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Maria Valtorta - Wikipédia

Maria Valtorta

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Maria Valtorta en 1943
Maria Valtorta en 1943

Maria Valtorta est une mystique chrétienne née à Caserta en Italie le 14 mars 1897 et décédée le 12 octobre 1961 à Viareggio en Toscane. Elle est connue pour une œuvre, L'Évangile tel qu'il m'a été révélé (publié pour la première fois en 1956-59) qui évoque des scènes de la vie du Christ qu'elle disait recevoir par visions. Cet ouvrage a été mis à l'Index par le Vatican en 1960.

Sommaire

[modifier] Biographie

Sauf indication contraire, les informations de cette section sont extraites de l'autobiographie de Maria Valtorta.
Maria Valtorta à 15 ans, 8 ans avant son agression.
Maria Valtorta à 15 ans, 8 ans avant son agression.

Maria Valtorta est née à Caserte au nord de Naples dans un milieu relativement modeste d'un père sous-officier de cavalerie pour qui elle avait une grande et profonde affection et d'une enseignante de français, qu'elle décrit comme une femme très autoritaire et hypocondriaque qui exigeait l'exclusivité de l'attention de sa fille. La famille se déplace suivant les affectations du père.

Pendant la Première Guerre mondiale elle s'enrôle comme infirmière à l’hôpital militaire de Florence, ville où elle réside longuement. Selon Maria Valtorta, par deux fois des prétendants sont évincés par sa mère possessive. Le 17 mars 1920, elle se promène avec sa mère quand un jeune homme la frappe violemment dans le dos avec une barre métallique. Elle doit garder le lit durant trois mois et s’en remet partiellement par un séjour de deux ans à Reggio Calabria auprès de cousins.

En 1924, établie avec ses parents à Viareggio, sur la côte Toscane, elle s’engage dans sa paroisse comme déléguée d’Action catholique auprès de la jeunesse féminine, mais ses souffrances augmentent. Sa santé se détériore progressivement. Dès le printemps 1934, elle demeure définitivement clouée sur son lit.

À partir de 1943 jusqu'en 1947, et dans une moindre mesure jusqu'en 1953, Maria Valtorta écrit environ quinze mille pages de cahiers. Les deux tiers à peu près de la production littéraire de Maria Valtorta concernent l’œuvre monumentale de la vie de Jésus qu'elle affirmait connaître à travers des visions.

Selon son confesseur, Maria commence alors à se renfermer graduellement, pendant plusieurs années, dans une sorte d'isolement psychique. Elle meurt le 12 octobre 1961 après avoir vu la publication de l'œuvre qui, selon ce qu'elle disait des directives de Jésus, devait être posthume[1] puis sa mise à l'Index vingt mois avant sa mort.

[modifier] L'œuvre de Maria Valtorta

Selon ce que rapporte son éditeur, Maria Valtorta a rempli 122 cahiers, soit près de 15 000 pages manuscrites, sans aucune rature[2], avec la description des visions et révélations qu'elle dit avoir reçues de Dieu entre 1943 et 1951 essentiellement. De ces 122 cahiers a d'abord été tirée, en 1956, l'œuvre principale, Le Poème de L'Homme-Dieu (Il poema dell'Uomo-Dio). La traduction française, en 10 volumes, ne reprend que le sous-titre initial : L'Évangile tel qu'il m'a été révélé. Ce titre est dû à la volonté expresse de son premier traducteur[3].

Les autres écrits de Maria Valtorta se présentent comme des enseignements de Jésus. Ils ont été édités dans l'ordre chronologique de leur rédaction et publiés en trois volumes : Les cahiers de 1943, les cahiers de 1944 et les cahiers de 1945 à 1950. Son œuvre compte aussi une Autobiographie exécutée à la demande de son confesseur[4] , des Leçons sur l'épître de saint Paul aux romains, et le Livre d'Azarias, commentaires des textes de la messe donnés, selon Maria Valtorta, par son ange gardien.

