Georges Soubrier

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M^gr Georges Soubrier est né le 20 novembre 1933 à Thérondels dans l'Aveyron. Il a été ordonné prêtre le 29 juin 1960 pour le diocèse de Rodez et a été admis dans la Compagnie des prêtres de Saint-Sulpice (Sulpiciens) en 1961. Nommé évêque auxiliaire de Paris le 14 octobre 1988, il a été consacré le 25 juin 1988 par l'archevêque de Paris, le cardinal Jean-Marie Lustiger. Il est évêque de Nantes depuis le 10 octobre 1996.

Sommaire

1 Biographie
- 1.1 Formation
- 1.2 Principaux ministères
2 Prises de positions
- 2.1 Concernant les divorcés remariés
3 Distinction
4 Bibliographie
5 Voir Aussi

[modifier] Biographie

[modifier] Formation

Après être entré au Grand séminaire de Rodez, il a suivi des études universitaires à Toulouse et à l'Institut Catholique de Paris, obtenant des maîtrises en théologie et en philosophie.

[modifier] Principaux ministères

Ordonné prêtre en 1960 et entré chez les sulpiciens en 1961, il a exercé l'essentiel de son ministère sacerdotal au service de la formation des futurs prêtres. Il a ainsi passé 9 ans au séminaire interdiocésain de la région Midi, comme professeur de philosophie de 1963 à 1966, puis comme supérieur du premier cycle de 1966 à 1972. Il a ensuite rejoint la région parisienne comme supérieur du deuxième cycle du séminaire Saint-Sulpice à Issy-les-Moulineaux de 1972 à 1983, pui comme supérieur du séminaire des Carmes à Paris jusqu'en 1988.

Il est alors devenu évêque auxiliaire de Paris de 1988 à 1996, année de sa nomination comme évêque de Nantes.

Au sein de la Conférence des évêques de France, il a présidé le comité Enfance-jeunesse et a été membre de la commission éducation, vie et foi des jeunes. Il est actuellement membre de la commission pour les ministères ordonnés et les laïcs en mission ecclésiale.

[modifier] Prises de positions

[modifier] Concernant les divorcés remariés

Dans un document du 13 décembre 2003, M^gr Georges Soubrier publie un document sur l'accueil des divorcés souhaitant une cérémonie religieuse, qui selon le droit canonique de l'Église ne peut être un nouveau mariage religieux, à l'occasion de leur nouveau mariage civil^[1].