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Sommaire 1 Vive le Libre 2 Présentation 3 Notes pour plus tard 3.1 Avantages et inconvénients du format Word 3.2 Une lutte commerciale 3.3 Contenu 3.4 Reference word comme standart de fait

[modifier] Vive le Libre

Les sites gouvernementaux nous donnent une idée du niveau d'implication de l'administration dans le logiciel Libre.

Vive le travail, le capitalisme, l'économie locale et la la liberté. Mort au savoir rare, réservé à une élite financière, les monopoles privés internationnaux, les standards imposé comme des normes et la rénumération odieuse de fond pensions américains sans fantaisies (vive le deuxième pilier).

Comme moi, simplifiez-vous aussi la vie... Tout simplement.

• BELgian Governement Interoperability Framework

[modifier] Présentation

J'ai terminé des études d'ingénieur civil en électromécanique orientation mécatronique et productique, formation technique universitaire. Je m'interesse surtout à l'automation et au timing de machines industrielles proches de l'infaibilité.

[modifier] Notes pour plus tard

Des tas de truc dont je ne sait que faire.

[modifier] Avantages et inconvénients du format Word

Citons comme avantage du format

• La forte pénétration du logiciel Word sur le marché.

Citons comme inconvénients du format

• le rendu à l'écran dépend de l'imprimante par défaut sélectionnée ; si on utilise une autre imprimante, cela peut donner une mise en page différente (en particulier, les sauts de page peuvent être placés à des endroits différents) ;
• la structure des documents Word (fichiers .doc) entraîne facilement des corruptions du fichier, en particulier pour les fichiers de grande taille ; en effet, dans une section, le texte figure d'un bloc, et les instructions de mise en forme sont regroupées dans une « table des matières » invisible au niveau du saut de section (section break) ou du début du document ; les liens complexes entre cette table de mise en forme et le texte rendent les erreurs relativement fréquentes [1] [2] [3] [4] ;
• les documents Word « embarquent » de manière aléatoire des portions de la mémoire vive qui n'ont rien à voir avec le document ; on s'en aperçoit en renommant un fichier .doc en .txt et en l'éditant avec un éditeur de texte (comme le bloc-note Notepad).
• Il se pose le problème de la compatibilité descendante : si une personne crée un fichier au format Word avec une version récente de Microsoft Word, celui-ci ne pourra pas être lu sur une version antérieure. Il est parfois nécessaire d'utiliser un autre format tel que RTF, HTML ou celle d'une ancienne version du format. Dans un environnement où les utilisateurs ne sont pas sensibilisés à ce problème, il est parfois nécessaire d'acheter une nouvelle version pour coller au standard du moment, utilisé par les autres organisations.
• Le format Word est un format propriétaire. Microsoft profite donc du quasi-monopole de la lecture via les licences sur les systèmes Windows et sur ses suites bureautiques. L'encrytion de sorte que seul la derniere version de Word puisse lire les données n'est pas mise en oeuvre mais est prévue dans le standart.
• Des deux point précédent, on déduit qu'il n'est pas possible de guarantir a priori une quelquonque pérennité des données de l'utilisateur dans le temps.
• Le format word est une marque déposée et non une norme (Tel que ISO 26300) dés lors tout fonctionnaire devrait s'abstenir de la citer dans des cahier des charges du domaine public. Cela est illégal.
• Le mot de passe protégeant l'accès au contenu des documents est très faible, de nombreux logiciels permettent de le découvrir instantanément. Une meilleure protection est par contre possible en changeant l'option de cryptage choisie.

[modifier] Une lutte commerciale

Microsoft Word est devenu au cours des années 80 et 90 le format le plus utilisé. Cette forte utilisation de Word fait du fichier Word le standard de facto et impose aux logiciels concurents de prévoir un filtre d'importation et d'exportation pour permettre une interopérabilité dans un environnement bureautique (on parle parfois de coût de migration). Toutefois, la documentation sur le format étant sporadique et incomplète^[1], il est nécessaire de faire de la rétro-ingénierie, un processus qui n'est pas infaillible. Cette nécessité biaise la libre concurence.