Maria Valtorta se sent vivre au milieu de ceux qui suivent Jésus dans les scènes qu'elle décrit, et assure rapporter ce qu'elle voit et entend. Selon l'éditeur, tout en gardant le lit et malgré ses souffrances[5], elle écrivait de sa propre main et d'un seul jet, à n'importe quelle heure du jour ou de la nuit[2]. « Les seuls livres qu'elle pouvait consulter étaient la Bible et le Catéchisme de Pie X » note-t-il dans sa préface[6].

Maria Valtorta précise ce qu'elle appelle son « travail » : « écrire sous la dictée ou décrire ce qui se présente à moi. S'il s'agit de dictée et qu'elle se rapporte à un passage de la Bible, Jésus commence par me faire ouvrir le Livre au passage qu'Il veut expliquer. [...] Si c'est la vision qui se présente, comme je l'ai dit, avec une image initiale qui est généralement le point culminant de la vision, et puis se déroule en suivant l'ordre [...] je décris ce point, puis ce qui précède et ce qui suit »[7].

[modifier] Publication et mise à l'index

Le pape Pie XII a reçu en audience spéciale le père Migliorini, confesseur de Maria Valorta, et le père Berti, son confrère, accompagnés de leur prieur le père Andrea M. Cecchin. L'Osservatore Romano du 27 février 1948 mentionne cette audience, mais n'en révèle pas la teneur.

En 1949 l'ouvrage est examiné par la Congrégation pour la doctrine de la foi (appelée alors Saint-Office) en charge de ces questions. Loin de recevoir l'imprimatur, il est interdit de publication, comme l'indique l'article de L'Osservatore Romano en date du 6 janvier 1960 : « Il y a environ dix ans [donc environ 10 ans avant 1960] il circulait d'épaisses pages dactylographiées qui contenaient des prétendues visions et révélations. À ce moment-là l'Autorité Ecclésiastique compétente avait prohibé l'impression de ces pages dactylographiées et avait commandé qu'elles fussent retirées de la circulation[8]. »

Malgré cette opposition, un ouvrage comprenant Le Poème de Jésus et Le Poème de l'Homme-Dieu est publié à partir de 1956 par un imprimeur, Michele Pisani (C'est cet ensemble de textes qui sera publié en français sous le titre de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé). Dans sa postface Pisani indique, d'après le témoignage du père Berti, que lors de l'audience de 1948, Pie XII avait émis un avis bienveillant sur l'oeuvre, dont il aurait lu certaines parties, et conseillé de le publier en l'état, sans parler d'origine surnaturelle. Aucune autre source ne confirme ce témoignage. Le quatrième tome parait en 1959. L'ouvrage est mis à l'Index le mardi 5 janvier 1960 par le Saint-Office, sous Jean XXIII. Le décret de mise à l'Index, signé par le notaire Massala est commenté en détail le lendemain 6 janvier 1960 par L'Osservatore Romano, l'organe de presse du Vatican[8].

[modifier] Le commentaire de l'Osservatore Romano

L'article de L'Osservatore Romano explique les raisons de cette condamnation[9] , sous le titre « Une Vie de Jésus mal romancée ». Le journaliste s'étonne des propos des éditeurs, qui comparent Maria Valtorta à Dante en écrivant dans leur préface qu'elle « a donné une œuvre dans laquelle, au milieu de splendides descriptions des temps et des lieux, se présentent d'innombrables personnages qui nous adressent leur parole, soit douce, soit forte, comme admonition ». Il conteste la valeur littéraire des quelque 4000 pages de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, notamment en raison de la « longueur des discours attribués à Jésus et à la Très Sainte Vierge » et des « interminables dialogues que se tiennent les personnages multiples qui peuplent ces pages ».[non neutre]

Cependant la question de la valeur de l'ouvrage, toujours selon L'Osservatore Romano, concerne beaucoup plus les problèmes de fond, qui ont motivé la mise à l'Index. Ces problèmes tiennent notamment à la personnalité de Jésus tel que le décrit Maria Valtorta. L'article précise : « Les quatre Évangiles nous présentent un Jésus humble et réservé ; ses discours sont brefs et incisifs, mais tombent toujours juste. Par contre, dans cette espèce d'histoire romancée, Jésus est loquace au maximum, presque sur un ton publicitaire, toujours prêt à se proclamer Messie et Fils de Dieu, et à donner des leçons de théologie dans les mêmes termes que ceux qu'emploierait un professeur de nos jours. »[non neutre]

