Armée nationale de développement

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L'armée nationale de développement (AND) est, en 2008, le nom des forces armées fédérales de l'Union des Comores.

Elles sont très modestes, ne comprenant qu'environ 1 060 militaires au début de mars 2008 ^[1] dont environ 500 gendarmes.

Le lieutenant-colonel Mohamed Amiri Salimou est, en mars 2008, le chef d'état-major de l'AND ^[2],[3].

Sommaire 1 Moyens terrestres 2 Moyens maritimes 3 Moyens aériens (armée et police confondu) 4 Notes et références

[modifier] Moyens terrestres

Armement légers :

• AK-47
• Mitrailleuse Kalachnikov
• RPG-7

[modifier] Moyens maritimes

Faute de marine nationale, l'AND est obligés d'utiliser des bateaux civils transformés pour l'opération lancé en 2008 contre Mohamed Bacar, le président d'Anjouan ^[4].

• 2 navires de ravitaillement affrétés par l'armée. Un troisième, le caboteur Taurus, a été détruit dans un incendie dans la nuit du samedi 1er au 2 mars 2008 ^[5],[6]

• 2 patrouilleurs déplacant 27 tonnes et de 18 métres de long armés de 2 mitrailleuses de 12,7 mm construit au Japon est entrés en service en octobre 1981 nommés Karthala et Ntringui ^[7].

• 1 vedette de gendarmerie, le Barracuda.

• Un ancien landing craft tank britannique (L 4099 Buttress) lancé en 1943 déplacant 657 t et mesurant 70,48 m de long par 11,90 m de large acheté par la Marine nationale française en 1965 sous le nom de L 9061 fût transféré aux Comores en 1976 ^[8]. Il à était retiré du service avant 2000.

[modifier] Moyens aériens (armée et police confondu)

• 6 avions de liaison SIAI Marchetti SF.260
• 1 avion utilitaire Cessna 402
• 2 avions de transport Let L-410 Turbolet
• 1 hélicoptère Eurocopter AS-350 Écureuil ^[9]
• 2 hélicoptères de transport d'origine ukrainienne livrés en février 2008 vraisemblablement par la Libye ^[10]

[modifier] Notes et références

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