Du point de vue de l'utilisateur, le fait que Microsoft détienne les droits sur son format de fichier (propriétaire) pose le problème de la pérennité de l'inforamation qu'il a produit voire de la légalité même du transfert d'information (dans le cas de marché publics, interdiction de citer des marques, ou d'archives de l'état, devant être conservées par exemple 100 ans).

Microsoft a annoncé son intention de migrer vers un format de fichier basé sur XML pour les applications bureautiques. Ce format est pour le moment (janvier 2004) réservé aux éditions « professionnelle », les plus chères. Mais le XML de Microsoft Office n'est pas identique au XML réglementé par le W3C et est soumis à des brevets détenus par Microsoft.

En mai 2005, l'OASIS (Organization for the Advancement of Structured Information Standards) normalise le format OpenDocument pour remédier aux soucis d'interopérabilité et d'indépendance vis-à-vis d'une seule société. L'apparition de ce standard attire l'intérêt des concurrents de Microsoft Word tels que OpenOffice.org, KOffice, SoftMaker ou AbiWord. En réponse, Microsoft a développé un format concurrent, l'OpenXML. Celui-ci, également normalisé (décembre 2006) est ouvert.

Les professionnels des Logiciels Libres ne croient pas en un rapprochement de Microsoft avec le monde du logiciel libre mais plutôt à une lutte au finnish de Microsoft pour maintenir un de ses formats propriétaires comme standart de fait et ainsi de préserver son quasi-monopole^[2].

[modifier] Contenu

Vista a subi une refonte totale des éléments du cœur du système d'exploitation afin d'assurer la protection des contenus appelés "contenu de première qualité"^[3] (HD-DVD, Super Audio CD, DVD Blu Ray). Cette protection ne s'applique qu'aux contenus du HD explicitement protégés par leur propriétaire.

En pratique plusieurs techniques seront utilisées pour cette protection du contenu HD:

• Utilisation de matériel certifié HDCP (ceci inclus la carte vidéo, la carte son, les câbles la reliant à un écran lui aussi comportant une puce de protection HDCP).
• Lecture en qualité dégradée.
• Désactivation de fonctionnalités sur le matériel n'intégrant pas la protection de contenus HDCP. (exemple : émission uniquement sur des canaux numériques d'une carte son et ce sur les sorties certifiées)
• Identifiant unique du matériel.
• Révocation de périphérique "non conforme" à distance (boitiers de dérivation pour la copie ou appareil dont le firmware a été modifié pour copier les contenus par exemple, voir dézonage).

Chacune de ces mesures sera prise à la discrétion de chaque éditeur de contenu HDVP.

Bien que certains comme Robert X. Cringely ^[4] jugent l'article partial, Peter Gutmann, chercheur à l'Université d'Auckland a écrit un article où il dénonce vertement le caractère nuisible pour l'utilisateur final de cette fonctionnalité^[5].

[modifier] Reference word comme standart de fait

«Cette position de force sur le marché a, par exemple, fait du format de fichier Word un standard de facto (13), obligeant les produits concurrents à permettre l'interopérabilité (autrement dit la possibilité de lire un fichier fait avec Word à partir du logiciel concurrent). Comme souvent, il ne s'agit pas d'un simple problème technique : la distillation parcimonieuse des informations sur ses produits par Microsoft contribue à ce que cette interopérabilité soit imparfaite (fichiers illisibles, données corrompues, mises en forme altérées, etc.) et donc à ce que ces concurrents soient considérés comme peu fiables par les utilisateurs (14).» La bataille du logiciel libre, éditions La Découverte, Chapitre La fin du monopole de Microsoft ?, partie Assurer le succès des applications, page 66