De même, le journaliste relève ce type de contradiction par rapport à l'Évangile à propos de la Vierge Marie. Il oppose « l'humilité et le silence de la Mère de Jésus » que l'on trouve dans le Nouveau Testament et l'ouvrage de Maria Valtorta, où « la Très Sainte Vierge a la faconde d'un propagandiste d'aujourd'hui » et où elle apparaît omniprésente, « toujours prête à donner des leçons de théologie mariale qui suivent les développements les plus récents des spécialistes actuels en la matière ».

Enfin, les développements théologiques de Maria Valtorta frôlent « l'hérésie avérée » au sens où elles comportent « certaines… perles qui certes ne brillent pas par leur orthodoxie catholique ». Par exemple, le journaliste relève que Marie est définie dans l'ouvrage comme « la seconde née du Père » à plusieurs reprises, sans d'ailleurs que cette formule soit explicitée. La vision de la Trinité s'exprime dans un « concept hermétique et [...] confus », et « l'impression reste qu'on veut construire une nouvelle mariologie ». Il semble que Maria Valtorta accorde à Marie une place incompatible avec le dogme catholique car il lui est dit : « Pendant le temps que tu resteras sur la Terre, c'est toi qui seconderas Pierre comme hiérarchie ecclésiastique. »[non neutre]

Dans les dernières pages du quatrième et dernier volume de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, l'auteur apparaît. Le journaliste remarque : « L'auteur se révèle... une femme et écrit qu'elle a été témoin de tout le temps messianique, et qu'elle s'appelle Marie (Valtorta). »

[modifier] Depuis la mise à l'index

En 1966, l'Index est aboli[10]. À l'époque, [11] le cardinal Alfredo Ottaviani, préfet de la Congrégation pour la doctrine de la foi, précise que si la dissolution de l'Index lève la prohibition sur les ouvrages concernés, l'Index n'en garde pas moins sa force morale[10].

En ce qui concerne les œuvres de Maria Valtorta, dans un courrier daté du 31 janvier 1985 adressé au cardinal Siri, archevêque de Gênes, le cardinal Joseph Ratzinger, successeur d'Alfredo Ottaviani à la tête de la Congrégation pour la doctrine de la foi, confirme que leur diffusion ne serait pas « opportune »[12].

[modifier] Le Centro Editoriale Valtortiano

En 1985, le fils de Michele Pisano, premier éditeur de Maria Valtorta, Emilio Pisano créé une société privée ad hoc, le Centro Editoriale Valtortiano (CEV). Les statuts du CEV indiquent qu'il a pour "vocation spécifique et prioritaire de développer, documenter et diffuser la connaissance de Maria Valtorta, de sa personne, de ses écrits, de ses idéaux, au moyen de l'impression et de la vente de ses œuvres littéraires". [13]

Le CEV met en avant le soutien de plusieurs ecclésiastiques de haut rang, qu'aurait reçu L'Évangile tel qu'il m'a été révélé, avant et après sa mise à l'Index. En 1946, Alfonso Carinci, secrétaire de la Congrégation des rites sacrés[14], en 1948 Pie XII[15], en 1952, Agostino Bea, futur cardinal et confesseur de Pie XII[16], deux conseillers du Saint-Office : monseigneur Lattanzi et le père Roschini[15], Padre Pio[17], en 1970, Gabriele Allegra[18].

Dans un lettre envoyé au CEV en 1986, une lettre du Père Dreyfus[19] o.p (dominicain), professeur à l’École Biblique et Archéologique de Jérusalem dit avoir « trouver dans l’œuvre de Maria Valtorta le nom d’au moins six ou sept villes qui [...] ne sont connus que par quelques rares spécialistes et grâce à des sources non bibliques »[20]

Le P. Gabriel M. Roschini O.S.M., professeur à l’Université pontificale du Latran à Rome, souligne la valeur théologique des écrits de Maria Valtorta a publié au CEV La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta [21].

