Aïn M'lila

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Aïn M'lila عين مليلة
Pays	Algérie
Wilaya	Oum El-Bouaghi
Daïra	Aïn M'lila (chef-lieu)
Code ONS
Code postal	04300
Président de l'APC Mandat en cours	smail ounissi fin 2012
Longitude
Latitude
Superficie	km²
Population	hab. ()
Densité	hab./km²

Aïn M'lila (en arabe عين مليلة),et en berbère (chaoui) "Tamlilt", est une commune d'Algérie, située dans la wilaya d'Oum-El-Bouaghi.

[modifier] Géographie

Ville de l'est algérien, à 450 km au sud-est de la capitale Alger, et à 49 km au sud de Constantine, 70 km au nord de Batna, c'est une daïra (sous-préfecture) de la wilaya d'Oum-El-Bouaghi, grand centre commercial, au sein d'une plaine de terre fertile, entourée de montagnes comme Djebel Guerrioun, (Aguerioun) (1729m)à l'est et le Djebel Fortas (Afertdhas) (1477m) au nord est, le Nif Ennser (1640m)(le bec de l'aigle ou Ikhf U Guidher en berbère)au sud ouest, le djebel MIMEL AU NORD OUEST (1300m) ainsi que Arkane, Taywalt, Medalssou... qui appartiennent aux monts des Aurès (AWRES DES ROMAINS)en forme de cuvette entre ces montagnes régions marécageuses,et gorgée d'eau avant la colonisation et pendant la période turque. Ses habitants les seguenias et les zmouls étaient les premiers et les plus anciens qui ont peuplés cet contrée et à qui se sont greffés plus tard les baranias qui sont connus aujourd'hui sous le vocable de ouled belaguel, ouled zayed et les autres venus d'autres contrées poussés par la persécutions des colonisateurs,et par les grandes famines dues à ces persécutions, s'étend au nord jusqu'au confins de la commune du khroub dans la wilaya de Constantine, au sud jusqu'à AIN Tagout(source dela nuage) à l'ouest jusqu'à la tribu des teleghema voisine de la grande tribu des Abd En Nour dresseurs de chevaux et cavaliers émérites de la fameuse cavalerie Numide de Massinissa le fondateur de Cirta (Constantine)le Roi (Aguellid) qui unifia la Numidie (Algérie actuel)dans un seul royaume.

[modifier] Histoire

[modifier] Anthropologie

Vestiges antique à Sila;dolmens, et tombes anciennes au lieu dit El Djahli à l'emplacement actuel de la commune des OULED GACEM entre la passe située entre le Fartas et le Guerioun.Ruines romaines au bORDJ sur les terres des Khelifi sur la route de Constantine.

[modifier] Présence turque 1515-1830

Aucun vestige Turc sinon une autorité administrative musclée et forcée par l'intermédiaire de Caids tous issus de la tribu des Zmouls sur le reste des habitants que sont les seguenias et les autres berbères ( ouled Belâguel,ouled zayed et les autres...)dont le territoire s'étend jusqu'au confins des Haractas à l'Est à l'Ouest Jusq'au Telghemtis au Sud aux Ouled Sellem

[modifier] Présence française 1830-1962

Ce n'est qu'à l'arrivée des Français et après la prise de Constantine que de Lieu Dit connu par ses seuls Oueds que sont Fesguia et Fourchi (59 km de Constantine)vers les années 1840 que fut construit le caravansérail d'Ain melilah,et les premières arrivées des colons et de simple arrêt de diligence elle commença à apparaître et à prendre de l'importance de par sa position stratégique entre le Nord et le Sud et l'Est et l'Ouest. Caravansérail sur la route de Batna, Biskra, elle eut sont premier télégraphe en 1851,et de hameau elle devint un grand village qui s'agrandissait d'année en année si bien que lors de la visite de Napoléon III lors de seconde visite en Algérie (EN 1863-64)il s'y arrêta et fut reçu en grande pompe par ses habitants dans une fiesta par ses trois tribus tel que rapporté par la presse coloniale de l'époque et le rapport de la visite de l'empereur par les historiens Français. De centre de colonisation elle fut érigée en commune mixte en 1874 lors du recensement de 1876 le village comptait 135 européens et la banlieue 1365 indigènes, il possédait un bureau de poste et une brigade de gendarmerie, il ne possédait pas encore ni école ni église. Essentiellement agricole le lieu dit, puis caravansérail, d'une importance stratégique et possédant l'essence même de la vie à savoir l'eau elle commença à s'agrandir au fil des années pour devenir un grand bourg marchés des seguenias et des zmouls les premières composantes de sa population a qui vinrent s'ajouter les colons et les travailleurs indigènes venus d'autres contrés poussés par les différentes famines et les sècheresses qui ont sévis durant ces premières années de la colonisation