription | Alpes-Maritimes |
Groupe parlementaire | PS |
Cinquième République |
Jean-Hugues Colonna né le 31 mai 1934 à Cargèse (Corse) est un homme politique et ancien député socialiste (PS)
Il a été professeur d'éducation physique et sportive. En 1975 il est muté à Nice. Il devient secrétaire de la Fédération des Alpes-Maritimes du Parti socialiste. Localement il s'oppose au maire RPR de Nice Jacques Médecin.
Le 21 juin 1981 il est élu député dans la troisième circonscription des Alpes-Maritimes. Il devient conseiller pour les affaires corses auprès de Gaston Defferre au ministère de l'intérieur[1].
Il est réelu sur le scrutin de liste des Alpes-Maritimes aux législatives de 1986. Aux élections de juin 1988, il est battu au second tour par le candidat RPR Christian Estrosi.
Ce même mois, il porte plainte pour un sabotage de l’essieu de son véhicule qui a provoqué un accident[2].
En 1991 il devient conseiller technique du ministre de l'Intérieur Philippe Marchand.
Il est nommé chevalier de la légion d'honneur le 8 avril 1998.
Il a épousé Cécile Riou, enseignante d'origine bretonne, avec qui il a eu une fille Christine et deux fils Yvan et Stéphane. Yvan Colonna, militant indépendantiste corse a été condamné pour avoir participé à l'assassinat du préfet Claude Erignac le 6 février 1998.
[modifier] Références
- ↑ Les non-dits d'Yvan Colonna in Le Monde du 12 novembre 2007
- ↑ Les obstacles à la mort d’une dynastie : la résistible chute de Jacques Médecin, Robert Charvin in Les Cahiers de la Méditerranée vol. 62 juin 2001