Tous ces soutiens ont été exclusivement publiés par le CEV.

[modifier] Réactions au sein de l'église catholique

Selon le jésuite Mitch Pacwa[9], les revendications du CEV sont indues, l'Église catholique a clairement condamné, à plusieurs reprises, l'ouvrage de Maria Valtorta.

Mgr Dionigi Tettamanzi, secrétaire général de la Conférence épiscopale italienne, demande en 1992 à l'éditeur de l'ouvrage qu'il ne soit pas fait mention d'une origine surnaturelle des visions et dictées[22].

[modifier] Œuvres

  • L'Évangile tel qu'il m'a été révélé - 10 tomes – 4.856 pages – traduction française de 1985 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – de ISBN 88-7987-051-3 à ISBN 88-7987-060-2. La première édition française, en dix volumes, est en cours de retraduction complète par le Centro Editoriale Valtortiano (Isola del Liri, Italie).
  • L'Évangile tel qu'il m'a été révélé – l'œuvre complète en audio au format MP3 – Éditeur Rassemblement à son Image
  • Les Cahiers de 1943 – 2002 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-091-2. Dictées qu'aurait reçues Maria Valtorta sur divers sujets d'ascèse, d'exégèse, de doctrine, incluant des descriptions des scènes évangéliques et du martyre des premiers chrétiens.
  • Les Cahiers de 1944 - 2003 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-099-8. Suite du précédent.
  • Les Cahiers de 1945 à 1950 – 2004 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-128-5. Suite et fin des précédents
  • Leçons sur l'Epître de saint Paul aux Romains – 2001 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-069-6. Commentaires de Jésus qu'aurait reçus Maria Valtorta : la Création, la Grâce, la venue du Royaume de Dieu, la justice et de la miséricorde de Dieu.
  • Le livre d'Azarias – 2002 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-094-7. Ce livre aurait été dicté en 1946 et 1947 à Maria Valtorta par Azarias, son ange gardien. Il comporte un commentaire théologique et spirituel des messes festives du missel romain.
  • Autobiographie – 1993 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-011-4. Maria Valtorta affirme dans son introduction : on y trouve ma chair avec ses passions humaines, mon âme avec ses espérances spirituelles, mon esprit avec son amour d'adoration.
  • A l'aube d'une ère nouvelle - 3e édition 2002 - Éditions du Parvis - ISBN 2-88022-038-6. Prophéties sur l'évolution du monde.
  • Prières – 1995 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-019-X. Prières choisies et extraites principalement des Cahiers.
  • Le Rosaire dans les écrits de Maria Valtorta – 1997 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-039-4. Méditation des 15 mystères du Rosaire à partir des écrits de Maria Valtorta.
  • Florilège de Paraboles – 2001 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-090-4. Paraboles connues ou inconnues, extraites de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé
  • Marie-Madeleine – 2005 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-092-0. Ce personnage à qui Jésus est apparu au matin de sa Résurrection, est un personnage important de L'Évangile tel qu'il m'a été révélé

[modifier] Annexes

[modifier] Documents et bibliographie

[modifier] Documents de l'Église catholique

[modifier] Bibliographie du Centro Editoriale Valtortiano

  • Maria Valtorta, qui est-tu ? - Jean Aulagnier - 1992 - ISBN 2-85268-219-2. Les raisons qui poussent l'auteur à croire dans l'œuvre de Maria Valtorta. Annexes sur Marie d'Agréda et Anne-Catherine Emmerich
  • Avec Jésus au jour le jour – Jean Aulagnier – 1994 – Éditions Résiac - ISBN 2-85268-253-2. Reconstitution pas-à-pas, à la lueur des données de calendrier, de l'agenda de Jésus dans l'œuvre de Maria Valtorta.
  • La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta – P. Gabriel M. Roschini O.S.M. – 1973 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 2-920285-01-7. Analyse par un mariologue reconnu, professeur à l'Université du Latran à Rome.
  • Padre Pio et Maria Valtorta - Emilio Pisani – 2000 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-073-4. Courte biographie de Padre Pio en liaison avec la vie de Maria Valtorta et tout ce qui les réunit.
  • Valtorta et Ferri – recueil de 447 illustrations couleurs ou bichromie - 2006 - Éditions Centro Editoriale Valtortiano - ISBN 88-7987-134-X - Lorenzo Ferri (1902-1975), peintre et sculpteur était un spécialiste de l'art sacré et du Saint Suaire. Il a travaillé avec Maria Valtorta sur ces illustrations, mais toutes n'ont pas pu être validées par elle.

[modifier] Liens externes

[modifier] Notes et références

  1. Les cahiers de 1943, dictée du 23 août, page 256. La première publication, désormais introuvable, ne portait pas de nom d'auteur, conformément au vœu de Maria Valtorta.
  2. ab L'Évangile tel qu'il m'a été révélé – traduction française de 1985 – Tome 1 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-051-3 – Préface de l'éditeur, page 9
  3. Ibid – Préface de l'éditeur, page 10
  4. Introduction de l'autobiographie
  5. « Si vous saviez quel esclavage c’est que d’être instrument de Dieu […] Cela entraîne sommeil, faim, souffrances, fatigues, envie de penser à autre chose, de lire des écrits qui ne soient pas des paroles de source surnaturelle, de parler et d’entendre des choses ordinaires, l’envie d’être et de vivre comme tout le monde, ne serait-ce qu’un seul jour : tout cela, la brûlure inexorable de la volonté de Dieu les empêche de l’avoir et de le réaliser. Sur tout cela, la hargne des hommes dépose son sel et son acide, comme si le maître de la galère mettait du sel et du vinaigre sur les brûlures de ses esclaves. », Les cahiers de 1944, dictée du 24 septembre, page 565 - CEV - ISBN 88-7987-099-8
  6. "L'Évangile tel qu'il m'a été révélé" – traduction française de 1985 – Tome 1 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – ISBN 88-7987-051-3 – Préface de l'éditeur, page 1
  7. Ib - Tome 2, Chapitre 21, page 102 - ISBN 9788879870528
  8. ab Voir l'article de L'Osservatore Romano de janvier 1960, cité en lien externe dans la bibliographie
  9. ab article du père Mitch Pacwa S.J. dans le New Covenant de février 1994 [1]
  10. ab Voir les Acta Apostolicæ Sedis (AAS 58) du 14 juin 1966 cités dans la bibliographie en lien externe
  11. L'Osservatore Romano du 15 juin 1966
  12. Voir un extrait de la lettre cité en lien externe dans la bibliographie
  13. Voir le Site officiel du CEV
  14. Bollettino Valtortiano de juin 1979 – Centro Editoriale Valtortiano
  15. ab L'Évangile tel qu'il m'a été révélé – Tome 10 – Éditions Centro Editoriale Valtortiano – Postface de l'éditeur
  16. Lettre à Emile Pisani datant de 1952, reprise dans le Bollettino Valtortiano – Centro Editoriale Valtortiano
  17. Padre Pio et Maria Valtorta – Emilio Pisani – 2000 – Centro Editoriale Valtortiano
  18. Lecteur depuis 1965 des œuvres alors à l'Index de Maria Valtorta, Gabriele Allegra a écrit en 1970 à Macao une étude sur Maria Valtorta. Étude rapportée dans le Bolletino Valtortiano n° 29 – Centro Editoriale Valtortiano – jan.-juin 1984, pp. 114-116, consultable en anglais
  19. le Père Dreyfus
  20. Lettre au Centro Editoriale Valtortiano, citée dans Bollettino ValtotianoISBN 88-7987-045-9
  21. La Vierge Marie dans l'œuvre de Maria Valtorta – Gabriel M. Roschini – Centro Editoriale Valtortiano – 1973 - ISBN 2-920285-01-7
  22. Tiré à part mai 1994 du Centro Editoriale Valtortiano, repris dans Pro e contro Maria Valtorta


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